Œuvres complètes de M. Necker, Volume 9Treuttel et Würtz, 1821 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
10 août 23 juin assemblée assemblée nationale auroient auroit autorité avoient avoit Bailliage bles c'étoit circon circonstances citoyens clergé communes connoissance connoître conseil conseil d'état constitution convention nationale cour crédit croyoit déclaration décret délibération députés du tiers-état devoient devoit discours disposition Enfin esprits états états-géné états-généraux étoient étoit eût événemens falloit Fayette finances foible force général gouvernement hommes idées intérêts j'ai j'avois jamais jour juges l'assemblée législative l'assemblée nationale l'autorité royale l'état l'opinion publique l'ordre lettres de cachet liberté lois long-temps Louis xvi manière ment mesure milieu ministres monarchie monarque morale moyens n'avoient n'avoit narque nation noblesse nombre des députés notables parlemens paroles pensées personne peuple peut-être politique pouvoient pouvoit premiers ordres prince principes public puissance représentans respect réunion réunir Robespierre rois royaume s'étoient séance royale sentimens sentiment seroit servir seul sion suffrages système tion toyens trône trouvoit tyran venoit Versailles vœu vouloit
Fréquemment cités
Page 454 - nable. La règle des jugemens est la conscience « des jurés éclairés par l'amour de la patrie; « leur but, le triomphe de la république et la « ruine de ses ennemis.... « S'il existe des preuves, soit matérielles» « soit morales , indépendamment de la preuve
Page 373 - articula distinctement les paroles suivantes , conservées dans le journal de la séance : Nous avons fait arrêter les prêtres perturbateurs, et sous peu de jours le sol de la liberté sera purgé de leur présence. L'assemblée nationale, l'assemblée des législateurs de la France, entendit ces terribles paroles , et elle ne se leva point en
Page 397 - fois , je vous déclare que ma conscience ne « me reproche rien, et que mes défenseurs ne « vous ont dit que la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite fût «examinée publiquement, mais mon cœur
Page 192 - Ce principe n'étoit pas rappelé dans un article , mais dans le discours du roi. « Réfléchissez, messieurs , « qu'aucun de vos projets , aucune de vos dispositions ne » peut avoir force de loi sans mon approbation spéciale. « Ainsi je suis le garant naturel de vos droits respec
Page 417 - qu'il se doit tout entier au bonheur de tous « ses concitoyens ; qu'il doit oublier toute « haine et tout ressentiment, et nommément « tout ce quia rapport aux malheurs et aux
Page 406 - officieux, et charge expressément leur « fidélité de faire connoître à la convention « nationale cet appel par tous les moyens qui « seront en. leur pouvoir, et de demander qu'il « en soit fait mention dans le procès-verbal « de la séance de la convention.
Page 375 - des conspirateurs féroces, détenus dans ses « prisons, a été mise à mort par le peuple , « actes de justice qui lui ont paru indispen« sables pour retenir, par la terreur, les légions
Page 100 - Que pour arrêter le cours de la pernicieuse « doctrine qui s'introduit depuis quelques an«nées contre les rois et puissances souveraines « établies de Dieu, par des esprits séditieux qui « ne tendent qu'à les troubler et subvertir, le « roi sera supplié de faire arrêter en
Page 264 - mais à une condition positive , et dont « je ne me départirai jamais, c'est que parle « résultat général de vos délibérations, lepou« voir exécutif ait son entier effet entre les « mains du monarque. Une suite de faits et « d'observations , dont le tableau sera mis
Page 189 - ront aucune atteinte à la foi publique , et le roi attend « d'eux que la confiance des créanciers de l'état soit as« surée et consolidée de la manière la plus authentique. » II demandoit que la taille fût remplacée par un autre revenu, et que le nom même de cet impôt, l'alarme des campagnes , fût pour toujours aboli.