| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 510 pages
...physionomie, quelque chose d'admirable. Cet essai me fit cpnnohre ce que je valois réellement. Libre de tous ornemens étrangers , je me vis apprécié au plus...juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur , qui m'avoit fait perdre, en un instant, l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup dans... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 506 pages
...quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connoître ce qu« je valois réellement. Libre de tous ornemens étrangers , je me vis apprécié au plus...juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur , qui m'avoit fait perdre , en un instant , Tattention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 422 pages
...chose d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique ; car j 'entrai tout-à-coup dans... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...quelque chose d'admirable. Cet essai nie fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous ornemens étrangers, je me vis apprécié au plus...instant l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout à coup dan* un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 662 pages
...d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 482 pages
...encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous les ornemens étrangers...juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout à coup dans... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1823 - 510 pages
...essai me fit counoitre eu que je valais réellement» Libre de tous ornements étrangers, je me visi apprécié au plus juste. J'eus sujet de me, plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait en un instant l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout à coup dans un néant... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 506 pages
...encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous les ornemens étrangers,...juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-àcoup dans... | |
| Caspar Hirzel, Conrad von Orell - 1828 - 500 pages
...encore dans ana physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me lit connoitre ce que je valois réellement. Libre de tous les ornemens étrangers,...juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention 1 et l'estime publique ; car j'entrai loul-à-coup dans... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1831 - 484 pages
...d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement : libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout à coup dans... | |
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