Alors il se soulève, ouvre son aile au vent, Et, se frappant le cœur avec un cri sauvage, II pousse dans la nuit un si funèbre adieu, Que les oiseaux des mers désertent le rivage, Et que le voyageur attardé sur la plage, Sentant passer la mort, se... Etudes Litteraires Sur Le Dixneuvieme Siecle - Page 292de Émile Faguet - 1887 - 456 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1835 - 794 pages
...supplice , II craint que ses enfans ne le laissent vivant ; Alors il se soulève, ouvre son aile au vent, Et se frappant le cœur avec un cri sauvage , II pousse dans la nuit un si funèbre adieu, Que les oiseaux des mers désertent le rivage, Et que le voyageur attardé sur la plage , Sentant passer la... | |
| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...aimé. LA NUIT D'OCTOBRE. LE POÈTE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards...soulève Et qu'avec la rosée on voit s'évanouir. LA MUSE. Qu'aviez-vous donc, ô mon poète, Et quelle est la peine secrète Qui de moi vous a séparé... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 pages
...supplice, II craint que ses enfants ne le laissent vivant; Alors il se soulève, ouvre son aile au vent, Et se frappant le cœur avec un cri sauvage, II pousse dans la nuit un si funèbre adieu, Que les oiseaux des mers désertent le rivage. Et que le voyageur attardé sur la plage. Sentant passer la... | |
| Abeille - 1852 - 272 pages
..., Il craint que ses entants ne le laissent vivant ; Alors il se soulève , ouvre son aile au veut , Et , se frappant le cœur avec un cri sauvage , II...pousse dans la nuit un si funèbre adieu , Que les oiseaux des mers désertent le rivage , Et que le voyageur attardé sur la plage , Sentant passer la... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...aimé. ' LA NUIT D'OCTOBRE. LE ror.TE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui connue un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards...soulève Et qu'avec la rosée on voit s'évanouir. LA MUSE. Qu'aviez-vous donc, ô mon poête, Et quelle est la peine secrète Qui de moi vous a séparé?... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 pages
...supplice, II craint que ses enfants ne le laissent vivant; Alors il se soulève , ouvre son aile au vent, Et se frappant le cœur avec un cri sauvage, II pousse dans la nuit un si funèbre adieu , Que les oiseaux des mers désertent le rivage, Et que le voyageur attardé sur la plage, Sentant passer la... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 300 pages
...supplice, II craint que ses enfants ne le laissent vivant; Alors il se soulève, ouvre son aile auvent, Et, se frappant le cœur avec un cri sauvage, II pousse dans la nuit un si funèbre adieu, tJue les oiseaux des mers désertent le rivage. Et que le voyageur attardé sur la plage, Sentant passer... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...? 1837. LA NUIT D'OCTOBRE LE POÈTE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve ; Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards...soulève, Et qu'avec la- rosée on voit s'évanouir. LA MUSE. Qu'aviez-vous donc, ô mon poëte? Et quelle est la peine secrète Qui de moi vous a séparé... | |
| Alfred de Musset - 1860 - 300 pages
...aimé. . LA NUIT D'OCTOBRE LE I'OKTE. La mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un lêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards légers que l'aurore soulève, Et qu'avec lu rosée on voit s'cvauouir. LA .MUSK. Qu'aviez-vous donc, ô mon poëte ! Et quelle est la peine... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 pages
...mourir. 1857 LA MIT D'OCTOBRE LE POETE. Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rêve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'à ces brouillards...soulève, Et qu'avec la rosée on voit s'évanouir. 1,A MUSE. Qu'aviez-vous donc, ô mon poête ! Et quelle est la peine secrète Qui de moi vous a séparé?... | |
| |