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versé de sang,

203.

Soporifique singulier, 102, 103.

Sorbonne. Travaille pendant deux ans à attaquer l'Esprit des Lois, 668.

Sort. Le suffrage par le sort est de la nature de la démocra

tie; est défectueux : comment Solon l'avait rectifié à Athènes, 194, 195. — Ne doit point avoir lieu dans une aristocratie, 195.

Sortie du royaume. Devrait être permise à tous les sujets d'un prince despotique, 293.

Sots (les). Sont gouvernés par les gens d'esprit, 626. Soudans. Leur commerce, leur richesse et leur force, après la chute des Romains en Orient, 373.

Soufflet. Pourquoi est encore regardé comme un outrage qui ne peut se laver que dans le sang, 451.

Souillures. Comment elles se contractent dans la loi musulmane, 12.

Souper (le). Tue la moitié de Paris, 627.

Sourd. Pourquoi ne pouvait pas tester, 435.
Souverains. Doivent chercher des sujets et non des terres, 71.

Moyen fort simple dont usent quelques-uns pour trouver qu'il est bien aisé de gouverner, 198. Dans quel gouvernement le souverain peut être juge, 229. Sparte. Peine fort singulière en usage dans cette république, 232. Voyez Lacédémone.

Spartiates. N'offraient aux dieux que des choses communes. afin de les honorer tous les jours, 418. Voyez Lacédé

mone.

-

Spectacles. Révolutions qu'ils causèrent à Rome, par l'impression qu'ils faisaient sur le peuple, 275, 290. SPINOSA. Son système est contradictoire avec la religion naturelle, 536.

le

Spinosisme. Quoiqu'il soit incompatible avec le déisme, nouvelliste ecclésiastique les cumule sans cesse sur la tête de Montesquieu : preuves qu'il n'est ni spinosiste ni déiste,

529 et suiv.

Spiritualité. Nous ne sommes guère portés aux idées spirituelles, et nous sommes fort attachés aux religions qui nous font adorer un être spirituel, 415.

STAINVILLE (Lettre au marquis de), au sujet de l'Esprit des Lois, 654.

STANISLAS. Fragments d'une lettre à ce roi, et de la réponse,

660.

L'auteur a

Stérilité des terres. Rend les hommes meilleurs, 327. Stoiciens. Leur morale était, après celle des chrétiens, la plus propre pour rendre le genre humain heureux : détail Niaient l'imabrégé de leurs principales maximes, 409. — mortalité de l'âme : de ce faux principe ils tiraient des conséquences admirables pour la société, 412. loué leur morale, mais il a combattu leur fatalité, 532. Le nouvelliste les prend pour des sectateurs de la religion naturelle, tandis qu'ils étaient athées, 535, 536. Stoicisme. Favorisait le suicide chez les Romains, 155. — quel temps il fit plus de progrès parmi eux, 164. Stuart. Lettre au prince Édouard, 649.

En

Style (le.) Enflé et emphatique, est plus aisé, 628. Subordination. Ce n'est pas assez de la faire sentir, il faut la faire pratiquer, 42. Des citoyens aux magistrats. Donne la force aux lois, 215. Des enfants à leur père. Utile aux mœurs, ibid. - Des jeunes gens aux vieillards. Maintient les mœurs, ibid. Subsides. Ne doivent point, dans une aristocratie, mettre de différence dans la condition des citoyens, 215, 216. Substitutions. Pernicieuses dans une aristocratie, 217. - Sont utiles dans une monarchie, pourvu qu'elles ne soient permises qu'aux nobles, ibid. — Gênent le commerce, ibid. Quand on fut obligé de prendre, à Rome, des précautions pour préserver la vie du pupille des embûches du substitué, 344.-Pourquoi étaient permises dans l'ancien droit romain, et non pas les fideicommis, 453. Quel était le motif qui les avait introduites à Rome, 472. Substitutions pupillaires. Ce que c'est, 344.

Substitutions vulgaires. Ce que c'est, 344, not. 3.

cas avaient lieu, 472, 473.

En quel

Subtilité. Est un défaut qu'il faut éviter dans la composition des lois, 476.

Succession au trône. Par qui réglée dans les États despotiques, 221. Comment réglée en Moscovie, ibid. — Quelle est la Les lois et les usages meilleure façon de la régler, ibid. des différents pays la règlent différemment, et ces lois et usages, qui paraissent injustes à ceux qui ne jugent que sur les idées de leur pays, sont fondés en raison, 424.- Ne doit pas se régler par des lois civiles, 430. - Peut être changée, si elle devient destructive du corps politique pour lequel elle a été établie, 432. — Cas où l'État en peut changer l'or dre, ibid.

