Histoire d'Angleterre: comprenant celle de l'Écosse, de l'Irlande et des Possessions anglaises, avec une statistique de ces diverses pays, Volume 1

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Librairie de L. Hachette, 1852 - 635 pages
 

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Page 479 - Adieu, plaisant pays de France ! O ma patrie La plus chérie ; Qui a nourri ma jeune enfance ! Adieu, France ! adieu mes beaux jours. La nef qui disjoint nos amours N'a cy de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 84 - A portée de trait, les archers commencèrent à lancer leurs flèches, et les arbalétriers leurs carreaux ; mais la plupart des coups furent amortis par le haut parapet des redoutes saxonnes. Les fantassins, armés de lances, et la cavalerie s'avancèrent jusqu'aux portes des redoutes et tentèrent de les forcer.
Page 83 - Taillefer poussa son cheval en avant du front de bataille, et entonna le chant des exploits, fameux dans toute la Gaule, de Charlemagne et de Roland. En chantant, il jouait de son épée, la lançait en l'air avec force et la recevait dans sa main droite; les Normands répétaient ses refrains ou criaient: Dieu aide! Dieu aide!
Page 84 - Les cavaliers retournèrent aux redoutes ; mais ils ne purent davantage en forcer les portes ni faire brèche. Alors le duc s'avisa d'un stratagème pour faire quitter aux Anglais leur position et leurs rangs ; il donna l'ordre à mille cavaliers de s'avancer et de fuir aussitôt. La vue de cette déroute simulée fit perdre aux Saxons leur sang-froid ; ils coururent tous à la poursuite, la hache suspendue au cou. A une certaine distance...
Page 80 - Il en vint une multitude, par toutes les routes, de loin et de près, du nord et du midi. Il en vint du Maine et de l'Anjou, du Poitou...
Page 413 - Lorsque deux frères demeurent ensemble et que l'un d'eux sera mort sans enfants, la femme du mort n'en épousera point d'autre que le frère de son mari, qui la prendra pour femme, et suscitera des enfants à son frère;» 6. « et il donnera le nom de son frère à l'aîné des fils qu'il aura d'elle, afin que le nom de son frère ne se perde point dans Israël.
Page 79 - Guillaume ; mais je l'ai fait me trouvant sous la force ; j'ai promis ce qui ne m'appartient pas, ce que je ne pouvais nullement tenir : car ma royauté n'est point à moi , et je ne saurais m'en démettre sans l'aveu du pays ; de même sans l'aveu du pays, je ne puis prendre une épouse étrangère. Quant à ma sœur que le duc réclame pour la marier à l'un de ses chefs , elle est morte dans l'année, veut-il que je lui envoie son corps?
Page 284 - ... 2° la nécessité du concours des deux chambres pour changer la loi ; 3° le droit reconnu aux communes de s'enquérir des abus et de mettre en accusation les conseillers du roi.

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