L'Art de dire: dans la lecture et la récitation: dans la causerie et le discoursLibrairie Armand Colin, 1903 - 320 pages |
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... . Voilà comment on interprète de belles pièces de tout genre , de toute époque , françaises ou traduites de langues étran- gères , avant ou après lesquelles on lit ou récite des pages de vers ou de de bonne musique 1 . 4 LIVRE PRÉLIMINAIRE.
... . Voilà comment on interprète de belles pièces de tout genre , de toute époque , françaises ou traduites de langues étran- gères , avant ou après lesquelles on lit ou récite des pages de vers ou de de bonne musique 1 . 4 LIVRE PRÉLIMINAIRE.
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... avant en arrière , deux sortes de lèvres qui laissent entre elles une étroite ouverture , la glotte , et portent le nom de cordes vocales . Leur longueur est de 20 à 25 milli- mètres chez l'homme et de 16 à 20 chez la femme . Il y en a ...
... avant en arrière , deux sortes de lèvres qui laissent entre elles une étroite ouverture , la glotte , et portent le nom de cordes vocales . Leur longueur est de 20 à 25 milli- mètres chez l'homme et de 16 à 20 chez la femme . Il y en a ...
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... avant le soulèvement du diaphragme . Il est vrai que ses diamètres transver- saux de la partie supérieure se sont allongés . Dans la respiration latérale , ce sont les diamètres transversaux , mais surtout ceux qui séparent les côtes ...
... avant le soulèvement du diaphragme . Il est vrai que ses diamètres transver- saux de la partie supérieure se sont allongés . Dans la respiration latérale , ce sont les diamètres transversaux , mais surtout ceux qui séparent les côtes ...
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... avant de s'être pliée aux modes européennes .... Il faut bien constater que , naturel ou non , le mode respiratoire féminin est ordinairement costal , souvent même costo - supérieur . Des physiologistes attribuent cette respiration à la ...
... avant de s'être pliée aux modes européennes .... Il faut bien constater que , naturel ou non , le mode respiratoire féminin est ordinairement costal , souvent même costo - supérieur . Des physiologistes attribuent cette respiration à la ...
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... avant la maladie . Et à l'examen laryngosco- pique , on voit maintenant les cordes s'affronter exac- tement . » FAIBLESSE Peut - être votre voix est - elle simplement faible , courte . C'est le cas général des voix non exercées . D ...
... avant la maladie . Et à l'examen laryngosco- pique , on voit maintenant les cordes s'affronter exac- tement . » FAIBLESSE Peut - être votre voix est - elle simplement faible , courte . C'est le cas général des voix non exercées . D ...
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Expressions et termes fréquents
accent tonique acteurs André Theuriet articulation aspirations avez beau bouche bras césure CHAPITRE chose CLÉOPATRE cœur comédien consonne consonne finale convient CORDÉLIA débit défauts devant diaphragme diction diphtongue discours doit donner Écoutez entendre excepté exemple exercices féminine fermé généralement geste grave groupe de mots Hamlet Hernani homme honte Hugo in-18 jésus inflexion inflexions j'ai l'accent l'acteur L'ART DE DIRE l'articulation l'aspiration l'autre l'expression l'inflexion langue larynx Leconte de Lisle lentement main Malade imaginaire Marion Delorme ment mimique mots de valeur mouvement moyen muet n'est-ce nasales nuit orale orateurs ouvert parfois parler parole pause pensée personnes pharynx phrases poète point-virgule ponctuation ponctuer poumons premier produit prononcer public qu'un réciter respiration respiratoires rien rime Ruy Blas scène sens sentiments serait seul simple souvent spiromètre style substantifs suivi d'une consonne surtout syllabe syllabe finale Talma Tamango tantôt théâtre ticulation timide tion verbe voici Voilà voix volume vocal voyelles nasales yeux
Fréquemment cités
Page 158 - Ah! c'est moi! mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas! mon pauvre argent! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait; je n'en puis plus; je me meurs, je suis mort ; je suis enterré.
Page 158 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 159 - Hé! de quoi est-ce qu'on parle là? de celui qui m'a dérobé? Quel bruit fait-on là-haut? Est-ce mon voleur qui y est? De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise. N'est-il point caché là parmi vous? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux. Je veux faire pendre tout le monde...
Page 188 - J'ai posé mon front dans mes mains Et sangloté comme une femme ; Partout où j'ai, comme un mouton Qui laisse sa laine au buisson, Senti se dénuer mon âme; Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu mourir, Partout où j'ai touché la terre, Sur ma route est venu s'asseoir Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Page 169 - Philistin, par d'éternels ravages, Comme au temps de vos rois, désoler ses rivages; Le Syrien me traite et de reine et de sœur...
Page 190 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 172 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels : Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels...
Page 182 - L'INTIMÉ, d'un ton pesant. Puis donc qu'on nous permet de prendre Haleine, et que l'on nous défend de nous étendre, Je vais, sans rien omettre et sans prévariquer, Compendieusement énoncer, expliquer, Exposer à vos yeux l'idée universelle De ma cause, et des faits renfermés en icelle.
Page 212 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 192 - Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle. Et dit : « Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. » Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l'homme, une espèce de maure. Saisit un pistolet qu'il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant : Caramba i ! Le coup passa si près que le chapeau tomba Et que le cheval fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même à boire, dit mon père.