Les chroniques de sire Jean Froissart: qui traitent des merveilleuses emprises, nobles aventures et faits dármes advenus en son temps en France, Angleterre, Bretaigne, Bourgogne, Escosse, Espaigne, Portingal et ès autres parties, Volume 2F. Wattelier, 1867 |
Table des matières
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Les chroniques de Sire Jean Froissart: qui traitent des ..., Volume 2 Jean Froissart Affichage du livre entier - 1861 |
Les chroniques de sire Jean Froissart: qui traitent des ..., Volume 2 Jean Froissart Affichage du livre entier - 1835 |
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Expressions et termes fréquents
Adonc Angleterre Anglois appertises Audenarde avecques avoient avoit barons bataille besognes Bruges capitaine Castille CHAPITRE chastel châtel chevaliers et écuyers chevaucher chose comte de Bouquinghen comte de Flandre comte de Foix connétable conseil courroucé Courtray d'Angleterre d'Escosse dame de-lez devant devers disoient disoit duc d'Anjou duc de Bourgogne duc de Bretagne duc de Lancastre envoya Escosse Escots espécial étoient étoit eurent faisoient faisoit firent Flamands François frère Froissart Gand Gantois gens d'armes gneur grand'foison Hainaut hommes d'armes Jean de Castille Jean Lyon jour jusques l'ost loger Lussebonne manda ment messire Guillaume messire Jean messire Thomas monseigneur mort moult n'avoit n'étoit Navarre oncques ordonnance orent paix paroles passer pays Philippe d'Artevelle Piètre du Bois Portingal pourvéances pouvoient pouvoit recorder rent retournèrent rivière roine royaume s'appeloit s'en vinrent s'en vint seigneur seroit siége sire tantôt tenoient tenoit Tournay varlets volonté vouloient vouloit Yppre Yvain de Galles
Fréquemment cités
Page 478 - ... ordonné de par parlement que telle chose devoit être à Paris, si dit que il vouloit voir le champ du chevalier et de l'écuyer. Le duc de Berry , le duc de Bourgogne, le duc de Bourbon, le connétable de France, qui aussi grand désir avoient de le voir, dirent au roi que ce étoit bien raison que il y fut.
Page 360 - ... cours de rois, de ducs, de princes, de comtes et « de hautes dames; mais je n'en fus oncques en nulle « qui mieux me plût, ni qui fût sur le fait d'armes « plus réjouie comme celle du comte de Foix étoit. « On véoit en la salle et es chambres et en la cour « chevaliers et écuyers d'honneur aller et marcher, « et d'armes et d'amour les oyoit-on parler.
Page 19 - ... si vous mourez par delà , ce que il est bien apparent , si comme vos maîtres de physique me dient, les Romains , qui sont merveilleux et traîtres , seront maîtres et seigneurs de tous les cardinaux, et feront pape de force à leur volonté.
Page 346 - ... chemin chacun en son pays, sans vous bouter en fort qui nous soit contraire ; car si vous vous y boutez et je vous tienne, je vous délivrerai à Jausselin, qui vous fera vos barbes sans rasouer.
Page 336 - Madame, dit le comte, je suis un » petit homme et un povre bachelier, si ne puis faire nuls » grands dons ; mais le don que vous me demandez, si il ne » vaut plus de cinquante mille francs, je le vous donne. » La princesse tiroit à ce que, outrement et pleinement, le don que elle...
Page 395 - < si verrais Orton. Par ma foi, ne le veuil, si Dieu plaît, ni « voir ni encontrer. » Or dit le sire de Coarraze : « Et ce « fais-je. » II sault tout bellement hors de son lit, et cuidoit bien adonc voir en propre forme Orton , mais ne vit rien. Adonc vint-il aux fenêtres et les ouvrit pour voir plus clair en la chambre, mais il ne vit rien chose que il put dire :
Page 365 - Berne, dit l'écuyer, selon ce que vous m'en avez demandé, et c'est chose toute véritable; car ainsi en est et ainsi en avient ; et que vous en semble?
Page 369 - Et là ot grand poussis de lances; car ceux qui étoient à cheval, aussitôt que ils furent à nous , ils mirent pied à terre et nous assaillirent fièrement. Et ce qui trop nous greva...
Page 354 - Berne, un jeune gracieux écuyer; et l'aime le comte » grandement. — Sainte Marie! dis-je au chevalier, le duc » d'Anjou, qui tendoit à avoir la garnison de Lourdes, » se dut bien contenter du comte de Foix, quand il occit » un chevalier son cousin pour son désir accomplir. » — Par ma foi, dit-il, aussi fit-il, car assez tôt après sa » venue, le roi de France envoya en ce pays messire » Roger d'Espaigne et un président de la chambre de » Parlement de Paris, et belles lettres grossoyées...
Page 326 - Et ce dict jour après disner le roi et l'empereur vindrent ensemble en la chambre à parer du Louvre, et y estoit le roi des Romains et ceux qui ensuivent de la part de l'empereur, l'évesque de Bamberg, son chancelier, et deux autres clercs notables , les ducs de Brabant et de Saxen, et les trois ducs dessus nommez, le haut maistre de son hostel et son grand chambellan , le seigneur de Colditz et plusieurs autres seigneurs, comtes, barons et chevaliers jusques au nombre de cinquante personnes et...