Du suicide et de la folie suicide considérés dans leurs rapports avec la statistique [&c.].Germer Baillière, 1856 - 663 pages |
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... paralysie générale , décrite par le docteur Magnus Huss , occupe une place considérable . Plusieurs fois l'abus des liqueurs fortes a été suivi de la monomanie du vol . L'exaltation génésique , la perversion de cet instinct , sont ...
... paralysie générale , décrite par le docteur Magnus Huss , occupe une place considérable . Plusieurs fois l'abus des liqueurs fortes a été suivi de la monomanie du vol . L'exaltation génésique , la perversion de cet instinct , sont ...
Page 135
... Paralysie générale . - Hallucinations . Folies sans indication . Préméditation , discernement dans la folie . - Danger de trop différer l'isolement . Suicide instantané . Impulsion au suicide . Ruses des suicides . - Lettres , écrits ...
... Paralysie générale . - Hallucinations . Folies sans indication . Préméditation , discernement dans la folie . - Danger de trop différer l'isolement . Suicide instantané . Impulsion au suicide . Ruses des suicides . - Lettres , écrits ...
Page 148
... paralysie générale . Il existe dans cette espèce d'aliénation une forme triste , bien moins fréquente que la forme ambitieuse ; il n'est pas rare , dans ce cas , d'entendre les malades dire qu'ils sont aliénés , perdus , et qu'il ne ...
... paralysie générale . Il existe dans cette espèce d'aliénation une forme triste , bien moins fréquente que la forme ambitieuse ; il n'est pas rare , dans ce cas , d'entendre les malades dire qu'ils sont aliénés , perdus , et qu'il ne ...
Page 281
... paralysie générale des aliénés . La pensée du jugement impressionne vivement quelques es- prits . Un jeune homme écrit à ses parents : « Lorsque vous recevrez cette lettre , je n'existerai plus ; je me suis rendu cou- pable d'un grave ...
... paralysie générale des aliénés . La pensée du jugement impressionne vivement quelques es- prits . Un jeune homme écrit à ses parents : « Lorsque vous recevrez cette lettre , je n'existerai plus ; je me suis rendu cou- pable d'un grave ...
Page 445
... générale , l'éducation , les exemples qu'ils ont eus sous les yeux et les souffrances qu'ils ont endurées ; les ... paralysie de la volonté , se sont donné la mort sans avoir conscience de leur action , ou sans avoir eu la force de ...
... générale , l'éducation , les exemples qu'ils ont eus sous les yeux et les souffrances qu'ils ont endurées ; les ... paralysie de la volonté , se sont donné la mort sans avoir conscience de leur action , ou sans avoir eu la force de ...
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Du suicide et de la folie suicide considérés dans leurs rapports avec la ... Alexandre Jacques F. Brierre de Boismont Affichage du livre entier - 1856 |
Expressions et termes fréquents
abstinence aliénés âmes Annales médico-psychologiques armes à feu arrive Asphyxie assez avaient avons Boismont Calmeil caractère cause chagrin charbon chiffre chose cide circonstances civilisation cœur considérable constaté coup dégoût delirium tremens dernier désespoir détermination Dieu donner la mort douleur doute ecchymose écrit enfants esprit Esquirol état famille fatale femme fille folie force fortune général genre de mort hallucinations heures hommes Hypochondrie idées individus influence instant j'ai jeune jours l'aliénation l'ennui l'esprit l'homme l'influence laisser lettres madame de Staël maladie malheureux médecin médecine légale mélancolie menstruation ment mentale misère monde monomanie triste morale morts volontaires motifs mourir moyen nombre des suicides observations paralysie générale parents passé passions pellagre pendant père personnes pistolet précipite presque prison proportion Prosper Lucas quelquefois raison rapport religieux remarque résolution reste résultat Résumé rien s'était Saint-Marc Girardin sensibilité sentiments serait seul sorte souffrances souvent statistique strangulation submersion suivant surtout symptômes tentatives tion tristesse trouve tuent tuer
Fréquemment cités
Page 173 - L'homme qui attente à ses jours montre moins la vigueur de son âme que la défaillance de sa nature. Je possédais un fusil de chasse dont la détente usée partait souvent au repos. Je chargeai ce fusil de trois balles, et je me rendis dans un endroit écarté du grand Mail. J'armai le fusil, j'introduisis le bout du canon dans ma bouche, je frappai la crosse contre terre ; je réitérai plusieurs fois l'épreuve: le coup ne partit pas; l'apparition d'un garde suspendit ma résolution.
Page 289 - Sa sensibilité est devenue trop vive; ce qui ne fait qu'effleurer les autres le blesse jusqu'au sang; les affections et les tendresses de sa vie sont écrasantes et disproportionnées; ses enthousiasmes excessifs...
Page 36 - ... dupe de l'esprit. Son état moral a été dès sa plus tendre enfance si peu naturel et si altéré, que son être actuel fait un tout artificiel qui ne ressemble à rien.
Page 482 - Toujours seul au milieu des hommes, je rentre pour rêver avec moi-même et me livrer à toute la vivacité de ma mélancolie. De quel côté est-elle tournée aujourd'hui? Du côté de la mort. Dans l'aurore de mes jours , je puis encore espérer de vivre longtemps. Je suis absent depuis six ou sept ans de ma patrie.
Page 195 - Monsieur le curé, lui dit-elle, vous serez fort content de moi; mais faites-moi grâce de trois choses : ni questions, ni raisons, ni sermons...
Page 483 - I le tableau actuel de ma patrie et l'impuissance de la changer sont une nouvelle raison de fuir une terre où je suis obligé par devoir de louer des hommes que je dois haïr par vertu. Quand j'arriverai dans ma patrie, quelle figure faire, quel langage tenir? Quand la patrie n'est plus, un bon citoyen doit mourir.
Page 173 - J'armai le fusil, j'introduisis le bout du canon dans ma bouche, je frappai la crosse contre terre ; je réitérai plusieurs fois l'épreuve : le coup ne partit pas; l'apparition d'un garde , suspendit ma résolution. Fataliste sans le vouloir et sans le savoir, je supposai que mon heure n'était pas arrivée, et je remis à un autre jour l'exécution de mon projet. Si je m'étais tué, tout ce que j'ai été s'ensevelissait avec moi; on ne saurait rien de l'histoire qui m'aurait conduit à ma catastrophe;...
Page 290 - C'est au législateur à guérir cette plaie, l'une des plus vives et des plus profondes de notre corps social; c'est à lui qu'il appartient de réaliser dans le présent une partie des jugements meilleurs de l'avenir, en assurant quelques années d'existence seulement à tout homme qui aurait donné un seul gage du talent divin. Il ne lui faut que deux choses : la vie et la rêverie; le PAIN et le TEMPS.
Page 616 - J'eus le bonheur de voir qu'il les entendait et qu'il répétait certaines parties de ces chants. Un jour, enfin, il ouvrit les yeux un seul instant, et je vis qu'ils étaient bleus comme ceux de l'esprit qui m'était apparu en rêve. Un matin, à quelques jours de là, il tint ses yeux grands ouverts et ne les ferma plus.
Page 464 - Dieu nous a donné pour nous forcer de les secourir. En établissant qu'il n'y avait pas de degré dans les fautes , et que toute faiblesse était un crime , elle faisait violence à la raison comme au cœur de l'homme. De là, sans doute, devaient...