Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 3,Partie 2chez Th. Desoer, 1817 |
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... charmant Qui ternirait l'éclat de la fille de l'onde 19 toirobe } igus 1907 91 paroJ Entre elle et son époux le ... charmante , oenol £ ) 29T ismis el ot M eluga 900 Régnez parmi les ris ; quoquot of ic1197 ! dễ Ne voyez point avec ...
... charmant Qui ternirait l'éclat de la fille de l'onde 19 toirobe } igus 1907 91 paroJ Entre elle et son époux le ... charmante , oenol £ ) 29T ismis el ot M eluga 900 Régnez parmi les ris ; quoquot of ic1197 ! dễ Ne voyez point avec ...
Page 608
... charmant auteur , Quel dieu vous a donné ce langage enchanteur , La force et la délicatesse , La simplicité , la noblesse , Que Fénelon seul avait joint ; Ce naturel aisé dont l'art n'approche point ? Sapho , qui ne croirait que l'amour ...
... charmant auteur , Quel dieu vous a donné ce langage enchanteur , La force et la délicatesse , La simplicité , la noblesse , Que Fénelon seul avait joint ; Ce naturel aisé dont l'art n'approche point ? Sapho , qui ne croirait que l'amour ...
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... , Et séducteur comme l'Amour Dont il fut la brillante image . L'Amour ou le Temps l'a défait Du beau vice d'être infidèle ; Il prétend d'un amant parfait Être devenu le modèle . J'ignore quel objet charmant A 634 ÉPITRES .
... , Et séducteur comme l'Amour Dont il fut la brillante image . L'Amour ou le Temps l'a défait Du beau vice d'être infidèle ; Il prétend d'un amant parfait Être devenu le modèle . J'ignore quel objet charmant A 634 ÉPITRES .
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Voltaire. Être devenu le modèle . J'ignore quel objet charmant A produit ce grand changement , Et fait sa conquête nouvelle : Mais , qui que vous soyez , la belle , Je vous en fais mon compliment . On pourrait bien , à l'aventure ...
Voltaire. Être devenu le modèle . J'ignore quel objet charmant A produit ce grand changement , Et fait sa conquête nouvelle : Mais , qui que vous soyez , la belle , Je vous en fais mon compliment . On pourrait bien , à l'aventure ...
Page 641
... charmant langage , Je rentrerais bientôt dans ma captivité . XXX A madame de Fontaine - Martel . ** — 1732 . O TRÈS - SINGULIÈRE Martel , a J'ai pour vous estime profonde : C'est dans votre petit hôtel , C'est sur vos soupers que je ...
... charmant langage , Je rentrerais bientôt dans ma captivité . XXX A madame de Fontaine - Martel . ** — 1732 . O TRÈS - SINGULIÈRE Martel , a J'ai pour vous estime profonde : C'est dans votre petit hôtel , C'est sur vos soupers que je ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Adieu aimable aime âme Amours Apollon arts assez auteur avez Barmécide beauté beaux esprits belle bonheur bonté brillant cent chanter charmant Cideville ciel cieux Cirey cœur Cythère daignez dévots Dieu dieux digne dire divin donne doux écrit enfans envoyé épître êtes Ferney fesait fille fleurs Formont Fréron gens gloire goût guerre Hélas Henriade héros heureux homme j'ai j'aime jamais jésuites l'abbé l'amour l'art l'auteur l'esprit l'univers lauriers lettre long-temps Louis Louis XIV Macare madame de Pompadour madame Denis madame du Châtelet madame la marquise mademoiselle mademoiselle Clairon main maître malheureux marquise du Châtelet Melpomene mérite mieux mille monde Monsieur mortel muse Newton ouvrage paix pardonne parler Parnasse passer pense père peuple philosophe plaire plaisir plaisirs poëte prince prose Prusse qu'un raison ridicule rien rois sage saint sais sait savez sera seul sots souper talens tendre triste Vénus vertu veux vieux Voilà vois voix Voltaire yeux
Fréquemment cités
Page 1089 - Rendez-moi l'âge îles amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez , s'il se peut , l'aurore. Des Beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire , Le Temps , qui me prend par la main M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage Qui n'a pas l'esprit de son âge , De son âge a tout le malheur.
Page 885 - J'aime le luxe, et même la mollesse, Tous les plaisirs, les arts de toute espèce, La propreté, le goût, les ornements: Tout honnête homme a de tels sentiments.
Page 897 - Impunément le théâtre, la chaire, Et je mentis pour dix écus par mois. « Quel fut le prix de ma plate manie ? Je fus connu, mais par mon infamie. Comme un gredin que la main de Thémis A diapré de nobles fleurs de lis, Par un fer chaud gravé sur l'omoplate. Triste et honteux, je quittai mon pirate, Qui me vola, pour fruit de mon labeur, Mon honoraire, en me parlant d'honneur. « M'étant ainsi sauvé de sa boutique, Et n'étant plus compagnon satirique, Manquant de tout, dans mon...
Page 890 - Sachez surtout que le luxe enrichit Un grand état , s'il en perd un petit. Cette splendeur, cette pompe mondaine, D'un règne heureux est la marque certaine.
Page 1090 - On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Ainsi je déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié vint à mon secours; Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les Amours.
Page 760 - Philosophe indulgent, ministre citoyen, Qui ne cherchas le vrai que pour faire le bien; Qui d'un peuple léger, et trop ingrat peut-être, Préparais le bonheur et celui de son maître, Ce qu'on nomme disgrâce a payé tes bienfaits.
Page 1089 - Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien.
Page 847 - On écoutait tous ces faits admirables Dans son château, près d'un large foyer. Le père et l'oncle, et la mère et la fille, Et les voisins, et toute la famille, Ouvraient l'oreille à monsieur l'aumônier. Qui leur faisait des contes de sorcier. On a banni les démons et les fées; Sous la raison les grâces étouffées Livrent nos cœurs à l'insipidité ; Le raisonner tristement s'accrédite ; On court, hélas! après la vérité : Ah! croyez-moi, l'erreur a son mérite.
Page 638 - Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie, Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine, Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine ; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles...
Page 694 - Vos jeunes mains cueillent des fleurs Dont je n'ai plus que les épines; Vous dormez dessous les courtines Et des Grâces et des neuf Sœurs : Je leur fais encor quelques mines, Mais vous possédez leurs faveurs. Tout s'éteint, tout s'use, tout passe Je m'affaiblis, et vous croissez; Mais je descendrai du Parnasse Content, si vous m'y remplacez. Je jouis peu, mais j'aime encore; Je verrai du moins vos amours : Le crépuscule de mes jours S'embellira de votre aurore.