L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volume 81784 |
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L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 7 à 8 Affichage du livre entier - 1787 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Affichage du livre entier - 1768 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 3 à 4 Affichage du livre entier - 1786 |
Expressions et termes fréquents
adreffée affez ainfi Année Littéraire Ar-Lamech auffi auroit avoient avoit befoin Berenger c'eft c'eſt caufe chofe confeil connoiffances d'Alembert Dieu difcours diftingue efprit enfans eſpèce eſt étoient étoit fage Fanfan fans doute fe trouve fecond fecours femble femmes fens fentiment feroit fervir feul fiècle fimple fociété foin foit fon père font foupçons fous fouvent ftyle fublime fuis fuite fuivant fujet fur fon fur-tout goût grace Grecs Homère hommes Hôtel de Cluny illuftre intéreffant j'ai jufqu'à jufte l'Abbé de Reyrac l'Année Littéraire l'Auteur l'efprit l'Evêque de Sarlat l'Iliade laiffer lettres loix Mably Madame Dacier ment Miniftres modeftie mœurs Monfieur Montefquiou n'eft n'eſt n'étoit obfervations ouvrage paffe paroît penfe perfonne Pfalmifte Philofophes phrafe phraſe Phyfique plaifir plufieurs Plutarque poëfie Poëte Pologne pouvoit préfente prefque Priam Prince Proyart puiffe raifon refpectable refte rien s'eft ſes Stanislas talens Telephe Tibere tion Tott traduction trifte Troyens Turcs voilà ככ כל
Fréquemment cités
Page 158 - Je me ferois volontiers amufé de la fmgularité de ce caractère , qui pouvoit fort bien compatir avec la probité , fi je n'avois réfléchi que l'étourderie nuit quelquefois plus que la méchanceté même , & fi...
Page 89 - Solimanie [ i ] ces amateurs dont les figures pâles & triftes ne .pourraient int pirer que de la pitié, fi des cous allongés, des têtes tournées à droite ou à gauche, l'épine du dos déviée, une épaule dans l'oreille & nombre d'autres attitudes bifarres qui réfultent de leur maladie, ne préfentaient le tableau le plus ridicule & le plus plaifant.
Page 214 - Sainte Bible traduite en François , avec l'explication du fens littéral & du fens fpirituel , tirée des Saints Pères & des Auteurs Eccléfiaftiques.
Page 311 - Juifs font parqués comme un vil & dangereux bétail, qu'on tient la nuit fous la clef, & qu'on diftingue pendant le jour à des chapeaux rougeâtres ou à des rubans jaunes qu'on les oblige de porter, je ne fais pourquoi.
Page 161 - Oui, mon ami , lui dis-je auffi-tôt d'un air ferme & afTuré, c'eft lui-même ; mais à votre phyfionomie, je connois que vous êtes trop honnête homme , pour me refufer les fecours dont je puis avoir befoin dans l'état où je parois à vos yeux. Cet aveu fimple & naturel eut le fuccès du monde le plus heureux; & ce n'eft pas par fes fuites que je l'approuve ; n'eût-il point réuffi , je l'eftimerois encore le parti le plus fage que je pouvois prendre en cette occalîon.
Page 294 - ... représenter et favoriser leur commerce? Gardons-nous de suivre l'exemple de cette malheureuse Europe qui a voulu établir sa force, sa puissance et son bonheur sur des richesses qui devoient l'afFoiblir et l'appauvrir. Si nous regardons le commerce comme l'objet et la fin d'un état florissant , il faut dès ce moment renoncer à tous les principes d'une bonne politique , ou nous attendre qu'après les avoir établis , ils seront bientôt renversés. Si nous voulons encourager les vertus dont...
Page 160 - Souvent nous fûmes obligés de defcendre du bateau , &, enfoncés dans la vafe , de le tirer à force de bras pour le tranfporter dans les endroits où il y avoit plus d'eau. Vers le minuit , nous arrivâmes à la chauffée d'une riviere que je crus être la Viftule.
Page 161 - Oui , mon ami , lui dis-je auffi. tôt d'un air ferme & affuré , c'eft luimême ; mais , à votre phyfionomie , je connois que vous êtes trop honnête homme pour me refufer les fecours dont je puis avoir befoin dans l'état où je parois à vos yeux. » Cet aveu fimple & naturel eut le fuccès du monde le plus heureux ; & ce n'eft pas par fes fuites que je l'approuve ; n'eût-il point réuffi , je l'eftimerois encore le parti le plus fàge que je pouvois prendre en cette occafion.
Page 352 - Plutarque , traduites du grec par Jacques Amyot , grand aumônier de France , avec des notes & des obfervations de MM. l'abbé Brotier Se. Vauvilliers , de l'Académie royale deslnfcriptions .& Belles-Lettres , & de M. l'abbé Brotier, neveu , 14 vol. in-8°, 17»?
Page 165 - Le plaifir que je reffentois d'être hors de la portée des traits de mes Ennemis , n'égaloit point celui de ne plus voir à mes côtés ces indignes Condufteurs , dont j'avois, eu à me garder prefque autant que de mes Ennemis même.