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Successions. Un père peut, dans une monarchie, donner la plus grande partie de la sienne à un seul de ses enfants, 217. Comment sont réglées en Turquie, 220. — A Bantam, 221. A Pégu, ibid. not. I — Appartient au dernier des máles chez les Tartares, dans quelques petits districts de l'Angleterre, et dans le duché de Rohan,en Bretagne : raisons de cette loi, 331. Quand l'usage d'y rappeler la fille et les enfants de la fille s'introduisit parmi les Francs : motifs de ces rappels, 331, 332. — Ordre bizarre établi par la loi salique sur les successions: raisons et source de cette bizarrerie, 332. Leur ordre dépend des principes du droit politique ou civil, et non pas des principes du droit naturel, 424 et suiv. Est-ce avec raison que Justinien regarde comme barbare le droit qu'ont les måles de succéder, au préjudice des filles? 424. - L'ordre en doit être fixé dans une monarchie, 430. Origine et révolutions des lois romaines sur cette matière, 433 et suiv. - On en étendit le droit, à Rome, en faveur de ceux qui se prêtaient aux vues des lois faites pour augmenter la population, 437. — Quand commencèrent à ne plus être régies par la loi Voconienne, ibid. — Leur or dre, à Rome, fut tellement changé sous les empereurs, qu'on ne reconnaît plus l'ancien, vid. et suiv. - Origine de l'usage qui a permis de disposer, par contrat de mariage, de celles qui ne sont pas ouvertes, 528. Successions ab intestat. Pourquoi si bornées à Rome, et les successions testamentaires si étendues, 434. Successions testamentaires. Voyez Successions ab intestat. Suède. Pourquoi on y a fait des lois somptuaires, 240. SUÉTONE. Surprise que cause la fin de son récit des crimes de Néron, 592.

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Combien il est important que la manière de les donner dans une démocratie soit fixée par les lois, ibid. — Doivent se donner différemment dans la démocratie et dans l'aristocratie, ibid. De combien de manières ils peuvent - Comment Solon, être donnés dans une démocratie, 194. sans gêner les suffrages par le sort, les dirigea sur les seuls personnages dignes des magistratures, ibid. - Doivent-ils être publics, ou secrets, soit dans une aristocratie, soit dans une démocratie? 195. Ne doivent point être donnés par le sort dans une aristocratie, ibid. et suiv. Suicide. Raisons qui en faisaient chez les Romains une action héroïque, 155. — Lois d'Europe contre ce crime: apologie du suicide, 53. — Réfutation de cette apologie, 53, 54.- Est contraire à la loi naturelle et à la religion révélée. De celui des Romains, de celui des Anglais : peut-il être puni chez ces derniers? 305.- Les Grecs et les Romains le punissaient, mais dans des cas différents, 473. Il n'y avait point de loi à Rome, du temps de la république, qui punit ce crime; il était même regardé comme une bonne action, ainsi que sous les premiers empereurs : les empereurs ne commencèrent à le punir que quand ils furent devenus aussi avares qu'ils avaient été cruels, ibid. La loi qui punissait celui qui se tuait par faiblesse était vicieuse, 477.-Est-ce être sectateur de la loi naturelle que de dire que le suicide est en Angleterre l'effet d'une maladie? 534, 535.

1

Surons, nation germaine. Pourquoi vivaient sous le gouvernement d'un seul, 239.

Suisse. La douceur de son gouvernement en a fait un des pays les plus peuplés de l'Europe, 83. — - Elle est l'image de la liberté, 93. Quoiqu'on n'y paye point de tributs, un Suisse paye quatre fois plus à la nature qu'un Turc ne paye au sultan, 296.

Suisses (ligues). Sont une république fédérative, et par là regardée en Europe comme éternelle, 253. Leur république fédérative est plus parfaite que celle d'Allemagne, 254. Sujets. Sont portés, dans la monarchie, à aimer le prince,

290.

