Olivier mille neuf cent quaranteAlbin Michel, 2003 - 378 pages Analyse : Roman historique. |
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... paraissait lointaine . Pourtant certains visages mon- traient de la préoccupation . La gaieté paraissait de commande . Olivier profita d'un moment de calme pour demander à la tenancière : Vous n'auriez pas , par hasard , une chambre à ...
... paraissait lointaine . Pourtant certains visages mon- traient de la préoccupation . La gaieté paraissait de commande . Olivier profita d'un moment de calme pour demander à la tenancière : Vous n'auriez pas , par hasard , une chambre à ...
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... paraissait terne . Au pays , avait - elle retrouvé ses habitudes rurales d'an- tan ou voulait - elle s'accorder aux difficultés du temps ? Elle semblait inverser la phrase et exprimer : « < Il vaut mieux faire pitié qu'envie ! L'oncle ...
... paraissait terne . Au pays , avait - elle retrouvé ses habitudes rurales d'an- tan ou voulait - elle s'accorder aux difficultés du temps ? Elle semblait inverser la phrase et exprimer : « < Il vaut mieux faire pitié qu'envie ! L'oncle ...
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... paraissait s'amu- ser . Les visites aux cousins se firent en compagnie de Marceau . À lui de faire les politesses . Olivier trouvait tout le monde ennuyeux . Avec Marceau , au moins , on pouvait parler de livres . Il paraissait tout ...
... paraissait s'amu- ser . Les visites aux cousins se firent en compagnie de Marceau . À lui de faire les politesses . Olivier trouvait tout le monde ennuyeux . Avec Marceau , au moins , on pouvait parler de livres . Il paraissait tout ...
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