 Ils ont fait de l'industrie, de l'art, de la littérature, en mettant au jeu les talents et les capitaux des autres, qu'ils groupaient, à force d'audace, autour d'une idée, dont, à son de trompe, ils prônaient partout les incalculables prodiges. Quand,...  Émile de Girardin - Page 69de Eugène de Mirecourt - 1854 - 103 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | E. Pascallet - 1842 - 606 pages
...Ainsi, ils ont fait de l'industrie, de l'art, » de la littérature, en mettant en jeu les talens » et les capitaux des autres, qu'ils groupaient à force...prodiges. Quand, avec cette idée, ils avaient bien »joue à la faillite , et qu'ils en avaient retiré » pour eux, à titre de directeur, la vie élégante... | |
 | F. Rittiez - 1855 - 1272 pages
...de la littérature, en » mettant en jeu les talents et les capitaux des autres , qu'ils » groupent à force d'audace autour d'une idée, dont à son de » trompe ils prêchent partout les incalculables prodiges ; quand » avec cette idée, ils ont bien joué à la... | |
 | Francois Rittiez - 1856 - 396 pages
...de la littérature, en » mettant en jeu les talents et les capitaux des autres , qu'ils » groupent à force d'audace autour d'une idée, dont à son de » trompe ils prêchent partout les incalculables prodiges ; quand » avec cette idée, ils ont bien joué à la... | |
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