--

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Sultans. Ne sont pas obligés de tenir leur parole, quand leur autorité est compromise, 203. - Droit qu'ils prennent ordinairement sur la valeur des successions des gens du peuple, 220. Ne savent être justes qu'en outrant la justice, 433. Superstition. C'est une hérésie, 55. — Excès monstrueux où elle peut porter, 202. Sa force et ses effets, 338. -Est, chez les peuples barbares, une des sources de l'autorité des prètres, 336. - Toute religion qui fait consister le mérite de ses sectateurs dans les pratiques superstitieuses, autorise les désordres, la débauche et les haines, 410, 413. Son luxe doit être réprimé : il est impie, 418. Supplices. Conduite que les législateurs doivent tenir, à cet égard, suivant la nature des gouvernements, 231.- Leur augmentation annonce une révolution prochaine dans l'État, ibid. A quelle occasion celui de la roue a été inventé : n'a pas eu son effet : pourquoi, 232. Ne doivent pas être les mêmes pour les voleurs que pour les assassins, 235. Ce que c'est, et à quels crimes doivent être appliqués, 282. — Ne rétablissent point les mœurs, n'arrêtent point un mal général, 341, 342.

1

Sureté du citoyen. Ce qui l'attaque le plus, 280. méritent ceux qui la troublent, 282.

Surprise. Plaisir qu'elle produit en nous, 592. gression, 595,

Suzerain. Voyez Seigneur.

Peine que

- De sa pro

Sybarites. Portrait de ce peuple efféminé, 116 et suiv. SYLLA. Exerce ses soldats à des travaux pénibles, 129. - Vainqueur de Mithridate, 143. Porte une atteinte irréparable à la liberté romaine, 149. Est le premier qui soit entré en armes dans Rome, 149, 150.- Fut l'inventeur des proscriptions, 150. Abdique volontairement la dictature, 149, 150. Parallèle de Sylla avec Auguste, 157. - Établit des peines cruelles: pourquoi, 235. Loin de punir, il récompensa les calomniateurs, 288. – Dialogue de Sylla et d'Eucrate, 583 et suiv.

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TARQUIN. Comment monta sur le trône; changement qu'il apporta dans le gouvernement: causes de sa chute, 272, 273. – L'esclave qui découvrit la conjuration faite en sa faveur fut dénonciateur seulement, et non témoin, 288. Comment il règne, 125 et suiv. Son fils viole Lucrèce; suite de cet attentat, 126. Prince plus estimable que l'on ne croit communément, ibid. Tartares. Sont les grands conquérants de la terre leurs conquêtes, 57. — Il n'a manqué à cette nation que des historiens pour célébrer la mémoire de ses merveilles, ibid. — Leur conduite avec les Chinois est un modèle de conduite pour les conquérants d'un grand État, 263. Pourquoi obligés de mettre leur nom sur leurs flèches, 291. Ne lèvent presque point de taxes sur les marchandises qui passent, 298. Les pays qu'ils ont désolés ne sont pas encore rétablis, 327. Sont barbares et non sauvages, Leur servitude, 330.- Devraient être libres : sont cependant dans l'esclavage politique : raison de cette singularité, ibid. Quel est leur droit des gens: pourquoi ayant des mœurs si douces entre eux, ce droit est si cruel, 331.- La succession appartient, chez eux, au dernier des måles raison de cette loi, ibid. — Ravages qu'ils ont faits dans l'Asie, et comment ils y ont détruit le commerce, 359. - Les vices de ceux de Gengis-kan venaient de ce que leur religion défendait ce qu'elle aurait dû permettre, et de ce que leurs lois civiles permettaient ce que la religion aurait dû défendre, 410.- Pourquoi n'ont point de temples: pourquoi si tolérants en fait de religion, 416. Pourquoi peuvent épouser leurs filles et non pas leurs mères, 427, 428. Arrêtent les progrès des Romains, 181. Tartarie (le kan de). Insulte tous les rois du monde deux fois par jour, 29.

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Taxes sur les marchandises. Sont les moins commodes et les moins onéreuses, 295. - Il est quelquefois dangereux de taxer le prix des marchandises, 380.- Sur les personnes. Dans quelle proportion doivent être imposées, 294. Sur les terres. Bornes qu'elles doivent avoir, ibid. Témoins. Pourquoi il en faut deux pour faire condamner un accusé, 281. - Pourquoi le nombre de ceux qui sont requis par les lois romaines pour assister à la confection d'un testament fut fixé à cinq, 433. — Dans les lois barbares, autres que la salique, les témoins formaient une preuve négative complète, en jurant que l'accusé n'était pas coupable, 446. — - L'accusé pouvait, avant qu'ils eussent été entendus en justice, leur offrir le combat judiciaire : quand et comment ils pouvaient le refuser, 454,455. — Déposaient en public: abrogation de cet usage, 462. -La peine contre les faux témoins est capitale en France; elle ne l'est point en Angleterre motifs de ces deux lois, 473. Temples. Leurs richesses attachent à la religion, 416.- Leur origine, ibid. Les peuples qui n'ont point de maisons ne bâtissent point de temples, ibid. Les peuples qui n'ont point de temples ont peu d'attachement pour leur religion, ibid.

