Histoire universelle, Volume 16F. Didot, 1848 - 19 pages |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 47 - Celui qui a donné des rois aux hommes a voulu qu'on les respectât comme ses lieutenants, se réservant à lui seul le droit d'examiner leur conduite. Sa volonté est que, quiconque est né sujet, obéisse sans discernement...
Page 157 - ... qui agissent de concert avec vous pour lui faire accomplir, dans leur vraie étendue, ses devoirs, dont il n'a aucune idée... Le grand point est de l'assiéger, puisqu'il veut être gouverné : son salut consiste à être assiégé par des gens droits et sans intérêt.
Page 251 - Promettent du repos sous leurs ombrages frais Dans ces tranquilles bois pour eux plantés exprès. La cadence aussitôt, la rime, la césure, La riche expression, la nombreuse mesure, Sorcières dont l'amour sait d'abord les charmer, De fatigues sans fin viennent les consumer; Sans cesse poursuivant ces fugitives fées, On voit sous les lauriers haleter les Orphées ; Leur esprit toutefois se plaît dans son tourment, Et se fait de sa peine un noble amusement. Mais je...
Page 476 - XIV, ni pacifique, ni guerrier : il avait les formes de la justice , de la politique , de la dévotion , et l'air d'un grand roi. Doux avec ses domestiques , libéral avec ses courtisans , avide avec ses peuples , inquiet avec ses ennemis , despotique dans sa famille , roi dans sa cour, dur dans ses conseils, enfant dans celui de conscience, dupe de tout ce qui joue le prince, les ministres, les femmes et les dévots; toujours gouvernant et toujours gouverné; malheureux dans ses choix, aimant les...
Page 48 - La France est un état monarchique dans toute l'étendue de l'expression. Le roi y représente la nation entière, et chaque particulier ne représente qu'un seul individu envers le roi. Par conséquent, toute puissance, toute autorité résident dans les mains du roi, et il ne peut y en avoir d'autres dans le royaume que celles qu'il établit La nation ne fait pas corps en France, elle réside tout entière dans la personne du roi.
Page 199 - Mais que dirai-je de ceux qui détruisent, par un autre excès, l'esprit de la piété, qui trouvent partout des crimes nouveaux, et accablent la faiblesse humaine en ajoutant au joug que Dieu nous impose ? Qui ne voit que cette rigueur enfle la présomption, nourrit le dédain, entretient un chagrin superbe, et un esprit de fastueuse singularité, fait paraître la vertu trop pesante, l'Évangile excessif, le christianisme impossible ? 0 faiblesse et légèreté de l'esprit humain, sans point, sans...
Page 214 - Nous savons que toutes les vertus, le martyre, les austérités et toutes les bonnes œuvres sont inutiles hors de l'Église, et de la communion du chef de l'Église, qui est le pape Je ne me séparerai jamais de sa communion, au moins je prie Dieu de m'en faire la grâce; sans quoi je serais perdu pour jamais. Je...
Page 214 - Je loue de tout mon cœur le petit zèle que j'ai reconnu dans votre lettre pour l'union avec le pape. Le corps n'est non plus vivant sans le chef, que le chef sans le corps.
Page 470 - Je ne vois aucune solide ressource que celle que vous ne ferez point entrer dans la tête du Roi. Notre mal vient de ce que cette guerre n'a été jusqu'ici que l'affaire du Roi, qui est ruiné et décrédité.
Page 241 - Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. On ne vit plus en vers que pointes triviales ; Le Parnasse parla le langage des halles ; La licence à rimer alors n'eut plus de frein ; Apollon travesti devint un Tabarin.