Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 47la Société littéraire-typographique, 1784 - 552 pages |
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... s'est sauvé , Et par où l'un périt un autre eft conservé . Le Conte du tonneau du doyen Swift eft une imita- tion des trois anneaux . La fable de ces trois anneaux eft fort ancienne ; elle eft du temps des croifades . C'eft un vieillard ...
... s'est sauvé , Et par où l'un périt un autre eft conservé . Le Conte du tonneau du doyen Swift eft une imita- tion des trois anneaux . La fable de ces trois anneaux eft fort ancienne ; elle eft du temps des croifades . C'eft un vieillard ...
Page 396
... furent très- eftimés : il fut chez les Juifs le fondateur de la raifon autant qu'on la peut admettre dans les difputes de ce genre . Spinofa s'est beaucoup fervi de fes ouvrages . Long - temps après Aben - Efra , vint Maimonides 396 LETTRE.
... furent très- eftimés : il fut chez les Juifs le fondateur de la raifon autant qu'on la peut admettre dans les difputes de ce genre . Spinofa s'est beaucoup fervi de fes ouvrages . Long - temps après Aben - Efra , vint Maimonides 396 LETTRE.
Page 454
... s'est ainfi expliqué : Le fage du Faï parmi fes plants divers , Végétaux raffemblés des bouts de l'univers , Me dira - t - il pourquoi la tendre sensitive Se flétrit fous nos mains , honteufe & fugitive ? Pourquoi ce ver changeant se ...
... s'est ainfi expliqué : Le fage du Faï parmi fes plants divers , Végétaux raffemblés des bouts de l'univers , Me dira - t - il pourquoi la tendre sensitive Se flétrit fous nos mains , honteufe & fugitive ? Pourquoi ce ver changeant se ...
Page 506
... s'est filé en cela à un géomètre qui s'eft moqué de lui ; il a cru que M. de Voltaire ne favait pas qu'on ne peut trouver la trifection de l'angle , que par les fections coniques ou par l'algèbre , il a rapporté de bonne foi dans fa ...
... s'est filé en cela à un géomètre qui s'eft moqué de lui ; il a cru que M. de Voltaire ne favait pas qu'on ne peut trouver la trifection de l'angle , que par les fections coniques ou par l'algèbre , il a rapporté de bonne foi dans fa ...
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Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 47 Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) Affichage du livre entier - 1787 |
Expressions et termes fréquents
affez aifément ainfi auffi auteur c'eft c'eſt cent Chine Chinois chofe chrétiens Cicéron cœur comédie compofé Confucius connaiffance Defpréaux DIEU difant difcours dire écrit efprit enfuite ennemis épître eſt expreffions fage faibleffe faint fang fatire favait favans favoir fcène fcience feconde fefait femble fens fentiment ferait fervi feul fiècle fingulier fociété foit fouvent ftyle fuccès fuis fuivant fujet fur le théâtre furtout gens gloire goût Hamlet homme j'ai jamais jéfuites JESUS-CHRIST jufqu'à jufte Juifs l'auteur l'efprit l'Eglife l'empereur l'hiftoire laiffé langue lettres libelle livre long-temps Louis XIV Mélanges littéraires miniftre Molière Monfieur mort Moukden n'eft n'eſt nation néceffaire Newton ouvrage paffer parler penfer père perfonne peuple philofophe pièce Pierre Corneille plaifir Plaute plufieurs poëfie poëme poëte préfent prefque premier prince puiffe qu'un raifon refpectable refte religion réuffir ridicule Rouffeau s'eft ſes ſon Spinofa ſtyle Tartuffe Térence théâtre du palais-royal tragédie Voltaire
Fréquemment cités
Page 69 - ... aux faibles : Ils ont eu l'art de bien connaître L'homme qu'ils ont imaginé; Mais ils n'ont jamais deviné Ce qu'il est ni ce qu'il doit être.
Page 132 - Tu réformas et la ville et la cour : Mais quelle en fut la récompense ? Les Français rougiront un jour De leur peu de reconnaissance. Il leur fallut un comédien Qui mît à les polir sa gloire et son étude. Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rien, Si, parmi les défauts que tu peignis si bien, Tu les avais repris de leur ingratitude.
Page 128 - ... ce qu'il retirait du théâtre, avec ce qu'il avait placé, allait à trente mille livres de rente, somme qui, en ce temps-là, faisait presque le double de la valeur réelle de pareille somme d'aujourd'hui.
Page 130 - Donnez-lui quatre pistoles pour moi, lui dit Molière ; en voilà vingt qu'il faut que vous lui donniez pour vous. Et il joignit à ce présent celui d'un habit magnifique. Ce sont de petits faits , mais ils peignent le caractère. Un autre trait mérite plus d'être rapporté. Il venait de donner l'aumône à un pauvre. Un instant après, le pauvre court après lui, et lui dit : Monsieur , vous n'aviez peut-être pas dessein de me donner un louis d'or , je viens vous le rendre. Tiens , mon ami,...
Page 424 - II regarde son trône, et rien de plus. Régnez; Rome vous craindra plus que vous ne la craignez '. Malgré cette puissance et si vaste et si grande , Vous pouvez déjà voir comme elle m'appréhende , Combien en me perdant elle espère gagner, Parce qu'elle prévoit que je saurai régner.
Page 487 - Si je veux d'un galant * dépeindre la figure, Ma plume pour rimer trouve l'abbé de Pure \ Si je pense exprimer un auteur sans défaut, La raison dit Virgile, et la rime Quinault ". Enfin, quoi que je fasse, ou que je veuille faire.
Page 461 - Dieu, avons-nous raison de l'injurier? On n'a recours aux invectives que quand on manque de preuves. Entre deux controversistes, il ya cent à parier contre un, que celui qui aura tort se fâchera. « Tu prends ton tonnerre au lieu de répondre, dit Ménippe à Jupiter; tu as donc tort?
Page 125 - On permit à la troupe de Molière de s'établir à Paris; ils s'y fixèrent, et partagèrent le théâtre du Petit-Bourbon avec les comédiens italiens, qui en étaient en possession depuis quelques années.
Page 68 - Si la passion conseille quelquefois plus hardiment que la réflexion, c'est qu'elle donne plus de force pour exécuter.
Page 427 - Le lendemain nouvelle affaire , Pour le berger le troc fut bon , Car il obtint de la bergère Trente baifers pour un mouton.