Le spectateur français au XIXme siècle, ou Variétés religieuses, morales, politiques, scientifiques et littéraires, en une série d'articles neufs ou recueillis des meilleurs écrits périodiques, Volume 7 |
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Le spectateur français au XIXme siècle, ou Variétés ..., Volumes 1 à 12 Affichage du livre entier - 1805 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 216 - ... tout ce qui l'environne semble être sorti du cercueil pour y rentrer pêle-mêle avec lui. Si l'horreur du dernier moment est si pénétrante au milieu des pompes de la vanité , sous le dais de l'opulence , qui couvre encore de son faste l'orgueilleuse proie que la mort lui arrache , quelle impression doit-elle produire dans des lieux où toutes les misères et toutes les horreurs sont rassemblées ! Voilà ce que bravent le zèle et le courage pastoral.
Page 213 - ... l'abus dans ce nouveau période fut une espèce d'emphase magistrale, une audace imprudente, une sorte de fanatisme dans les opinions, et surtout un ton affirmatif et dogmatique, qui faisait dire à Fontenelle, alors dans sa centième année et témoin encore de cette révolution Je suis effrayé de l'horrible certitude que je rencontre à présent partout.
Page 308 - Fièrement prend en main la trompette héroïque. Sa muse déréglée, en ses vers vagabonds, Ne s'élève jamais que par sauts et par bonds, Et son feu, dépourvu de sens et de lecture, S'éteint à chaque pas, faute de nourriture.
Page 71 - Les méditations y prennent je ne sais quel caractère grand et sublime, proportionné aux objets qui nous frappent , je ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en s'élevant au-dessus, du séjour des hommes on y laisse tous les sentiments bas et terrestres, et qu'à mesure qu'on approche des régions éthérées, l'âme contracte quelque chose de leur inaltérable pureté.
Page 216 - ... il le détourne ; ce qu'il ne peut sauver, il le console , il le porte jusque dans le sein de Dieu ; nuls témoins, nuls spectateurs, rien ne le soutient ; ni la gloire, ni le préjugé, ni l'amour de la renommée , ces grandes...
Page 20 - Voit* voyez un homme presque aussi heureux que s'il était mort. Je suis comme cette femme qui voulait, en dépit d'elle-même, devenir dévote, ne pouvant plus être autre chose, et qui tâchait en vain d'y parvenir : Ils me font lire, disait-elle, des livres de dévotion; je m'en excède, je m'en bourre, et tout me reste sur l'estomac. Voilà où j'en suis réduit, ma chère Julie; les lettres que je reçois d'un grand roi, le baume qu'il veut bien essayer de mettre sur mes plaies, sa philosophie...
Page 282 - L'amour du jeu rêveur qu'inventa Palamède , Sur des carrés égaux, différens de couleur, Combattant sans danger, mais non pas sans chaleur, Par cent détours savans conduit à la victoire Ses bataillons d'ébène et ses soldats d'ivoire : Long-temps des camps rivaux le succès est égal ; Enfin l'heureux vainqueur donne l'échec fatal, Se lève, et du vaincu proclame la défaite ; L'autre reste atterré dans sa douleur muette, Et, du terrible mat à regret convaincu , Regarde encor long-temps...
Page 163 - Il s'y loge ; et sur le soir , » il ordonne qu'on lui dresse son lit dans l'appartement » sur>ie devant ; qu'on lui apporte ses tablettes, sa plume « et de la lumière , et que ses gens se retirent au fond ,, de la maison. Lui , de peur que son imagination libre...
Page 215 - Les subsides , les impôts , les » élémens même fatiguent leur triste existence ; dociles » à cette voix paternelle qui les rassemble , qui les » ranime , ils tolèrent , ils supportent , ils oublient tout : » je ne sais quelle onction puissante s'échappe de nos » tabernacles ; le sentiment toujours actif de cette autre
Page 18 - Mais vous n'êtes plus ! vous êtes descendue dans le tombeau, persuadée que mes regrets ne vous y suivraient pas ! Ah ! si vous m'aviez seulement témoigné quelque douleur de vous séparer de moi, avec quelles délices je vous aurais suivie dans l'asile éternel que vous habitez ! Mais je...