David, dit-il, était à la tribune où il balbutiait quelques paroles sourdes qu'il cherchait, mais en vain, à opposer à la fureur de plusieurs de ses collègues acharnés à le faire décréter d'accusation. Il était pâle, et la sueur qui tombait... Louis David, son école et son temps: souvenirs - Page 9de Etienne Jean Delécluze - 1855 - 452 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Etienne Jean Delécluze - 1855 - 470 pages
...qui préoccupait l'assemblée en ce moment. Le représentant du peuple, le peintre David, était à la tribune , où il balbutiait quelques paroles sourdes...imprimait de larges taches. Etienne avait souvent entendu parler des tableaux des Horaces et de Erutus , 11 savait que David était le peintre le plus... | |
| 1855 - 1348 pages
...sentiment pittoresque d'un artiste : « Le représentant du peuple, le peintre David, dit-il, était à la tribune où il balbutiait quelques paroles sourdes...et la sueur qui tombait de son front roulait de ses vêtemens jusqu'à terre, où elle imprimait de larges taches. Etienne, — M. Delécluze ne consent... | |
| Vicomte Henri Delaborde - 1864 - 500 pages
...sentiment pittoresque d'un artiste : « Le représentant du peuple, le peintre David, dit-il, était à la tribune où il balbutiait quelques paroles sourdes...terre, où elle imprimait de larges taches. Etienne, — M. Delécluze ne consent à se mettre en scène qu'à l'ombre de ce prénom, — Etienne avait... | |
| 1921 - 936 pages
...d'assister à la séance. Quel spectacle ! « Le représentant du peuple, le peintre David, était à la tribune, où il balbutiait quelques paroles sourdes...cherchait, mais en vain, à opposer à la fureur de ses collègues... Il était pâle et la sueur qui tombait de son front roulait de ses vêtements jusqu'à... | |
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