Le répertoire littéraire; or, Choice selections from the best French authors, with annotations by C.J. Delille1839 |
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... coup d'œil sur Mentor pour découvrir sa pensée , et j'aperçus qu'il souhaitait 100 que je combattisse . J'acceptai donc l'offre qu'on me faisait : je me dépouillai de mes habits ; 101 on fit couler des flots d'huile douce et luisante ...
... coup d'œil sur Mentor pour découvrir sa pensée , et j'aperçus qu'il souhaitait 100 que je combattisse . J'acceptai donc l'offre qu'on me faisait : je me dépouillai de mes habits ; 101 on fit couler des flots d'huile douce et luisante ...
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... coups dont j'aurais été accablé . Aussitôt que le Samien m'avait porté un faux coup , et que son bras s'al- longeait en vain , je le surprenais dans cette posture pen- chée : déjà il reculait , quand je haussai mon ceste pour tomber sur ...
... coups dont j'aurais été accablé . Aussitôt que le Samien m'avait porté un faux coup , et que son bras s'al- longeait en vain , je le surprenais dans cette posture pen- chée : déjà il reculait , quand je haussai mon ceste pour tomber sur ...
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... coup à une si estimable vieillesse . Je trou- vais la jeunesse malheureuse d'être si impétueuse , et si éloignée de cette vertu si éclairée et si tranquille . Le premier d'entre ces vieillards ouvrit le livre des lois de Minos . C'était ...
... coup à une si estimable vieillesse . Je trou- vais la jeunesse malheureuse d'être si impétueuse , et si éloignée de cette vertu si éclairée et si tranquille . Le premier d'entre ces vieillards ouvrit le livre des lois de Minos . C'était ...
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... coup aussi habile que moi . Tu peux , " continua - t - il , me sou- lager présentement : tu tiendras le matin notre registre , et l'après - midi tu sortiras pour aller voir une partie de mes malades . Tandis que j'aurai soin de la ...
... coup aussi habile que moi . Tu peux , " continua - t - il , me sou- lager présentement : tu tiendras le matin notre registre , et l'après - midi tu sortiras pour aller voir une partie de mes malades . Tandis que j'aurai soin de la ...
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... coup . À mon âge , on commence à sentir les infirmités , et les infirmités du corps altèrent 14 l'esprit . Je te le répète , Gil Blas , dès que tu jugeras que ma tête s'affaiblira , donne m'en aussitôt avis . Ne crains pas d'être franc ...
... coup . À mon âge , on commence à sentir les infirmités , et les infirmités du corps altèrent 14 l'esprit . Je te le répète , Gil Blas , dès que tu jugeras que ma tête s'affaiblira , donne m'en aussitôt avis . Ne crains pas d'être franc ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
animaux arbres armée armes Auteur vivant avaient bataille beau Bélisaire bientôt brillant bruit BUFFON célèbre Châteaubriand chevaux chien chose ciel cœur combat corps couleurs coup Crantor Crétois d'autres déserts Dieu dieux dire donner enfants enfin ennemis Épaminondas espèce fesait fils fleurs fleuve flots force forêts François Ier Gil Blas glacier gloire goût grec guerre Hazaël hommes Idoménée j'ai jamais janissaires jour l'homme laisse langue lois Louis XIV lumière MADAME MADAME DE SÉVIGNÉ MADAME DE STAËL main maison maître malheureux Mantinée ment Mérovée milieu mille Minos monde montagnes mort Narva nature neige nuit ouvrages parler partout passer peine pensée père peuple pieds plaisir Polyclète porte premier prince regards règne reste rien Romains ruines sage Sangrado semble sentiment serait seul siècle silence soldats soleil sort Suédois terre tête Thespiens tombe troupes trouve vaisseau vaste vent vieillards VIRG voilà voix voyageurs Voyez Voyez la page yeux
Fréquemment cités
Page 62 - La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre...
Page 399 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 184 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini , un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 174 - Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vous-même, si vous dites que nous avons menti , que cela est faux , qu'on se moque de vous , que voilà une belle raillerie , que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures , nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
Page 97 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Page 379 - Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
Page 173 - Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ; jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 137 - ... quelquefois menteur ; il est superstitieux, scrupuleux, timide ; il marche doucement et légèrement, il semble craindre de fouler la terre ; il marche les yeux baissés, et il n'ose les lever sur ceux qui passent ; il n'est jamais du nombre de ceux qui forment un cercle pour discourir, il se met derrière celui qui parle, recueille furtivement ce qui se dit, et il se retire si on le regarde.
Page 185 - ... l'ombre de la mort [ se présente ; ] on commence à sentir l'approche du gouffre fatal. Mais il faut aller sur le bord ; encore un pas. Déjà l'horreur trouble les sens, la tête tourne , les yeux [s'égarent; ] il faut marcher. [On voudroit retourner] en arrière ; plus de moyen : tout est tombé , tout est évanoui, tout est échappé.
Page 350 - J'ai vu la Paix descendre sur la terre, Semant de l'or, des fleurs et des épis. L'air était calme, et du dieu de la guerre Elle étouffait les foudres assoupis. * « Ah! disait-elle, égaux par la vaillance, « Français, Anglais, Belge, Russe ou Germain, • Peuples, formez une sainte alliance,