Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans: premier prince du sang, duc d'Orléans, de Chartres, de Nemours, de Montpensier et d'Etampes, comte de Beaujolais, de Vermandois et de Soissons, surnommé Egalité |
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... c'étoit l'affaire de celle - ci de contraindre l'assemblée natio- nale à les rendre . De cette manière le club se trouva maître de la marche des jacobins des opérations de l'assemblée , et des desti- nées de la France entière ; mais il ...
... c'étoit l'affaire de celle - ci de contraindre l'assemblée natio- nale à les rendre . De cette manière le club se trouva maître de la marche des jacobins des opérations de l'assemblée , et des desti- nées de la France entière ; mais il ...
Page 18
... c'étoit le roi dont l'existence reposoit sur la fidélité des troupes , qui semoit dans l'armée des germes d'insubordination ; c'é- toit lui qui avoit voulu le soulevement des Gardes - Françoises , qui avoit payé le régi- ment de ...
... c'étoit le roi dont l'existence reposoit sur la fidélité des troupes , qui semoit dans l'armée des germes d'insubordination ; c'é- toit lui qui avoit voulu le soulevement des Gardes - Françoises , qui avoit payé le régi- ment de ...
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... c'étoit la noblesse qui avoit machiné cette horreur , puisqu'en étant accusée généralement , le duc de Dorset n'avoit rien dit qui pût affoiblir l'opinion pu blique . Cette manoeuvre contribua plus qu'aucune autre à allumer entre les ...
... c'étoit la noblesse qui avoit machiné cette horreur , puisqu'en étant accusée généralement , le duc de Dorset n'avoit rien dit qui pût affoiblir l'opinion pu blique . Cette manoeuvre contribua plus qu'aucune autre à allumer entre les ...
Page 26
... C'étoit un bien modique secours . Le ministère an- glois répondit qu'il ne pouvoit accéder à cette demande sans la mettre.sous les yeux parlement . MM . Pulteney , Walson , Wil- berforce , le major Siott et plusieurs autres membres l ...
... C'étoit un bien modique secours . Le ministère an- glois répondit qu'il ne pouvoit accéder à cette demande sans la mettre.sous les yeux parlement . MM . Pulteney , Walson , Wil- berforce , le major Siott et plusieurs autres membres l ...
Page 34
... c'étoit pour fui que la faction excitoit journellement des désordres , il importoit qu'il fût présent au moment où il lui en faudroit recueillir le fruit . Les insurrections , il est vrai , depuis qu'on n'avoit plus les subsistances , n ...
... c'étoit pour fui que la faction excitoit journellement des désordres , il importoit qu'il fût présent au moment où il lui en faudroit recueillir le fruit . Les insurrections , il est vrai , depuis qu'on n'avoit plus les subsistances , n ...
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Expressions et termes fréquents
10 août appelloit armée assassins assem assemblée nat assemblée nationale auroit avocat avoient avoit Bailly baron Biron Brissot brissotins bunal c'étoit Chabroud château Châtelet club cœur comité comte conjurés conspiration constitution constitutionnel convention nationale Coustard croyoit d'Or Danton décret députés dernier devoient devoit disoit donner duc d'Orléans duc de Chartres duc de Dorset duchesse Dumouriez égorger étoient étoit faction faisoit falloit famille royale fauxbourg Fayette fidélité forfaits François fût garde du corps garde nationale Gorsas hommes impartiaux j'ai jacobins jamais jour journée jugement l'assemblée nationale Laclos léans long-tems Louis XVI LOUIS-PHILIPPE-JOSEPH maire malheureux Marat Marseillois massacre membre du tri ment Messieurs mille ministres Mirabeau monarque mort n'avoient n'avoit nale nation officiers orléanistes personnes Pétion peuple portoit pouvoit prince princesse prison reine république reste révolution Robespierre s'étoient sang Santerre scélérats serment seroit seul Sillery soldats sorte tems tenoit tête tion tribunal tribune trône vérité Voidel vouloient vouloit
Fréquemment cités
Page 43 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.
Page 40 - Je ferai davantage, et de concert avec la reine, qui partage tous mes sentiments, je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené. Je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des...
Page 36 - Messieurs, la gravité des circonstances où se trouve la France m'attire au milieu de vous. Le relâchement progressif de tous les liens...
Page 36 - ... particulières, les oppositions, les haines malheureuses qui sont la suite inévitable des longues dissensions, la situation critique des finances et les incertitudes sur la fortune publique, enfin, l'agitation générale des esprits, tout semble se réunir pour entretenir l'inquiétude des véritables amis de la prospérité et du bonheur du royaume.
Page 41 - ... de concorde, devenu si nécessaire, me fassent le sacrifice de tous les souvenirs qui les affligent, je les paierai par ma reconnaissance et mon affection. Ne professons tous, à compter de ce jour, ne professons tous, je vous en donne l'exemple, • qu'une seule opinion, qu'un seul intérêt, qu'une seule volonté, l'attachement à la constitution nouvelle et le désir ardent de la paix, du bonheur et de la prospérité de la France.
Page 35 - Puzy présidait l'assemblée; il reçut le billet suivant :« Je préviens M. le président de l'assemblée nationale que je compte m'y rendre ce matin , vers midi. Je souhaite y être reçu sans cérémonie. Signé Louis.
Page 37 - Joignez-vous à moi pour les arrêter, et empêchons de tous nos efforts que des violences criminelles ne viennent souiller ces jours où le bonheur de la nation se prépare. Vous qui pouvez influer par tant de moyens sur la confiance publique, éclairez sur ses véritables intérêts...
Page 40 - Reine, qui partage tous mes sentiments, je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené. Je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des Français...
Page 40 - Que partout on sache que le monarque et les représentants de la nation sont unis d'un même intérêt et d'un même vœu, afin que cette opinion, cette ferme croyance répandent dans les provinces un esprit de paix et de bonne volonté, et...
Page 43 - Je partage tous les sentiments du roi, et je m'unis de cœur et d'esprit à la démarche que son amour pour son peuple vient de lui dicter. Voici mon fils ; je l'entretiendrai sans cesse des vertus du meilleur des pères I Je lui apprendrai de bonne heure à respecter la liberté publique et à maintenir les lois dont j'espère qu'il sera le plus ferme appui.