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Ibid.

LXXIX. Résolution du synode, qu'on pouvoit retoucher aux
Confessions de foi, et en même temps obligation d'y souscrire.

392

LXXX. Décret des Prétendus Réformés de France au synode

de Charenton, pour approuver celui de Dordrect. La certi-

tude du salut reconnue comme le point principal. 393

LXXXI. Nouvelle souscription du synode de Dordrect par les
Réfugiés de France.

Ibid.

LXXXIII. Les décisions de Dordrect peu essentielles. Sentimens
du ministre Jurieu.

Ibid.

Ibid.

LXXXIX. Que la Réforme permet aux particuliers de s'attribuer
plus de capacité pour entendre la saine doctrine, qu'à tout le
reste de l'Eglise.

Ibid.

XCIV. Connivence du synode de Dordrect, non-seulement sur ces excès des Prétendus Réformateurs, mais encore sur ceux des Remontrans.

Page 403

XCV. Décret de Charenton, où les Luthériens sont reçus à la

communion.

XCVI Conséquences de ce décret.

404

Ibid.

XCVII. Les Calvinistes n'avoient jamais fait de semblable avance.

XCVIII. Date mémorable du décret de Charenton.

405 Ibid.

XCIX. Grand changement dans la controverse par ce décret. Il convainc les Calvinistes de calomnie.

406

C. Le sens littéral et la présence réelle nécessaires.
CI. Le principal sujet de la rupture rendu vain.

Ibid.

407

CII La haine du peuple tournée contre la transsubstantiation, qui est bien moins importante.

408

CIII. Jésus-Christ n'est plus adorable dans l'Eucharistie, comme on le croyoit auparavant.

Ibid.

CIV. On tolére dans les Luthériens les actes intérieurs de l'adoration, et on rejette les extérieurs, qui n'en sont que le témoignage.

CV. Vaine réponse.

CVI. L'ubiquité tolérée.

409

Ibid.

410

CVII On ne compte pour important que le culte extérieur. Ibid. CVIII. Le fondement de la piété, qu'on reconnoissoit autrefois,

411

est changé.

CIX. Les disputes de la prédestination ne font plus rien à l'essence de la religion. Ibid.

CX. Deux autres nouveautés remarquables, qui suivent du décret de Charenton.

Ibid.

CXI. Distinction des points fondamentaux, et inévitable embarras de nos Réformés.

Ibid.

CXII. On est contraint d'avouer que l'Eglise romaine est vraie Eglise, et qu'on s'y peut sauver.

412

CXIII. Conférence de Cassel, où les Luthériens de Rintel s'accordent avec les Calvinistes de Marpourg. CXIV. Article important de cet accord sur la fraction du pain de l'Eucharistie.

413

Ibid.

CXV. Démonstration en faveur de la Communion sous une es

pèce.

414

CXVI. Etat présent des controverses en Allemagne.

Ibid.

CXVII. Le relâchement des Luthériens donne lieu à ceux de Cameron et de ses disciples, sur la grâce universelle. Page 415 CXVIII. Si la grâce universelle étoit contraire au synode de Dordrect.

416

CXIX. Décret à Genève contre la grâce universelle, et la question résolue par le magistrat. Formule helvétique. 417 CXX. Autre décision de la formule helvétique sur le texte hébreu, dont les savans du parti se moquent. Variation sur la Vulgate.

418

CXXI. Autres décisions de Genève et des Suisses. Combien improuvées par M. Claude. Ibid. CXXII. Le serment du Test en Angleterre,: Que les Anglais s'y rapprochent de nos sentimens, et ne condamnent l'Eglise romaine que par une erreur manifeste.

ADDITION IMPORTANTE AU LIVRE XIV.

421

I. Nouveau livre du ministre Jurieu sur l'union des Calvinistes avec les Luthériens.

426

II. Récriminations du ministre Jurieu contre les Luthériens sur les blasphemes de Luther. III. Si Calvin a moins blasphémé que

428

Luther.

430

IV. Autre récrimination du ministre Jurieu. Les Luthériens convaincus de pélagianisme."

432

V. Suite des récriminations. Les Luthériens convaincus de nier la nécessité des bonnes œuvres.

434

VI. Autre récrimination sur la certitude du salut. Les Luthériens convaincus de contradiction et d'aveuglement.

435

VII. Autre récrimination. Le prodige de l'ubiquité.

437

VIII. La compensation des dogmes proposée aux Luthériens par le ministre Jurieu.

438

IX. Moyen d'avancer l'accord proposé par le ministre. Les princes juges souverains de la religion.

440

X. Les Calvinistes prêts à souscrire à la Confession d'Ausbourg.

441

XI. Merveilleux motifs d'union proposés aux Luthériens.

443

XII. Les deux partis irréconciliables dans le fond, selon le ministre Jurieu.

445

XIII. Demande aux Luthériens et aux Calvinistes.

447

LIVRE XV.

