| 1804 - 266 pages
...les accords. J.-B. Rorssiiu. ODE tirée du psauras CXLY. J\ 'ESPÉRONS plus, mon ame, auxpromesses du monde ; Sa lumière est un verre , et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêch» de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivi» : C'est Dieu qui nous fait... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1813 - 570 pages
...avec plus de. vivacité que moi : N'espérons plus , mon aine , aux promesses du inonde ; Son éclat est un verre , et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche da calmer. Quittons les vanités , lassons-nous de les suivre : C'est Dieu qui nous fait vivre , C'est... | |
| 1819 - 312 pages
...une louange Qui demeure éternellement. POÉSIES SACRÉES. PARAPHRASE DU PSEAUME CSIV; IV 'ESPÉRONS plus, mon âme , aux promesses du monde; Sa lumière est un verre , et sa faveur vne onde , Que tousiours quelque vent empesche de calmer. Quittons ces vanitez, lassons-nous de les... | |
| François de Malherbe - 1822 - 512 pages
...crimes; Et même ses courroux, tant soient-ils légitimes, Sont des marques de son amour. Nos affections passagères, Tenant de nos humeurs légères, Se font vieilles en un moment; Quelque nouveau desir comme un vent les emporte : La sienne, toujours ferme, et toujours d'une sorte,... | |
| 1823 - 428 pages
...la langue et l'harmonie. Nous citerons ici sa paraphrase (l'une partie dur psaume CXLV: NVspérons plus, mon âme , aux promesses du monde ; Sa lumière est un verre , et sa faveur nue onde Que toujours quelque vent empêche de calmer, tyuiilons res vanilcs. lassons-nous de les suitrc;... | |
| François de Malherbe - 1825 - 418 pages
...crimes; Et même ses courroux, tant soient-ils légitimes, Sont des marques de son amour. Nos affections passagères , Tenant de nos humeurs légères , Se font vieilles en un moment ' ; Quelque nouveau desir comme un vent les emporte : La sienne, toujours ferme, et toujours d'une... | |
| Girault de Saint-Fargeau - 1833 - 990 pages
...langue vers la fiu du seizième siècle et le commencement du dixseptième. « N'espérons plus, mou âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde. Que toujours quelque veut empêche de calmer: Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre: C'est Dieu qui nous fait... | |
| Henri Fleury, Louis Paris - 1837 - 488 pages
...mentir. F. GLxw. PETITE CHRONIQUE. LETTRES CHAMPENOISES. (•ni'). » QJUwtrt 4Ftcmms. Nos affections passagères-, Tenant de nos humeurs légères Se font vieilles en un moment. Quelque nouveau désu\ comme un vent, lei-emporle. MALHUBK. Voilà bien des fêtes à vous décrire... | |
| Nicolas Boileau Despréaux, Jean-Baptiste Rousseau, François de Malherbe - 1840 - 722 pages
...Et même ses courroux , tant soient-ils légitimes , Sont des marques de son amour. Nos affections passagères , Tenant de nos humeurs légères, Se font vieilles en un moment 3; Quelque nouveau désir comme un vent les emporte : La sienne , toujours ferme , et toujours d'une... | |
| Paul Ackermann - 1841 - 134 pages
...Bien à son aise l'homme nage, A qui l'on soutient le menton. Baïf. Mimes et enseignements. L. l. N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde:...onde, Que toujours quelque vent empêche de calmer. Malherbe. Paraphrase. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout... | |
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