Œuvres: avec des notes de tous les commentateurs. Tom. I., II.Firmin-Didot et cie, 1882 |
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... Trufaldin . MASCARILLE , valet de Lélie . HIPPOLYTE , fille d'Anselme . ANSELME , père d'Hippolyte . TRUFALDIN , vieillard . PANDOLFE , père de Lélie . LÉANDRE , fils de famille . ANDRÈS , cru Égyptien . ERGASTE , ami de Mascarille . UN ...
... Trufaldin . MASCARILLE , valet de Lélie . HIPPOLYTE , fille d'Anselme . ANSELME , père d'Hippolyte . TRUFALDIN , vieillard . PANDOLFE , père de Lélie . LÉANDRE , fils de famille . ANDRÈS , cru Égyptien . ERGASTE , ami de Mascarille . UN ...
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... Trufaldin . LÉLIE . Que faire ? MASCARILLE . Je ne sais . LÉLIE . C'en est trop , à la fin , Et tu me mets à bout par ces contes frivoles . MASCARILLE . Monsieur , si vous aviez en main force pistoles , Nous n'aurions pas besoin ...
... Trufaldin . LÉLIE . Que faire ? MASCARILLE . Je ne sais . LÉLIE . C'en est trop , à la fin , Et tu me mets à bout par ces contes frivoles . MASCARILLE . Monsieur , si vous aviez en main force pistoles , Nous n'aurions pas besoin ...
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... Trufaldin , qui la garde , est en quelque souci ; Et trouvant son argent , qu'ils lui font trop attendre , Je sais bien qu'il serait très ravi de la vendre : Car enfin en vrai ladre il a toujours vécu ; Il se ferait fesser pour moins d ...
... Trufaldin , qui la garde , est en quelque souci ; Et trouvant son argent , qu'ils lui font trop attendre , Je sais bien qu'il serait très ravi de la vendre : Car enfin en vrai ladre il a toujours vécu ; Il se ferait fesser pour moins d ...
Page 6
... TRUFALDIN , dans sa maison . MASCARILLE , à Lélie . Eh bien ! LÉLIE . O rencontre cruelle ! Ce malheureux vieillard devait - il nous troubler ? MASCARILLE . Allez , retirez - vous ; je saurai lui parler . SCÈNE IV . TRUFALDIN , CÉLIE ...
... TRUFALDIN , dans sa maison . MASCARILLE , à Lélie . Eh bien ! LÉLIE . O rencontre cruelle ! Ce malheureux vieillard devait - il nous troubler ? MASCARILLE . Allez , retirez - vous ; je saurai lui parler . SCÈNE IV . TRUFALDIN , CÉLIE ...
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... TRUFALDIN . Ho ! ho ! qui des deux croire ? Ce discours au premier est fort contradictoire . MASCARILLE . Monsieur , ce galant homme a le cerveau blessé ; Ne le savez - vous pas ? TRUFALDIN . Je sais ce que je sai . J'ai crainte ici ...
... TRUFALDIN . Ho ! ho ! qui des deux croire ? Ce discours au premier est fort contradictoire . MASCARILLE . Monsieur , ce galant homme a le cerveau blessé ; Ne le savez - vous pas ? TRUFALDIN . Je sais ce que je sai . J'ai crainte ici ...
Expressions et termes fréquents
ACASTE AGNÈS ALAIN ALCANTOR ALCESTE Allez Allons âme amour ANDRÈS ANSELME ARISTE ARNOLPHE ARSINOÉ ASCAGNE assez avez beau BÉJART belle BRÉCOURT BRIE CATHOS CÉLIMÈNE CHARLOTTE chose CHRYSALDE ciel CLITANDRE cœur comédie courroux crois CROISY dessein diable Dieu dire dis-je discours DON JUAN DORANTE ÉLIANTE ÉLISE enfin ÉRASTE ERGASTE esprit êtes FEMME DE SGANARELLE fille FROSINE gens GEORGETTE GERONIMO GÉRONTE GORGIBUS GRANGE GROS-RENÉ homme HORACE ISABELLE j'ai j'aurais j'en jamais JODELET l'École des femmes LÉANDRE LÉLIE LISETTE LUCAS LUCILE LUCINDE LYSIDAS m'en Madame MADELON MADEMOISELLE DE BRIE MADEMOISELLE DU PARC MARINETTE MARPHURIUS marquis MARTINE MASCARILLE MATHURINE médecin MÉTAPHRASTE monde MONSIEUR DIMANCHE ORONTE PANCRACE Parbleu parler pense père personne PHILINTE PIERROT POLIDORE prendre raison rien s'il vous plaît sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII sera seul soins sort souffrir théâtre THORILLIÈRE TOMÈS trouve TRUFALDIN URANIE vais VALÈRE valet veut veux vœux voilà vois voudrais voulez-vous vrai yeux ᎪᏞᏴᎬᎡᎢ
Fréquemment cités
Page 379 - On veut que ces portraits ressemblent ; et vous n'avez rien fait, si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle. En un mot, dans les pièces sérieuses, il suffit, pour n'être point blâmé, de dire des choses qui soient de bon sens et bien écrites ; mais ce n'est pas assez dans les autres, il y faut plaisanter ; et c'est une étrange entreprise que celle de faire rire les honnêtes gens.
Page 545 - Et tout homme d'honneur s'en doit scandaliser. Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses ; De protestations, d'offres et de serments Vous chargez la fureur de vos embrassements ; Et quand je vous demande, après, quel est cet homme, A peine pouvez-vous dire comme il se nomme; Votre chaleur pour lui tombe eu vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent.
Page 569 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Ja,mais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé, tout leur devient aimable: Ils comptent les défauts pour des perfections. Et savent y donner de favorables noms.
Page 381 - Je voudrais bien savoir si la grande règle de toutes les règles n'est pas de plaire , et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n'a pas suivi un bon chemin.
Page 546 - Lorsqu'au premier faquin il court en faire autant? Non, non, il n'est point d'âme un peu bien située, Qui veuille d'une estime ainsi prostituée , Et la plus glorieuse a des régals peu chers , Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers ; Sur quelque préférence une estime se fonde , Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde.
Page 246 - Et les soins défiants, les verrous et les grilles Ne font pas la vertu des femmes ni des filles : C'est l'honneur qui les doit tenir dans le devoir, Non la sévérité que nous leur faisons voir.
Page 209 - Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matières, De vos jeunes muguets m'inspirer les manières ; M'obliger à porter de ces petits chapeaux Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux, Et de ces blonds cheveux de qui la vaste enflure Des visages humains offusque la figure...
Page 511 - JUAN. Non, non, il ne sera pas dit, quoi qu'il arrive, que je sois capable de me repentir.
Page 348 - C'est quelque sort qu'il faut qu'il ait jeté sur toi, Et tu seras cent fois plus heureuse avec moi. Ta forte passion est d'être brave et leste, Tu le seras toujours, va, je te le proteste; Sans cesse, nuit et jour, je te caresserai, Je te bouchonnerai, baiserai, mangerai; Tout comme tu voudras tu pourras te conduire : Je ne m'explique point, et cela, c'est tout dire.
Page 378 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez, ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature; on veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.