Olivier mille neuf cent quaranteAlbin Michel, 2003 - 378 pages Analyse : Roman historique. |
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... cousin Jean . Sa tante aidait , disant : - Tu vois , je pense même à ton cousin Jean . J'ai aussi avancé de l'argent à Élodie pour qu'elle se rende à Saint - Chély - d'Apcher . En temps de guerre , il faut aider les démunis . Merci , ma ...
... cousin Jean . Sa tante aidait , disant : - Tu vois , je pense même à ton cousin Jean . J'ai aussi avancé de l'argent à Élodie pour qu'elle se rende à Saint - Chély - d'Apcher . En temps de guerre , il faut aider les démunis . Merci , ma ...
Page 327
... cousin Jean . La fati- gue pesait sur ses épaules . Il s'efforçait de ne pas s'endormir . Les traits tirés , amaigri , le regard vide , il tentait de sourire . Il faut manger , dit l'oncle Henri , boire un coup . La seule chose qui n'a ...
... cousin Jean . La fati- gue pesait sur ses épaules . Il s'efforçait de ne pas s'endormir . Les traits tirés , amaigri , le regard vide , il tentait de sourire . Il faut manger , dit l'oncle Henri , boire un coup . La seule chose qui n'a ...
Page 330
... cousin Jean , après un sommeil de dix - huit heures , rejoignit la famille au moment du petit déjeuner . ― Je suis sale , dit - il , le charbon s'incruste . Regardez ces ongles . Je me dégoûte . ― Vous aurez le temps de vous récurer ...
... cousin Jean , après un sommeil de dix - huit heures , rejoignit la famille au moment du petit déjeuner . ― Je suis sale , dit - il , le charbon s'incruste . Regardez ces ongles . Je me dégoûte . ― Vous aurez le temps de vous récurer ...
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