Tentations. Elles nous suivent jusque dans la vie la plus austère, 63, 64.

Terrain. Comment sa nature influe sur les lois, 326 et suiv. - Plus il est fertile, plus il est propre à la monarchie, ibid.

-

-

Terre. Elle se lasse querquefois de fournir à la subsistance des THÉODOSE, empereur. Son crime et sa pénitence, 41, 42.
hommes, 77.
Ce qu'il pensait des paroles criminelles, 286.
C'est par le soin des hommes qu'elle est de-
Appela
venue plus propre à être leur demeure, 328. - Ses parties les petits-enfants à la succession de leur aïeul maternel,
sont plus ou moins peuplées, suivant ses différentes pro-
ductions, 396.

Terre salique. Ce que c'était chez les Germains, 331.- Ce
n'était point des fiefs, 333.

-

-

-

Terres. Quand peuvent être également partagées entre les ci-
toyens, 211 et suiv. - Comment doivent être partagées en-
tre les citoyens d'une démocratie, 112 et suiv. Peuvent-
elles être partagées également dans toutes les démocraties?
214.-Est-il à propos, dans une république, d'en faire un nou-
veau partage, lorsque l'ancien est confondu, 238. Bornes
que l'on doit mettre aux taxes sur les terres, 294. Rap-
port de leur culture avec la liberté, 326 et suiv. - C'est une
mauvaise loi que celle qui défend de les vendre, 387.
Quelles sont les plus peuplées, 395, 396. · Leur partage fut
rétabli à Rome par Servius Tullius, 434. - Comment fu-
rent partagées, dans les Gaules, entre les barbares et les
Romains, 481 et suiv. Des vaincus. Confisquées par les
Romains au profit du peuple, 126. — - Cessation de cet usage,
- Partage égal des terres dans les anciennes républi-
ques, 130. - Comment, par succession de temps, elles re-
tombaient dans les mains de peu de personnes, ibid. — Ce
partage rétablit la république de Sparte, déchue de son an-
cienne puissance, 130, 131. — Ce même moyen tire Rome de
son abaissement, ibid.

128.

-

-

-

Terres censuelles. Ce que c'était autrefois, 488, 489.
Tertullien. Voyez Sénatus-consulte Tertullien.
Tésin (journée du). Malheureuse pour les Romains, 134.
Testament. Les anciennes lois romaines sur cette matière n'a-
vaient pour objet que de proscrire le célibat, 400.- On n'en
pouvait faire, dans l'ancienne Rome, que dans une assem-
blée du peuple : pourquoi, 434. - Pourquoi les lois romaines
accordaient-elles la faculté de se choisir, par testament, tel
héritier que l'on jugeait à propos, malgré toutes les précau-
tions que l'on avait prises pour empêcher les biens d'une fa-
mille de passer dans une autre? ibid. — La faculté indéti-
nie de tester fut funeste à Rome, ibid. - Pourquoi, quand
on cessa de les faire dans les assemblées du peuple, il fallut
y appeler cinq témoins, ibid. Toutes les lois sur cette
matière, dérivent de la vente que le testateur faisait au-
trefois de sa famille à celui qu'il instituait son héritier,
435. Pourquoi la faculté de tester était interdite aux
sourds, aux muets et aux prodigues, ibid. - Pourquoi le
fils de famille n'en pouvait pas faire, même avec l'agré-
ment de son père, en la puissance duquel il était, ibid.
Pourquoi, soumis, chez les Romains, à de plus grandes
formalités que chez les autres peuples, ibid. Pourquoi
devait être conçu en paroles directes et impératives. Cette
loi donnait la faculté de substituer, mais ótait celle de
faire des fideicommis, 435. Pourquoi celui du père était
nul, quand le fils était prétérit; et valable, quoique la
fille le fût, ibid. - Les parents du défunt étaient obligés
autrefois, en France, d'en faire un en sa place, quand
n'avait pas testé en faveur de l'Église, 467. - Ceux des sui-
cides étaient exécutés à Rome, 473.
Testament in procinctu. Ce que c'était il ne faut pas le con-
fondre avec le testament militaire, 434, not. 2.
Testament militaire. Quand, par qui et pourquoi il fut éta-
bli, 434, not. 2.

