| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1813 - 284 pages
...pensées fort au-dessus des » communes affections des hommes. Le même » sentiment qui obligea cette fille généreuse à » refuser tout commerce avec...roi, qui » égaloit quasi celle des dames les plus moj> destes, l'obligeoit à beaucoup de reconnois» sance, elle croyoit devoir payer celte amitié... | |
| Stéphanie Félicité de Genlis - 1813 - 378 pages
...pen» se'es fort au-dessus des communes affections des hommes. » Le même sentiment qui obligea cette fille généreuse à » refuser tout commerce avec...» la sagesse du roi , qui égaloit quasi celle des damée les » plus modestes , l'obligeoit à beaucoup de reconnois» sance , elle croyoit devoir payer... | |
| 1824 - 458 pages
...pensées pour elle fort au-dessus des communes affections des hommes. Le même sentiment qui obligea cette fille généreuse à refuser tout commerce avec le...pouvoit que plaire à ce prince et déplaire à la Reine , quoiqu'elle fût accoutumée au malheur de n'être pas aimée du Roi son mari. Cette privation d'un... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 444 pages
...pensées pour elle fort au-dessus des communes affections des hommes. Le même sentiment qui obligea cette fille généreuse à refuser tout commerce avec le...pouvoit que plaire à ce prince et déplaire à la Reine , quoiqu'elle fût accoutumée au malheur de n'être pas aimée du Roi son mari. Cette privation d'un... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 646 pages
...pensées pour elle fort au-dessus des communes affections des hommes. Le même sentiment qui obligea cette fille généreuse à refuser tout commerce avec le...vertueuse par une grande fidélité pour ses secrets. Uu attachement si grand et si parfait ne pouvoit que plaire à ce prince et déplaire à la Reine,... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 656 pages
...pensées pour elle fort au-dessus des communes affections des hommes. Le même sentiment qui obligea cette fille généreuse à refuser tout commerce avec le...vivre avec assez de retenue avec la Reine. Comme la sapesse du Roi , qui egaloit quasi celle des dames les plus modestes, l'obligeoit a beaucoup de reconnoissance,elle... | |
| Françoise de Motteville - 1855 - 466 pages
...pensées pour elle fort au-dessus des communes affections des hommes. Le même sentiment qui obligea cette fille généreuse à refuser tout commerce avec le...la fit vivre avec assez de retenue avec la Reine. [Non qu'elle lui rendît de mauvais offices, comme sa rivale, madame de llautefort, le voulait souvent... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 646 pages
...pensées pour elle fort au-dessus des communes affections des hommes. Le même sentiment qui obligea cette fille généreuse à refuser tout commerce avec le...que plaire à ce prince et déplaire à la Reine, quoiqu'elle fût accoutumée au malheur de n'être pas aimée du Roi son mari. Cette privation d'un... | |
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