Lettres édifiantes et curieuses, écrites des missions étrangères: Mémoires de la ChineChez J.G. Merigot le jeune, 1781 |
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Lettres édifiantes et curieuses, écrites des missions étrangères. Tome 7 Compagnie de Jesus Aucun aperçu disponible - 2021 |
Expressions et termes fréquents
accufés affez ainfi auffi auffi-tôt avoient avoit baptifé barques c'eft C'eſt c'étoit caufe cérémonie Chine Chinois chofe chré conferver confidérable confolation connoiffance deffein déja derniere Dieu efpece églife enfans enfuite eſt étoient étoit Euro Européens faifant faifoit fainte religion falloit falut famille fans fçais fçavoir fecond felon fent fentence fept feroit fervice fervir feul Fo-kien foin foit foldats fommes font fouffrir fous fouvent Frere Attiret fuis fuite fuivant fujet fur-tout Gentils grace ifles j'ai Japon Japonois Jéfuite Jefus jour jufqu'à l'Ambaffadeur l'Em l'Empereur l'époux l'ifle laiffe LETTRE Du Pere Lieou-kieou loix lorfque Macao maifon Majefté Mandarin maniere Miffion Miffionnaire Miniftre n'avoit n'eft naires occafion paffé palais parens Peking Pere Amiot Pere Gaubil Pere Roy pereur perfécution perfonne plufieurs pouvoit préfent prefque premiere prifon Prince province puiffe queftion refpect refte religion chrétienne réponſe Révérend Pere s'eft Seigneur Tartares tion tribunal troifieme vaiffeau venoit Viceroi vifite
Fréquemment cités
Page 513 - ... d'abord , je regardai , je priai , & je ne vis rien : enfin à fix heures & demie on cria du haut des mâts: Sancian. A ce mot je ne fis qu'un faut du gaillard de derriere au gaillard de devant , & je vis Sancian.
Page 476 - L'époux lui donne la main , & entre lui-même dans un autre palanquin , ou bien monte à cheval. Mais il eft à remarquer qu'il marche entouré d'une foule de domeftiques qui, outre les lanternes dont j'ai parlé, portent tout ce qui fert à un ménage , comme lits , tables, chaifes, &c.
Page 584 - Providence nous réservait à un autre genre de peine. Les placards s'affichèrent le saint jour de Noël. Cela ne nous empêcha pas de célébrer cette fête avec un certain éclat. Comme il ne faut pas braver l'autorité, il ne faut pas non plus que les ministres du Seigneur craignent trop.
Page 593 - Le 9 , il communia à notre église, et après avoir demandé instamment notre bénédiction, il se rendit pour la seconde fois au lieu du combat. Le vieux Laurent reçut d'abord cinquante-quatre coups en deux temps. On n'en donna que trois à Jean , puis on s'arrêta. Jean , qui auparavant craignoit de n'avoir pas le courage de souffrir, craignit, dans ce moment, de ne souffrir pas assez.
Page 517 - Le lendemain 13 d'Août, à la pointe du jour , nous nous trouvâmes à la bouche du Kiang; c'eft l'entrée de la Chine. Le bras de la rivière par lequel on remonte, n'a dans cet endroit qu'un quart de lieue de large. Il eft défendu par deux Forts fi petits & fi miférables qu'ils ne méritent pas un ii beau nom.
Page 235 - Le jour du départ, les parens et amis de l'ambassadeur le conduisent à une certaine distance de la cour , et l'y traitent magnifiquement. Dans tout le chemin jusqu'à la capitale de Fo-kien , lui et ses gens sont défrayés par les mandarins. Arrivé à la capitale , les grands mandarins ont soin de le loger dans un palais commode , où il est traité avec la plus grande distinction. Il est conduit avec pompe au vaisseau, où l'on fait les cérémonies déterminées , au Ciel , aux Esprits et à...
Page 197 - Un des grands, qui lui disputa la couronne, et qui se nommoit Li-yong , ayant été défait et tué, les peuples reconnurent Chun-tien pour leur roi. Ce fut un prince équitable et attentif à rendre ses sujets heureux.
Page 477 - ... mais avant de boire et de manger, ils répandent un peu de vin en forme de libation , et mettent à part des viandes pour les offrir aux esprits : coutume qui se pratique dans tous les repas de cérémonie. Après avoir un peu mangé et gardé un profond silence , l'époux se lève , invite son épouse à boire, et se remet incontinent à table. L'épouse pratique aussitôt la même...
Page 211 - Ils voulurent abfolument en 1610 , l'obliger à leur payer le tribut , & à le refufer à la Chine. Changning en avertit encore l'Empereur , mais 'inutilement Ce prince n'étoit plus en état de le foutenir. La Chine étoit remplie de mécontens. Il falloit entretenir les armées fur les frontieres.
Page 605 - Tu es prefque lefeul ici qui connoijje le vrai Dieu ; combien dans tout ce monde n'ont pas le même bonheur , qu'as - tu fait pour attirer fur toi les bontés du Seigneur ? Enfuite il fe livroit aux fentimens de la plus vive & de la plus tendre reconnoiffance.