Mercure de France au dix-neuvième siècle1767 |
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Expressions et termes fréquents
affez affuré ainfi amant août auffi avoient avoit Bafile Baron c'eft c'eſt c'étoit caufe ceffe chant charmes chofes claffe Clarange cœur Comte confidérable connoître deffein déja Dieu difcours diftribution efprit enfans enfuite eſt étamines étoient étoit Eugénie facré fage faifant faint fans favoir fcène fe font fe trouve fecond fecours fecret fein femble femmes fens fent fept feroit fervir feul fexe fiècle fieur fociété foin foit folitaire fon père fous fouvent François fublime fuccès fuis fuite fuivant fujet hérault homme intéreffant Jofué jour jufqu'à jufte juill l'amour l'auteur l'efprit laiffe laille Libraire loix long-temps Marquife Mde Murer ment Mercure Miniftre Mlle mufique n'avoit n'eft néceffaire obfervations ouvrage paffer paroît penfer perfonne philofophes PIERRE COR plaifir plufieurs poëte Prédicateurs préfent preffe premier Pronleroy propofé quai de Conti raifon refpect refte rue Saint s'eft Sapho Sir Charles Sône tion yeux دو دو رو وو
Fréquemment cités
Page 215 - Avril, la grâce et le ris De Cypris, Le flair et la douce haleine ; Avril, le parfum des Dieux, Qui, des deux, Sentent l'odeur de la plaine; C'est...
Page 101 - Pour remplir cet objet, on* donne la préférence aux faits qui amènent plus naturellement des notes...
Page 90 - S'irrite par degrés, & fe change en fureur. Près de ces lieux charmans, de ces bords où la vue Admire, en s'égarant, une immenfe étendue, Où la plaine des Mers, & la voûte des Cieux Semblent, dans le lointain, fe confondre à nos yeux. Non loin de cette rive eft un lit de verdure, Qu'ombrage un orme épais, qu'arrofe une onde pure.
Page 192 - Histoire de la prédication, ou la Manière dont la parole de Dieu a été prêchée dans tous les siècles. Ouvrage utile aux prédicateurs, et curieux pour les gens de lettres.
Page 175 - Le moissonneur actif que le soleil dévore , Le berger dans la plaine errant avant l'aurore ? Que fait le forgeron soulevant ses marteaux , Le vigneron brûlé...
Page 175 - ... habitans des eaux , Et ces hôtes ailés qui peuplent nos berceaux. L'Amphion des forêts , tandis que tout sommeille , Prolonge en ton honneur son amoureuse veille ; Et seul sur un rameau, dans le calme des nuits, II aime à moduler ses douloureux ennuis.
Page 166 - Le savant persifflage, et les mots usités ; De vos cercles bourgeois franchissez les ténèbres, Obtenez quelques mois de nos femmes célèbres ; Leur entretien , utile à vos sens rajeunis , Vous enluminera du moderne vernis. Instruisez-vous des soins, des égards que mérite La femme que l'on prend , et celle que l'on quitte. Dissertez sans objet, riez avec ennui : Le monde...
Page 55 - Elles sont destinées sur-tout à assurer les propriétés. Or comme on peut enlever beaucoup plus à celui qui a, qu'à celui qui n'a pas elles sont évidemment une sauvegarde accordée au riche contre le pauvre. C'est une chose dure à penser, et pourtant bien démontrée, qu'elles sont, en quelque sorte, une conspiration contre la plus nombreuse partie du genre humain. C'est contre ceux qui ont le plus grand besoin...
Page 174 - Que j'aimois de tes fons l'heureufe fym''trie , leur accord , leur divorce & leur économie ! Organe de l'Amour auprès de la Beauté , Tu verfois dans les cœurs la tendre volupté. L'Amante en vain s'armoit d'un orgueil inflexible } Elle couroit t'entendre & revenoit fenfible.
Page 174 - Las du céleste ennui, jaloux de nos hommages, Sous les traits d'un berger parut dans nos bocages : Sous ces humbles dehors, heureux et caressé , II retrouva les cieux dans les regards d'Issé ; Et goûtant de deux cœurs la douce sympathie , Fut dieu plus que jamais dans les bras de Clilhie.