-

-

Testament per æs et libram. Ce que c'était, 434, not. 4.
Thébaïde. Voyez Solitaires.

Thébains. Ressource monstrueuse à laquelle ils eurent recours
pour adoucir les mœurs des jeunes gens, 210.
THEODORA (l'impératrice). Rétablit le culte des images, détruit
par les iconoclastes, 183.

THÉODORE LASCARIS. Injustice commise sous son règne, sous
prétexte de magie, 283.

THÉODORIC, roi d'Austrasie. Fit rédiger les lois des Ripuaires,
des Bavarois, des Allemands et des Thuringiens, 438.
THÉODORIC, roi d'Italie. Comment il adopte le roi des Héru-
les, 337. - Abolit le combat judiciaire chez les Ostrogoths,

449.

438.

Théodose le JEUNE (l'empereur). Avec quelle insolence At-
tila en parle, 174.

-

Théologie. Est-ce cette science ou la jurisprudence qu'il faut
traiter dans un livre de jurisprudence? 541,543. — Elle s'ac-
corde difficilement avec la philosophie, 44.
Théologie (livres de). Doublement inintelligibles, 91.
Theologiens. Incapables d'accorder jamais leurs différends
184.- Maux qu'ils ont faits au commerce, 373.
THEOPHILE, empereur. Pourquoi ne voulait pas et ne devait
pas vouloir que sa femme fit le commerce, 355.
THEOPHRASTE. Son sentiment sur la musique, 209.
THÉSÉE. Ses belles actions prouvent que la Grèce était encore
barbare de son temps, 412.

Thessaliens, asservis par les Macédoniens, 136.

THIBAUT. C'est ce roi qui a accordé les coutumes de Champa-
gne, 469.

THOMAS MORE. Petitesse de ses vues en matière de législation,

472.

Thuringiens. Simplicité de leurs lois ; par qui furent rédigées,
438, 439. Leurs lois criminelles étaient faites sur le même
plan que les ripuaires, 446. — Leur façon de procéder con-
tre les femmes, 448.

TIBÈRE. Etend la puissance souveraine, 158 et suiv. - Soup-
çonneux et défiant, ibid. -Sous son empire, le sénat tombe
dans un état de bassesse qu'on ne saurait exprimer, 159. —
Il óte au peuple le droit d'élire les magistrats, pour le
transporter à lui-même, ibid. — S'il faut imputer à Tibère
l'avilissement du sénat, 159, 160.- Se donna bien de garde
de renouveler les anciennes lois somptuaires de la républi-
que, à laquelle il substituait une monarchie, 239.- Par
le même esprit, il ne voulut pas qu'on défendit aux gou-
verneurs de mener leurs femmes dans les provinces, ibid.
- Par les vues de la même politique, il maniait avec adresse
les lois faites contre l'adultère, 243. - Abus énormes qu'il
commit dans la distribution des honneurs et des dignités,
247, not. I. — Attacha aux écrits la peine du crime de lèse-
majesté, et cette loi donna le dernier coup à la liberté, 286.
Raffinement de cruauté de ce tyran, 287. — Par une loi
sage, il fit que les choses qui représentaient la monnaie de-
vinrent la monnaie même, 379. — Ajouta à la rigueur de
la loi Papienne, 401.

-

TIMUR. S'il eût été chrétien, il n'eût pas été si cruel, 407.
Tisane purgative, 102.