Variations sur l'article du symbole : Je crois l'Eglise catholique. Fermeté inébranlable de l'Eglise romaine.

I. La cause des Variations des Eglises protestantes, c'est de n'avoir pas connu ce que c'étoit que l'Eglise. Page 449 II. L'Eglise catholique s'est toujours connue elle-même, et n'a jamais varié dans ses décisions. Ibid.

III. Doctrine de l'Eglise catholique sur l'article de l'Eglise. Quatre points essentiels et inséparables les uns des autres. 450 IV. Sentimens des Eglises protestantes sur la perpétuelle visibilité de l'Eglise. La Confession d'Ausbourg.

451 V. Cette doctrine, avouée par les Protestans, est la ruine de leur Réforme et la source de leur embarras. 452 VI. A quoi précisément les Protestans se sont obligés par cette doctrine.

453

VII. La perpétuelle visibilité de l'Eglise confirmée par l'Apolo gie de la Confession d'Ausbourg.

Ibid.

VIII. Comment on ajustoit cette doctrine avec la nécessité de la réformation.

454 IX. La perpétuelle visibilité confirmée, dans les articles de Smalcalde, par les promesses de Jésus-Christ. 455 X. La Confession saxonique, où l'on commence à marquer la difficulté, sans se départir néanmoins de la doctrine précédente.

456

XI. Doctrine de la Confession de Virtemberg, et la perpétuelle

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XV. La Confession helvétique de 1566, et la perpétuelle visibilité très-bien établie.

Ibid.

XVI. Commencement de variation. L'Eglise invisible commence à paroître.

461

XVII. L'Eglise invisible pourquoi inventée : aveu du ministre

Jurieu.

462

XVIII. Confession Belgique, et suite de l'embarras.
XIX. L'Eglise anglicane.

463

464

XX. Confession d'Ecosse; et manifeste contradiction.

465

XXI. Catéchisme des Prétendus Réformés de France. Page 465

XXII. Suite, où l'embarras paroît. L'Eglise du Symbole à la fin

reconnue pour visible.

466

XXIII. Sentiment de Calvin.

467

XXIV. Confession de foi des Calvinistes de France.

468

XXV. Suite, où la perpétuelle visibilité est toujours manifeste

ment supposée.

469

473 XXX. Décision mémorable, à laquelle on ne se tient pas du synode de Gap, sur la vocation extraordinaire. XXXI. Les ministres éludent le décret de la vocation extraordinaire.

XXVI. L'Eglise romaine excluse du titre de vraie Eglise par l'article xxvii de la Confession de France. XXVII. L'article xxx1, où l'interruption du ministère, et la cessation de l'Eglise visible est reconnue. XXVIII. Embarras dans les synodes de Gap et de la Rochelle, sur ce que l'Eglise invisible avoit été oubliée dans la Confession. 471 XXIX. Vaine subtilité du ministre Claude pour éluder ces synodes.

Ibid.

470

Ibid.

474

XXXII. La vocation extraordinaire, posée dans la Confession, et dans deux synodes nationaux, est abandonnée. XXXIII. Etat présent de la controverse de l'Eglise combien important.

475

476

XXXIV. On ne nous conteste plus la visibilité de l'Eglise. Ibid.
XXXV. Les promesses de J. C. sur la visibilité sont avouées. 477
XXXVI. Autre promesse également avouée.
XXXVII. La visibilité entre dans la définition que le ministre
Claude a donnée de l'Eglise.

478

Ibid.

XXXVIII. Comment la société des fidèles est visible selon ce ministre.

479

XXXIX. Avant la réformation les élus de Dieu sauvés dans la communion et sous le ministère romain.

Ibid.

XL. Ce ministre n'a pas eu recours aux Albigeois, etc.
XLI. Embarras et contradiction inévitable.
XLII. Les réponses par où l'on tombe dans un plus grand em-
barras.

480

Ibid.

481

XLIII. Selon les principes du ministre, tout est dans l'Eglise ro

maine en son entier par rapport au salut éternel. XLIV. Nulle différence entre nos pères et nous.

482

483

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