Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 3,Partie 2chez Th. Desoer, 1817 |
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... Mademoiselle Clairon . ** Le traducteur a mis Paris au lieu de Londres . *** Le traducteur a mis Passi au lieu de Kinsington . Le pauvre auteur est tapi dans un coin , Se 704 ÉPITRES .
... Mademoiselle Clairon . ** Le traducteur a mis Paris au lieu de Londres . *** Le traducteur a mis Passi au lieu de Kinsington . Le pauvre auteur est tapi dans un coin , Se 704 ÉPITRES .
Page 710
... Clairon . Au fond de son bourbier je fais rentrer Fréron . L'archidiacre Trublet prétend que je l'ennuie ; La ... Mademoiselle Corneille mariée à M. du Puits , officier de l'état - major . Son ombre entre nous trois aime encore à ...
... Clairon . Au fond de son bourbier je fais rentrer Fréron . L'archidiacre Trublet prétend que je l'ennuie ; La ... Mademoiselle Corneille mariée à M. du Puits , officier de l'état - major . Son ombre entre nous trois aime encore à ...
Page 711
... mademoiselle Clairon . -- 1765 . Le sublime en tout genre est le don le plus rare : C'est là le vrai phénix ; et , sagement avare , La nature a prévu qu'en nos faibles esprits Le beau , s'il est commun , doit perdre de son prix . La ...
... mademoiselle Clairon . -- 1765 . Le sublime en tout genre est le don le plus rare : C'est là le vrai phénix ; et , sagement avare , La nature a prévu qu'en nos faibles esprits Le beau , s'il est commun , doit perdre de son prix . La ...
Page 1007
... mademoiselle Clairon . · Sur l'air Annette à l'âge de quinze ans . DANS la grand'ville de Paris On se lamente , on fait des cris ; Le plaisir n'est plus de saison . La comédie N'est plus suivie , Plus de Clairon . Melpomène et le dieu d ...
... mademoiselle Clairon . · Sur l'air Annette à l'âge de quinze ans . DANS la grand'ville de Paris On se lamente , on fait des cris ; Le plaisir n'est plus de saison . La comédie N'est plus suivie , Plus de Clairon . Melpomène et le dieu d ...
Page 1012
... mademoiselle Clairon . Les talens , l'esprit , le génie , Chez Clairon sont très - assidus ; Car chacun aime sa patrie . Chez elle ils se sont tous rendus Pour célébrer certaine orgie * Dont je suis encor tout confus . Les plus beaux ...
... mademoiselle Clairon . Les talens , l'esprit , le génie , Chez Clairon sont très - assidus ; Car chacun aime sa patrie . Chez elle ils se sont tous rendus Pour célébrer certaine orgie * Dont je suis encor tout confus . Les plus beaux ...
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Expressions et termes fréquents
Adieu aimable aime âme Amours Apollon arts assez auteur avez Barmécide beauté beaux esprits belle bonheur bonté brillant cent chanter charmant Cideville ciel cieux Cirey cœur Cythère daignez dévots Dieu dieux digne dire divin donne doux écrit enfans envoyé épître êtes Ferney fesait fille fleurs Formont Fréron gens gloire goût guerre Hélas Henriade héros heureux homme j'ai j'aime jamais jésuites l'abbé l'amour l'art l'auteur l'esprit l'univers lauriers lettre long-temps Louis Louis XIV Macare madame de Pompadour madame Denis madame du Châtelet madame la marquise mademoiselle mademoiselle Clairon main maître malheureux marquise du Châtelet Melpomene mérite mieux mille monde Monsieur mortel muse Newton ouvrage paix pardonne parler Parnasse passer pense père peuple philosophe plaire plaisir plaisirs poëte prince prose Prusse qu'un raison ridicule rien rois sage saint sais sait savez sera seul sots souper talens tendre triste Vénus vertu veux vieux Voilà vois voix Voltaire yeux
Fréquemment cités
Page 1089 - Rendez-moi l'âge îles amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez , s'il se peut , l'aurore. Des Beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire , Le Temps , qui me prend par la main M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage Qui n'a pas l'esprit de son âge , De son âge a tout le malheur.
Page 885 - J'aime le luxe, et même la mollesse, Tous les plaisirs, les arts de toute espèce, La propreté, le goût, les ornements: Tout honnête homme a de tels sentiments.
Page 897 - Impunément le théâtre, la chaire, Et je mentis pour dix écus par mois. « Quel fut le prix de ma plate manie ? Je fus connu, mais par mon infamie. Comme un gredin que la main de Thémis A diapré de nobles fleurs de lis, Par un fer chaud gravé sur l'omoplate. Triste et honteux, je quittai mon pirate, Qui me vola, pour fruit de mon labeur, Mon honoraire, en me parlant d'honneur. « M'étant ainsi sauvé de sa boutique, Et n'étant plus compagnon satirique, Manquant de tout, dans mon...
Page 890 - Sachez surtout que le luxe enrichit Un grand état , s'il en perd un petit. Cette splendeur, cette pompe mondaine, D'un règne heureux est la marque certaine.
Page 1090 - On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Ainsi je déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié vint à mon secours; Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les Amours.
Page 760 - Philosophe indulgent, ministre citoyen, Qui ne cherchas le vrai que pour faire le bien; Qui d'un peuple léger, et trop ingrat peut-être, Préparais le bonheur et celui de son maître, Ce qu'on nomme disgrâce a payé tes bienfaits.
Page 1089 - Quoi! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien.
Page 847 - On écoutait tous ces faits admirables Dans son château, près d'un large foyer. Le père et l'oncle, et la mère et la fille, Et les voisins, et toute la famille, Ouvraient l'oreille à monsieur l'aumônier. Qui leur faisait des contes de sorcier. On a banni les démons et les fées; Sous la raison les grâces étouffées Livrent nos cœurs à l'insipidité ; Le raisonner tristement s'accrédite ; On court, hélas! après la vérité : Ah! croyez-moi, l'erreur a son mérite.
Page 638 - Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie, Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine, Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine ; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles...
Page 694 - Vos jeunes mains cueillent des fleurs Dont je n'ai plus que les épines; Vous dormez dessous les courtines Et des Grâces et des neuf Sœurs : Je leur fais encor quelques mines, Mais vous possédez leurs faveurs. Tout s'éteint, tout s'use, tout passe Je m'affaiblis, et vous croissez; Mais je descendrai du Parnasse Content, si vous m'y remplacez. Je jouis peu, mais j'aime encore; Je verrai du moins vos amours : Le crépuscule de mes jours S'embellira de votre aurore.