Oeuvres de Molière, Volume 4Saintin, libraire de la cour, 1722 |
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Page 37
... transports d'une bonne nouvelle Jamais cœur ne s'ouvrit d'une façon plus belle ; De l'écrit obligeant le sien tout ... transport souffrir la moindre excuse ? MARINETTE . En effet , je comprends que vous avez raison , Et que cette ...
... transports d'une bonne nouvelle Jamais cœur ne s'ouvrit d'une façon plus belle ; De l'écrit obligeant le sien tout ... transport souffrir la moindre excuse ? MARINETTE . En effet , je comprends que vous avez raison , Et que cette ...
Page 56
... transports je ne sais que répondre ; Et , si je dis un mot , j'ai peur de me confondre . POLIDORE . A quoi pensez - vous là , seigneur Albert ? ALBERT . A rien . Remettons , je vous prie , à tantôt l'entretien . Unmal subit me prend ...
... transports je ne sais que répondre ; Et , si je dis un mot , j'ai peur de me confondre . POLIDORE . A quoi pensez - vous là , seigneur Albert ? ALBERT . A rien . Remettons , je vous prie , à tantôt l'entretien . Unmal subit me prend ...
Page 64
... j'ai de mes transports forcé la violence A ne point violer votre expresse défense : Mais ... MASCARILLE . Hé bien ! oui , c'est moi : le grand mal que voilà ! LUCILE , Est - il une imposture égale à celle 64 LE DÉPIT AMOUREUX .
... j'ai de mes transports forcé la violence A ne point violer votre expresse défense : Mais ... MASCARILLE . Hé bien ! oui , c'est moi : le grand mal que voilà ! LUCILE , Est - il une imposture égale à celle 64 LE DÉPIT AMOUREUX .
Page 169
... transports dont s'enflammait mon cœur Y semblaient redoubler mon amoureuse ardeur . J'étais aigri , fâché , désespéré contre elle ; Et cependant jamais je ne la vis si belle , Jamais ses yeux aux miens n'ont paru si perçans , Jamais je ...
... transports dont s'enflammait mon cœur Y semblaient redoubler mon amoureuse ardeur . J'étais aigri , fâché , désespéré contre elle ; Et cependant jamais je ne la vis si belle , Jamais ses yeux aux miens n'ont paru si perçans , Jamais je ...
Page 212
... transports si doux . CHRYSALde . J'en ferais de bon cœur , mou frère , autant que vous ; Mais ces lieux et cela ne s'accommodent guères . Allons dans la maison débrouiller ces mystères , Payer à notre ami ces soins officieux , Et rendre ...
... transports si doux . CHRYSALde . J'en ferais de bon cœur , mou frère , autant que vous ; Mais ces lieux et cela ne s'accommodent guères . Allons dans la maison débrouiller ces mystères , Payer à notre ami ces soins officieux , Et rendre ...
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Expressions et termes fréquents
ACTE Adieu affaire AGNÈS ALAIN ALBERT âme amour Ardez ARNOLPHE ASCAGNE assez avez beau belle bian c'ai-je CHARLOTTE cheux chose CHRYSALDE Ciel cœur coquin coup courroux crois croyant seul DÉPIT AMOUREUX dessein diable Dieu dire dis-je discours dois DON ALONSE DON CARLOS DON JUAN doux ELVIRE enfin ÉRASTE esprit Est-ce êtes femme fille FROSINE galant gens GEORGETTE GROS-RENÉ GUSMAN Hélas homme honneur HORACE hymen j'ai j'aurai j'en j'étais jamais l'amour L'ÉCOLE DES FEMMES là-dessus laisse LUCILE m'aimes m'avez m'en Madame maître MARINETTE MASCARILLE MATHURINE MÉTAPHRASTE Molière monde monsieur Dimanche n'ai NOTAIRE ORONTE parler passer pense père peur PIERROT plaisir POLIDORE prendre puisse queuque RAGOTIN raison RAPIÈRE rien sais saurai savez SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII secret seigneur sentimens sera SGANARELLE soins songer sort souffrir statue tendresse toujou vais VALÈRE valet venir veut veux Veux-tu vlà vœux voilà vois voudrais voulez voulez-vous vrai yeux ᎪᏞᏴᎬᎡᎢ
Fréquemment cités
Page 291 - Non, non, la naissance n'est rien où la vertu n'est pas. .Aussi nous n'avons part à la gloire de nos ancêtres qu'autant que nous nous efforçons de leur ressembler; et cet éclat de leurs actions qu'ils répandent sur nous nous impose un engagement de leur faire le même honneur, de suivre les pas qu'ils nous tracent , et de ne point dégénérer de leur vertu , si nous voulons être estimés leurs véritables descendants.
Page 216 - Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui; et, si je te disais le nom de toutes celles qu'il a épousées en divers lieux, ce serait un chapitre à durer jusqu'au soir.
Page 150 - L'une en tout est soumise à l'autre qui gouverne; Et ce que le soldat dans son devoir instruit, Montre d'obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit frère, N'approche point encor de la docilité, Et de l'obéissance, et de l'humilité, Et du profond respect, où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur, et son maître.
Page 195 - II est plus pour cela selon mon goût que vous. Chez vous le mariage est fâcheux et pénible, Et vos discours en font une image terrible; Mais las ! il le fait lui si rempli de plaisirs, Que de se marier il donne des désirs.
Page 220 - La belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux! Non, non: la constance n'est bonne que pour des ridicules; toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos coeurs.
Page 229 - Que ne me jurez-vous que vous êtes toujours dans les mêmes sentiments pour moi, que vous m'aimez toujours avec une ardeur sans égale, et que rien n'est capable de vous détacher de moi que la mort? Que ne me dites-vous que des affaires de la dernière conséquence vous ont obligé à partir...
Page 150 - Votre sexe n'est. là que pour la dépendance : Du côté de la barbe est la toute-puissance. Bien qu'on soit deux moitiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n'ont point d'égalité : L'une...
Page 291 - Ainsi vous descendez en vain des aïeux dont vous êtes né; ils vous désavouent pour leur sang, et tout ce qu'ils ont fait d'illustre ne vous donne aucun avantage; au contraire, l'éclat n'en rejaillit sur vous qu'à votre déshonneur, et leur gloire est un flambeau qui éclaire aux yeux d'un chacun la honte de vos actions.
Page 220 - J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire injustice aux autres ; je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige. Quoi qu'il en soit, je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous. Les inclinations naissantes, après tout, ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir...
Page 160 - Il le faut avouer, l'amour est un grand maître : Ce qu'on ne fut jamais, il nous enseigne à l'être ; Et souvent de nos mœurs l'absolu changement Devient par ses leçons l'ouvrage d'un moment. De la nature en nous il force les obstacles, i Et ses effets soudains ont de l'air des miracles.