TITE (l'empereur) fait les délices du peuple romain, 163.
TITE-LIVE. Critique de l'auteur sur la façon dont cet historien
fait parler Annibal, 135. — Erreur de cet historien, 234.
Toison d'or. Origine de cette fable, 361.
Tolerance. L'auteur n'en parle que comme politique, et non
comme théologien, 407.— Les théologiens mêmes distin-
guent entre tolérer une religion et l'approuver, 417. — Quand
elle est accompagnée de vertus morales, elle forme le carae-
tère le plus sociable, 408, 409. — Quand plusieurs religions
sont tolérées dans un État, on doit les obliger à se tolérer
entre elles, 419.-On doit tolérer les religions qui sont éta-
blies dans un État, et empêcher les autres de s'y établir.
Dans cette règle n'est point comprise la religion chrétienne,
qui est le premier bien, ibid. note 1. Ce que l'auteur à
dit sur cette matière est-il un avis au roi de la Cochinchine
pour fermer la porte de ses États à la religion chrétienne?
- Voyez aussi 41. — Politique. Ses avantages, 59.
Tonquin. Toutes les magistratures y sont occupées par des
ennuques, 315. C'est le physique du climat qui fait que
les pères y vendent leurs filles et y exposent leurs enfants,

540.-

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Traitants. Leur portrait, 278. Leur injustice détermina
Publius Rutilius à quitter Rome, 278, 279. On ne doit
jamais leur contier les jugements, ibid. - Les impôts qui
donnent occasion au peuple de frauder enrichissent les
traitants, ruinent le peuple et perdent l'État, 295. - Tout
est perdu lorsque leur profession, qui ne doit être que lu-
crative, vient à être honorée, 299. Les richesses doivent
être leur unique récompense, ibid.

Traité déshonorant auquel se soumit Antiochus, 138.

-

-

-

-

Traités. De paix. Il semble qu'ils soient la voix de la na-
ture, 65.
296.
Quels sont ceux qui sont légitimes, ibid. -
Ceux que les princes font par force sont aussi obligatoires
que ceux qu'ils font de bon gré, 431.

Traitres. Comment étaient punis chez les Germains, 492.
TRAJAN. Refusa de donner des rescrits: pourquoi, 478. — Le
prince le plus accompli dont l'histoire ait jamais parlé, 163.
Son portrait il fait la guerre aux Parthes, ibid.
Tranquillité des citoyens. Comment les crimes qui la trou-
blent doivent être punis, 282.

Transmigration. Causes et effets de celle des différents peu-
ples, 327.

Transpiration. Son abondance, dans les pays chauds, y
rend l'eau d'un usage admirable, 303.

Trasimène (bataille de) perdue par les Romains, 134.
Travail. On peut, par de bonnes lois, faire faire les travaux
les plus rudes à des hommes libres, et les rendre heureux,
310. Les pays qui, par leurs productions, fournissent
du travail à un plus grand nombre d'hommes sont plus
peuplés que les autres, 395 et suiv.-Est le moyen qu'un
Etat bien policé emploie pour le soulagement des pauvres,

305.

---

Trébie (bataille de) perdue par les Romains, 134.
Trésors. Amassés par les princes, funestes à leurs succes-
seurs pourquoi, 165. Trésor des Ptolémées apporté à
Rome: effet qu'il y produit, 169. — Il n'y a jamais,
dans
une monarchie, que le prince qui puisse en avoir un, 452,
En les offrant à Dieu, nous prouvons que nous es-
timons les richesses, qu'il veut que nous méprisions, 418.
Pourquoi, sous les rois de la première race, celui du
roi était regardé comme nécessaire à la monarchie, 480.
Triangles. Quelle forme ils donneraient à leur dieu, s'ils en
faisaient un, 40.

453.

---

Tribunal domestique. De qui il était composé à Rome. Quelles
matières, quelles personnes étaient de sa compétence, et
quelles peines il infligeait, 242.- Quand et pourquoi fut
aboli, ibid.

-

Tribunaux. Cas où l'on doit être obligé d'y recourir dans les
monarchies, 226. — Ceux de judicature doivent être com-
posés de beaucoup de personnes : pourquoi, 230. - Sur
quoi est fondée la contradiction qui se trouve entre le con-
seil du prince et les tribunaux ordinaires, 230.- Quoiqu'ils
ne soient pas fixes dans un État libre, les jugements doi-
vent l'être, 266. - Ne doivent pas se régler par les maxi-
mes des tribunaux qui regardent l'autre vie, 426.
- Il y
en a trois qui ne sont presque jamais d'accord, ceux des
lois, de l'honneur et de la religion, 629.
Tribuns des légions. En quel temps et par qui furent créés,

276.

