Petite bibliothèque des théatres, contenant un recueil des meilleures pieces du théatre françois, tragique, comique, lyrique & bouffon, depuis Porigine des spectacles en France, jusqu'à nos jours, Volume 51Au Bureau de la Petite bibliotheque des théatres, 1788 |
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Page vi
... de plaire . Mo- liere peut avoir contribué à leur ôter leur pédan- terie ; mais les moeurs du siecle , qui ont changé , en tout , y ont contribué davantage . L'esprit de raison s'est introduit dans toutes les Sciences , et la.
... de plaire . Mo- liere peut avoir contribué à leur ôter leur pédan- terie ; mais les moeurs du siecle , qui ont changé , en tout , y ont contribué davantage . L'esprit de raison s'est introduit dans toutes les Sciences , et la.
Page vii
raison s'est introduit dans toutes les Sciences , et la politesse dans toutes les conditions . >> « La modestie de Moliere ne lui permettoit pas de croire qu'un Ouvrage proposé , fait , ap- pris et représenté en cinq jours , pût être ...
raison s'est introduit dans toutes les Sciences , et la politesse dans toutes les conditions . >> « La modestie de Moliere ne lui permettoit pas de croire qu'un Ouvrage proposé , fait , ap- pris et représenté en cinq jours , pût être ...
Page 37
... raison en tout ce que vous dites ; mais ce sont chaleurs de sang , dont , parfois , on n'est pas le maître . M. FILLERIN . Allons donc , Messieurs , mettez bas toute rancune , et faisons ici votre accommodement . M. DES FONANDRÉS . J'y ...
... raison en tout ce que vous dites ; mais ce sont chaleurs de sang , dont , parfois , on n'est pas le maître . M. FILLERIN . Allons donc , Messieurs , mettez bas toute rancune , et faisons ici votre accommodement . M. DES FONANDRÉS . J'y ...
Page 3
... et que je ne me suis point mariée avec toi pour souffrir tes fredaines . SGANAREL LE , à part . Oh ! la grande fatigue que d'avoir une femme , et qu'Aristote a bien raison quand il dit qu'une femme est A ij LE MÉDECIN ACTE PREMIER. ...
... et que je ne me suis point mariée avec toi pour souffrir tes fredaines . SGANAREL LE , à part . Oh ! la grande fatigue que d'avoir une femme , et qu'Aristote a bien raison quand il dit qu'une femme est A ij LE MÉDECIN ACTE PREMIER. ...
Page 4
qu'Aristote a bien raison quand il dit qu'une femme est pire qu'un démon ! MARTINE . Voyez un peu l'habile homme , avec son benêt d'A- ristote ! SGANARELLE . Oui , habile homme . Trouve moi un faiseur de fa- gots qui sache , comme moi ...
qu'Aristote a bien raison quand il dit qu'une femme est pire qu'un démon ! MARTINE . Voyez un peu l'habile homme , avec son benêt d'A- ristote ! SGANARELLE . Oui , habile homme . Trouve moi un faiseur de fa- gots qui sache , comme moi ...
Expressions et termes fréquents
acte ADRASTE affaire aime Allez Allons amour ANSELME assez auroit avez avoit BAHIS BALLET belle Bret Brindavoine cassette chantant choses Ciel CLEANTE CLITANDRE cœur Comédie COMÉDIE-BALLET COMMISSAIRE coups de bâton d'Adraste d'Harpagon déja demi-voix dessein diable dire donner ÉLISE enfans ENTRÉE DE BALLET esclave Est-ce êtes étoit fasse femme fille FLECHE FONANDRÉS FROSINE gens GERONTE grace HALI HARPAGON haut-de-chausses homme Isidore j'ai j'en JACQUELINE L'Amour Médecin l'argent L'Avare l'interrompant Léandre LISETTE LUCAS LUCINDE m'en MACROTON Madame main MAITRE MAÎTRE JACQUES MAÎTRE SIMON malade maniere Mariane Marivaux MARTINE MERLUCHE Messieurs mieux mille écus Moliere monde Monsieur Notaire nourrice PAGON parler PEDRE pendard pere personne Piece plaisir Plaute prendre prose raison remede Riccoboni rien s'il vous plaît sais SCARAMOUCHES SCENE PREMIERE SCENE VII Seigneur sentimens seroit SGANARELLE Sicilien sort tems tendresse Théatre François TOMÈS traître trouver vais VÅLERE valet veut veux Voilà vois voudrois vrai yeux
Fréquemment cités
Page 114 - Ah ! c'est moi !... Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! Et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support...
Page i - Ce n'est ici qu'un simple crayon, un petit impromptu dont le roi a voulu se faire un divertissement. Il est le plus précipité de tous ceux que Sa Majesté m'ait commandés; et, lorsque je dirai qu'il a été proposé, fait, appris et représenté en cinq jours, je ne dirai que ce qui est vrai.
Page 75 - Vous êtes la fable et la risée de tout le monde ; et jamais on ne parle de vous que sous les noms d'avare, de ladre, de vilain et de fesse-mathieu.
Page 36 - Mais le plus grand foible des hommes, c'est l'amour qu'ils ont pour la vie; et nous en profitons, nous autres, par notre pompeux galimatias, et savons prendre nos avantages de cette vénération que la peur de mourir leur donne pour notre métier.
Page 74 - Monsieur, puisque vous le voulez, je vous dirai franchement qu'on se moque partout de vous; qu'on nous jette de tous côtés cent brocards à votre sujet; et que l'on n'est point plus ravi que de vous tenir au cul et aux chausses, et de faire sans cesse des contes de votre lésine.
Page 114 - Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie: tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre.
Page i - On sait bien*) que les comédies ne sont faites que pour être jouées, et je ne conseille de lire celle-ci qu'aux personnes qui ont des yeux pour découvrir, dans la lecture, tout le jeu du théâtre.
Page 67 - JACQUES Est-ce à votre cocher, monsieur, ou bien à votre cuisinier, que vous voulez parler ? car je suis l'un et l'autre, 547 HARPAGON C'est à tous les deux.
Page 12 - Tu es une folle de prendre garde à cela. Ce sont petites choses qui sont de temps en temps nécessaires dans l'amitié; et cinq ou six coups de bâton entre gens qui s'aiment , ne font que ragaillardir l
Page 118 - Qu'on me l'égorge tout à l'heure ; qu'on me lui fasse griller les pieds ; qu'on me le mette dans l'eau bouillante, et qu'on me le pende au plancher.