Histoire de la Convention nationale, Volume 2 |
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Histoire de la Convention nationale, Volume 2 Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante Affichage du livre entier - 1851 |
Histoire de la convention nationale, Volume 2 Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante Affichage du livre entier - 1851 |
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Expressions et termes fréquents
10 août accusation amis armées assemblées avaient avez Barbaroux Barère Beurnonville Brissot Buzot c'était citoyens comité commissaires commune conseil exécutif conspirateurs constitution Convention nationale courage criait crimes Danton déclare décret défense défenseurs demanda dénoncer départements députés désordre despotisme devait disait disait-il discours discussion dit-il Dumouriez ennemis eût faction fût Garat Gensonné Gironde Girondins gouvernement Guadet guerre hommes Jacobins jour jugement justice l'accusé l'appel au peuple l'armée l'Assemblée l'échafaud l'opinion l'orateur l'ordre Lanjuinais législative liberté lois Louis Capet Louis XVI majorité Malesherbes mandé Marat massacres menaces ment mesures ministre mort municipalité n'avait n'était nation opinions parler paroles passions patrie patriotes Pétion politique pouvait président procès projet prononcer proposa proposition public publique question représentants républicain république Révolution Robespierre Roland royauté s'était Saint-Just salle sang Santerre sauver scélérats séance sections semblait septembre serait seul sort souveraineté sûreté générale Tallien tion tribunal révolutionnaire tribune tyran vention Vergniaud voix vote voulait voulu
Fréquemment cités
Page 278 - Je dois à mon honneur, je dois à ma famille de ne «point souscrire à un jugement qui m'inculpe d'un crime «que je ne puis me reprocher. En conséquence je déclare «que j'interjette appel à la nation elle-même du jugement
Page 313 - ... qu'il a l'autorité nécessaire ; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.
Page 313 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve; qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois...
Page 295 - ... le plus léger reproche. Eh bien ! monsieur de Malesherbes , je vous le jure dans toute la sincérité de mon cœur, comme un homme qui va paraître devant Dieu , j'ai constamment voulu le bonheur de mon peuple , et n'ai pas formé un seul vœu qui lui fût contraire.
Page 122 - C'est de graver profondément dans les cœurs le mépris de la royauté, et de frapper de stupeur tous les partisans du roi : donc présenter à l'univers son crime comme un problème, sa cause comme l'objet de la discussion la plus imposante, la plus religieuse, la plus difficile qui puisse occuper les...
Page 189 - Citoyens, je vous parlerai avec la franchise d'un homme libre. Je cherche parmi vous des juges et je n'y vois que des accusateurs.
Page 87 - J'avoue pourtant que l'usage des peuples les plus libres qui aient jamais été sur la terre me fait croire qu'il ya des cas où il faut mettre pour un moment un voile sur la liberté, comme l'on cache les statues des dieux.
Page 126 - Avocats du roi, est-ce par pitié ou par cruauté que vous voulez le soustraire à la peine de ses crimes ? Pour moi, j'abhorre la peine de mort prodiguée par vos lois; et je n'ai pour Louis ni amour ni haine; je ne hais que ses forfaits. J'ai demandé l'abolition de la peine de mort à l'assemblée que vous nommez encore constituante ; et ce n'est pas ma faute si les premiers principes de la raison lui ont paru des hérésies morales et politiques.
Page 298 - Garat, ministre de la justice; Lebrun , ministre des affaires étrangères; Grouvelle, secrétaire du conseil ; le président et le procureur général syndic du département, le maire et le procureur de la commune, le président et l'accusateur public du tribunal criminel. Santerre, qui devançait les autres, me dit : « Annoncez le conseil exécutif.
Page 277 - Citoyens, je vais proclamer le résultat du scrutin. Vous allez exercer un grand acte de justice; j'espère que l'humanité vous engagera à garder le plus profond silence : quand la justice a parlé l'humanité doit avoir son tour.