Les maîtres sonneursMichel-Lévy, 1865 - 391 pages |
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Page iii
... sentais dans la na- ture , et qu'il te devenait nécessaire d'aller chercher à Paris le contrôle de la pensée et de l'expérience des au- tres . Je t'ai laissé partir , mais à la condition que tu re- viendrais passer ici tous les étés ...
... sentais dans la na- ture , et qu'il te devenait nécessaire d'aller chercher à Paris le contrôle de la pensée et de l'expérience des au- tres . Je t'ai laissé partir , mais à la condition que tu re- viendrais passer ici tous les étés ...
Page 6
... sentais déjà d'aimer Brulette plus que je n'y étais obligé comme cousin , et j'étais jaloux de ce que Joseph demeurait avec elle dans un petit logis distant d'une portée de fusil des dernières maisons du bourg , et du mien d'un quart de ...
... sentais déjà d'aimer Brulette plus que je n'y étais obligé comme cousin , et j'étais jaloux de ce que Joseph demeurait avec elle dans un petit logis distant d'une portée de fusil des dernières maisons du bourg , et du mien d'un quart de ...
Page 17
... sentais ma tète s'en aller en des folletés d'amour qui n'étaient point encore de l'âge de ma cousine , et qui , mêmement pour le mien , devançaient un peu trop la bonne saison . Dans ce temps - là , mon père m'emmena à la foire d'Or ...
... sentais ma tète s'en aller en des folletés d'amour qui n'étaient point encore de l'âge de ma cousine , et qui , mêmement pour le mien , devançaient un peu trop la bonne saison . Dans ce temps - là , mon père m'emmena à la foire d'Or ...
Page 40
... sentais plus les miennes . Je me trouvai là , tout étonné d'avoir fait ce bout de chemin comme un tour- billon de vent , et , quand je repris mon souffle , je n'enten- dis plus rien , au loin ni auprès ; je ne vis plus rien , ni sous l ...
... sentais plus les miennes . Je me trouvai là , tout étonné d'avoir fait ce bout de chemin comme un tour- billon de vent , et , quand je repris mon souffle , je n'enten- dis plus rien , au loin ni auprès ; je ne vis plus rien , ni sous l ...
Page 45
... sentais point le courage , craignant de la fâcher et de perdre son amitié , qui me paraissait encore douce , même sans le restant de ses bonnes grâces . Un soir , revenant à mon logis , je trouvai Joseph assis au bord de la fontaine qu ...
... sentais point le courage , craignant de la fâcher et de perdre son amitié , qui me paraissait encore douce , même sans le restant de ses bonnes grâces . Un soir , revenant à mon logis , je trouvai Joseph assis au bord de la fontaine qu ...
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Expressions et termes fréquents
aime amitié Archignat assez avez bâtine beau belle Benoît bêtes bois bon Dieu Bourbonnais bras Bûcheux c'était cacher carme Carnat Chambérat Charlot cheux chose clairin cœur connaissance content cornemuseux courage cousine d'Huriel danse demander diable dire dis-je disant dit-il donner dormir écouter emmi enfant êtes eût fàché faisait femme fille fougeraie frère garçon gentil Grand-Bûcheux grand-père guère herbu heure homme idée j'ai j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Joseph Joset laisser lette m'avait m'en maître maître sonneur Malzac Mariton ment mère mieux mignonne monde muletier musette musique n'ai n'avait n'en n'était Nohant nuit paraissait parler paroles passé pauvre pays pense père Bastien père Brulet personne peux porte prit qu'Huriel quitter raison regarder rence répondis-je répondit Brulette répondit Huriel reprit reste rien s'en s'il Saint-Chartier sais savais sentais seph serait seul Sidiailles sœur songer sonneurs souhaité Thérence Tiennet tranquille trouver venait veux voilà voulait voyant yeux