Memoires pour l'histoire des sciences et des beaux arts ..., Volume 2S.A.S, 1726 |
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Memoires pour l'histoire des sciences et des beaux arts ..., Volume 4 Affichage du livre entier - 1710 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainfi ajoûte alimens auffi Auteur avoient avoit befoin c'eft c'eſt c'étoit Cartefien caufe chofes chordes Ciceron compofé confideration connoiffance corps derniere Dieu difcours diverfes Ecrivains efprit Emerfion enfuite eſt étoient étoit fang fans fçait fçavant fçavoir fecond felon femble fens fentiment feroit fervir feul fiécle fieur fimple flûte foit folide font fous fouvent ftructure fuivant fujet fyftême general Hiftoire Hoffman Immerfion jufqu'à jufte l'Au l'Auteur l'efprit l'Eglife l'Hiftoire lifez ligne ligne 13 ligne 7 Livre Loix Lombards lumiere maniere matin Medecins Memoires ment Muficiens Mufique Muratori n'eft n'eſt Nieuventit obferver Opufcule ouvrage paffer paroît Paul Diacre penfer Pere Bougeant Pere Pardies Pere Rapin perfonnes Philofophes Phyfique plufieurs plûtôt Poëfie Poëme Poëte prefente prefque premiere queſtion raifon refte s'eft Saint Satellite Soir tems teur Theagéne tion toûjours Traité Trajan Déce troifiéme Tyrtée ufage verité vûë دو رو
Fréquemment cités
Page 748 - Il est vrai, monsieur, qu'il n'ya que trop de gens qui abusent de ce divin sacrement, et moi misérable plus que tous les hommes du monde, et je vous prie de m'aider à en demander pardon à Dieu. Mais la lecture de ce livre, au lieu d'affectionner les hommes à la fréquente communion, en retire plutôt.
Page 757 - Voici comme nous en usons : jamais nous ne disputons de ces matières, jamais nous n'en prêchons, ni jamais nous n'en parlons dans les compagnies, si l'on ne nous en parle ; mais si on le fait, on tâche de n'en parler qu'avec le plus de retenue que l'on peut...
Page 691 - Il fit donc fon capital de la lecture des Philofophes & des Mathématiciens tant anciens que modernes.
Page 704 - Naples , & dont la piqure tranfporte les hommes d'une telle maniere, qu'ils faurent malgré ' qu'ils eo ayent , jufqu'à ce qu'on leur ait chanté de certains airs qui font les feuls remedes contre ces mouvemens involontaires.