Histoire de la Révolution de France, pendant les dernières années du règne de Louis XVI, Volume 3

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Chez Giguet, an 9-11, 1801 - 14 pages
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Page 31 - où le bonheur de la nation se prépare. Vous » qui pouvez influer par tant de moyens sur la » confiance publique, éclairez, sur ses véritables » intérêts, le peuple qu'on égare, ce bon peuple •,•, qui m'est si cher, et dont on m'assure que je » suis aimé, quand on veut me consoler de mes
Page 29 - avec le mien , a consacré les principes. Je » ferai davantage , et, de concert avec la reine , » qui partage tous mes sentimens , je préparerai, » de bonne heure, l'esprit et le cœur de mon fils » au nouvel ordre de choses que les circonstances » ont amené. Je l'habituerai, dès ses premiers •,•, ans , à être heureux du bonheur des Francais,
Page 34 - fidèle à la nation , à la loi, au » roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la » constitution décrétée par l'assemblée nationale, » et acceptée par le roi,
Page 29 - vous rester; ainsi il est de votre devoir, » comme citoyens et comme fidèles représentanS » de la nation, d'assurer au bien de l'état et à la »» liberté publique , cette stabilité qui ne peut » dériver que d'une autorité active et tutélaire. » Vous aurez sûrement présent à l'esprit que , » sans une telle autorité, toutes les parties de
Page 369 - sans rachat et les droits rachetables, mais encore existans ; que les premiers ne soient plus exigés , mais que les seconds ne soient point refusés. Songez aux trois mots sacrés qui garantissent ces décrets : la nation, la loi , le, roi. La nation , c'est vous ; la loi , c'est encore vous , c'est votre volonté; le roi, c'est le gardien de
Page 140 - que m'importe? Les coups de bas en haut ne » m'arrêteront pas dans ma carrière. Je leur dirai: » Répondez , si vous pouvez ; calomniez ensuite » tant que vous voudrez. Je rentre donc dans la » lice, armé de mes seuls principes et de la
Page 27 - et d'état, lorsqu'il est question de travailler en » commun au bien public, à cette prospérité de » la patrie qui intéresse également tous les ci» toyens ; et chacun doit voir sans peine que , » pour être appelé dorénavant à servir l'état de » quelque manière , ,il suffira de s'être rendu re» marquable par ses talens ou par ses vertus.
Page 180 - Vous verrez dans votre cortège des » hommes libres , dont la patrie est dans les fers, » dont la patrie sera libre un jour, par l'influence » de votre courage inébranlable et de vos loix « philosophiques.. » Jamais ambassade ne fut plus sacrée. Nos *» lettres de créance ne sont pas tracées sur le » parchemin , mais notre mission est gravée en
Page 143 - sera tenu de déférer à cette réquisition. » 8°. A l'instant où la guerre cessera, le corps » législatif fixera le délai dans lequel les troupes » mises sur pied au-dessus du pied de paix, seront » congédiées , et l'armée réduite à son état
Page 142 - commencées, d'un allié à soutenir, d'un droit à » conserver par la force des armes, le roi sera tenu » d'en donner, sans aucun délai, la notification au *» corps législatif, et d'en faire connoître les causes *» et les motifs ; et si le corps législatif est en

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