Mercure de France au dix-neuvième siècle1758 |
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Expressions et termes fréquents
Adele affez ainfi amour Anglois Ariftée auffi auroit avoient avoit bleffés c'eft c'eſt caufe Caumont ceffe Charbogne chofe cœur compofée Comte Comte de Daun conferver confidérable connoiffance connoître Corfaire Cyrene deftin déja Dieux difcours diftingué Druides efpece efprit enfuite eſt étoient étoit faifant faifoit fans fçait fe trouve feconde fecours fecret Fée fenfible fens fentimens fentiment féparation feroit fervir feul fiecle fien fieur fimple foins foit foleil font fous fouvent fuis fuivant fujet furtout fyftême graces hommes Ifmeine Iphigénie jour jufqu'à jufte l'Académie l'amour l'Auteur l'efprit l'hiftoire l'ufage laiffe lettre loix lorfque lumiere maniere Maréchal Marfais matiere Meledin ment Mercure n'avoit n'eft n'étoit néceffaire occafion ouvrage paffé paffion paroît penfer perfonnes Philofophes plaifir pléfion plufieurs Poëte pourroit préfente premiere Prince propofe provinces d'en puiffe raifon refpect refte Renaud Rouffeau s'eft Selene Solyme ſon Soudan Syrinx tion ufage Vaiffeau Zelmis دو رو
Fréquemment cités
Page 73 - L'ardeur & le talent fe fortifièrent en lui par les obftacles : il fit fes études avec fuccès chez les Pères de l'Oratoire de Marfeille -, il entra même dans cette Congrégation , une de celles qui ont le mieux cultivé les Lettres , & la feule qui ait produit un Philofophe célèbre , parce qu'on y eft moins efclave que dans les autres , Se moins obligé de penfer comme fes Supérieurs.
Page 90 - Il était du nombre de ces philofophes obfcurs dont Paris eft plein , qui jugent fainement de tout , qui vivent entre eux dans la paix & dans la communication de la raifon , ignorés des Grands , &.
Page 74 - Avocat au Confeil, fous lequel il commençoit à travailler avec fuccès. Des efpérances trompeufes qu'on lui donna, lui firent quitter cette profeffion. Il fe trouva fans état & fans bien , chargé de famille, &, ce qui étoit encore plus trifte pour lui, accablé de peines domeftiques. L'humeur chagrine de fa femme , qui croyoit avoir acquis par une conduite fage le droit d'être infociable, fit repentir plufieurs fois notre Philofophe...
Page 72 - Un des plus grands efforts de l'esprit humain est d'avoir assujéti les langues à des règles ; mais cet effort n'a été fait que peu à peu. Les langues , formées d'abord sans principes , ont été plus l'ouvrage du besoin que de la raison, et les philosophes , réduits à débrouiller ce chaos informe...
Page 146 - Ouvrages ; mais, pour fe faire connoître, ils y joindront à part , dans un papier cacheté & écrit de leur propre main...
Page 88 - Il représenta en vain que ce livre avoit été approuvé par plusieurs personnes savantes & pieuses, & qu'il demandoit à le mettre au jour, non par vanité d'Auteur, mais pour prouver son innocence: il offrit inutilement de le soumettre à la censure de la Sorbonne, de le faire même approuver par...
Page 97 - Cette manière de finir n'a rien de furprenant, elle était la fuite naturelle de l'établiflement d'un nouveau culte. Les faits miraculeux , ou plutôt qu'on veut donner pour tels , diminuent dans une...
Page 203 - Ainsi la fortune volage N'a jamais causé mes ennuis; Soit qu'elle me flatte ou m'outrage, ' Je dormirai toutes les nuits En lui refusant mon hommage. Mais notre état fait notre loi; II nous oblige, il nous engage A mesurer notre courage Sur ce qu'exigé notre emploi. Voltaire, dans son ermitage...
Page 96 - Jésus-Christ a été transporté par le démon, il l'a permis pour nous instruire; mais de pareils miracles ne se font plus. La métamorphose de Nabuchodonosor en bête, dont il ne nous est pas permis de douter, n'est arrivée qu'une fois. Enfin Saiil a évoqué l'ombre de Samuel, & l'on n'ajoute plus de foi aux évocations. Le P. Baltus avoue que les prodiges mêmes racontés par les Pères, ne sont pas de foi; à plus forte raison les prétendus miracles du Paganisme, qu'ils ont quelquefois daigné...
Page 91 - ROYALE MILITAIRE , a contribué , par l'intérêt qu'il prend à l'Encyclopédie , à nous procurer cet important fecours ; il veut bien encore y joindre fes lumieres , & concourir , autant que , fes occupations pourront le lui permettre , à la perfection d'une partie fi utile de notre Ouvrage. Plufieurs des articles que MM. Douchet & Beauzée K v Eloge de M.