Le vrai Voltaire: l'homme et le penseur, Volume 9Agence générale de librairie, 1867 - 489 pages |
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Page 28
... Mme du Châtelet , l'ingratitude de sa nièce , Mme Denis , le lâche abandon de Thiriot , la rudesse des- potique et les odieux traitements de Frédéric , l'amitié aigre - douce de Richelieu , les cruels procédés de tant de gens qu'il ...
... Mme du Châtelet , l'ingratitude de sa nièce , Mme Denis , le lâche abandon de Thiriot , la rudesse des- potique et les odieux traitements de Frédéric , l'amitié aigre - douce de Richelieu , les cruels procédés de tant de gens qu'il ...
Page 36
... Mme du Chatelet , très - peu à Mme Denis , Toutes les lettres adressées à M. d'Argental jusqu'en 1734 manquent absolument . Plusieurs lettres à Frédéric , à Catherine II , la plupart de celles envoyées à M. de Choiseul , les lettres à ...
... Mme du Chatelet , très - peu à Mme Denis , Toutes les lettres adressées à M. d'Argental jusqu'en 1734 manquent absolument . Plusieurs lettres à Frédéric , à Catherine II , la plupart de celles envoyées à M. de Choiseul , les lettres à ...
Page 49
... Mme du Châtelet et à Mme Denis , au trop faible et trop épicurien Thiriot . Toujours pardonner ! Eh ! oui , car tout comprendre c'est tout pardonner . Cette disposition naturelle de Vol- taire ne fit que grandir jusqu'à sa mort , parce ...
... Mme du Châtelet et à Mme Denis , au trop faible et trop épicurien Thiriot . Toujours pardonner ! Eh ! oui , car tout comprendre c'est tout pardonner . Cette disposition naturelle de Vol- taire ne fit que grandir jusqu'à sa mort , parce ...
Page 78
... Mme Denis , sa nièce , veuve et sans enfants , ayant d'ailleurs des talents , aimant le monde où elle brillait , tenait sa maison . Voltaire passa environ neuf mois à Paris , qu'il ne devait revoir que vingt - huit ans plus tard . Se ...
... Mme Denis , sa nièce , veuve et sans enfants , ayant d'ailleurs des talents , aimant le monde où elle brillait , tenait sa maison . Voltaire passa environ neuf mois à Paris , qu'il ne devait revoir que vingt - huit ans plus tard . Se ...
Page 79
... Mme Denis y furent l'objet d'une persé- cution ignoble , sous les plus ridicules prétextes . Le poëte honnête homme , n'oublia jamais l'infamie du roi et ne s'en vengea plus tard qu'en le consolant , en essayant de lui être utile ...
... Mme Denis y furent l'objet d'une persé- cution ignoble , sous les plus ridicules prétextes . Le poëte honnête homme , n'oublia jamais l'infamie du roi et ne s'en vengea plus tard qu'en le consolant , en essayant de lui être utile ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 381 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 403 - J'ai reçu, Monsieur, votre nouveau livre contre le genre humain (4j, je vous en remercie. Vous plairez aux hommes, à qui vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes ; il prend envie de marcher à quatre pattes quand on lit votre ouvrage (5).
Page 398 - Mais de quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul? De moi, de l'univers entier, de tout ce qui est, de tout ce qui peut être...
Page 133 - Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien.
Page 375 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu ! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 284 - Que ne puis-je vous donner mon expérience ! que ne puis-je vous faire voir l'ennui qui dévore les grands, et la peine qu'ils ont à remplir leurs journées ! Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse dans une fortune qu'on aurait peine à imaginer, et qu'il n'ya que le secours de Dieu qui m'empêche d'y succomber?
Page 399 - Ce ne sont point les plaisirs de ma jeunesse ; ils furent trop rares, trop mêlés d'amertume, et sont déjà trop loin de moi. Ce sont ceux de ma retraite, ce sont mes promenades solitaires, ce sont ces jours rapides, mais délicieux, que j'ai passés tout entiers avec moi seul, avec ma bonne et simple gouvernante 2, avec mon chien bien-aimé, ma vieille chatte, avec les oiseaux de la campagne et les biches de la forêt, avec la nature entière et son inconcevable auteur.
Page 133 - On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Ainsi je déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié vint à mon secours; Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les Amours.
Page 379 - Tant qu'un peuple est contraint d'obéir et qu'il obéit , il fait bien ; sitôt qu'il peut secouer le joug et qu'il le secoue , il fait encore mieux : car , recouvrant sa liberté par le même droit qui la lui a ravie , ou il est fondé à la reprendre , ou l'on ne l'était point à la lui ôter.
Page 442 - II m'a montré votre portrait; ne vous fâchez pas, madame, si j'ai pris la liberté de lui rendre les deux baisers. " Vous ne pouvez empêcher cet hommage, Faible tribut de quiconque a des yeux.