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-

-

tablis à Rome, ibid. Ne deviennent jamais plus néces-
saires que quand un État s'affaiblit, 173.- Portés par les
empereurs à un excès intolérable, ibid. — Par qui doivent
être levés dans une aristocratie, 216. Doivent être le-
vés, dans une monarchie, de façon que le peuple ne soit
point foulé de l'exécution, 217.- Comment se levaient à
Rome, 279, 280.- Rapport de leur levée avec la liberté, 293
et suiv.
Sur quoi et pour quels usages doivent être le-
vés, 293. Leur grandeur n'est pas bonne par elle-meme.
ibid.-Pourquoi un petit État qui ne paye point de tributs
enclavé dans un grand qui en paye beaucoup, est plus
misérable que le grand. Fausse conséquence que l'on a
tirée de ce fait, ibid. Quels tributs doivent être le-
vés dans un pays où tous les particuliers sont citoyens,
ibid. Leur grandeur dépend de la nature du gouver-
nement, ibid. et suiv. Leur rapport avec la liberté,
Dans quel cas sont susceptibles d'augmentation,
297.- Leur nature est relative au gouvernement, ibid.
Quand on abuse de la liberté pour les rendre excessifs,
elle dégénère en servitude, et on est obligé de diminuer les
tributs, ibid. et suiv.-Leur rigueur en Europe n'a d'autre
cause que la petitesse des vues des ministres, 297, 298. —
Causes de leur augmentation perpétuelle en Europe, 298. —
Les tributs excessifs que levaient les empereurs donnèrent
lieu à cette étrange facilité que trouvèrent les mahomé-
tans dans leurs conquêtes, ibid. — Quand on est forcé de
les remettre à une partie du peuple, la remise doit être ab-
solue, et ne pas être rejetée sur le reste du peuple. L'usage
contraire ruine le roi et l'Etat, ibid. et suiv.- La redevance
solidaire des tributs entre les différents sujets du prince est
injuste et pernicieuse à l'État, ibid. - Ceux qui ne sont
qu'accidentels, et qui ne dépendent pas de l'industrie, sont
une mauvaise sorte de richesse, 377. — Les Francs n'en
payaient aucun dans les commencements de la monarchie:
traits d'histoire et passages qui le prouvent, 484 et suiv. -
Les hommes libres dans les commencements de la monarchie
française, tant Romains que Gaulois, pour tout tribut étaient
chargés d'aller à la guerre à leurs dépens. Proportions dans
lesquelles ils supportaient ces charges, 486 et suiv. — Voyez
Impôts, Taxes.

Tributums. Ce que signifie ce mot dans les lois barbares,

487.

Trinité (par allusion à la), les Grecs se mirent en tète qu'ils
devaient avoir trois empereurs, 181.

Triomphe. Son origine : combien il influe sur l'accroissement
des grandeurs romaines, 125. A quel titre il s'accordait,
126.-L'usage du triomphe aboli sous Auguste : par quelle
raison, 157.

Tristesse. Les Orientaux ont contre cette maladie une recette
préférable à la nôtre, 23.

Triumviral (premier), 149. — (Second), 151.
Triumvirs. Leur adresse à couvrir leur cruauté sous les so-
phismes, 288, 289.- Réussirent, parce que, quoiqu'ils
eussent l'autorité royale, ils n'en avaient pas le faste,
337.

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Troglodytes. Leur histoire prouve qu'on ne peut être heureux
que par la pratique de la vertu, 8 et suiv.
Troupes. Différence qui existe entre les troupes françaises et
celles d'Orient, 61, 62.-Leur augmentation, en Europe,
est une maladie qui ruine les États, 298. Est-il avanta-
geux d'en avoir sur pied, en temps de paix comme en temps
de guerre? ibid. Pourquoi les Grecs et les Romains n'es-
timaient pas beaucoup celles de mer, 369, 370.
Troyennes (les). Tragédie assez mal faite, 670.
Troyes. Le synode qui s'y tint en 878 prouve que la loi des
Romains et celle des Wisigoths existaient concurremment
dans le pays des Wisigoths, 442.

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Turcs. Causes de la décadence de leur empire, 14. Il y a
chez eux des familles où l'on n'a jamais ri, 23. Serviront
d'ànes aux Juifs pour les mener en enfer, 24. Ne man-
gent point de viande étouffée, 30. -Leur défaite par les
Impériaux, 84.- Causes du despotisme affreux qui règne
chez eux, 265. N'ont aucune précaution contre la peste :
pourquoi, 305. Le temps qu'ils prennent pour attaquer
les Abyssins prouve qu'on ne doit point décider par les prin-
cipes de la religion ce qui est du ressort des lois naturelles,
425.- La première victoire dans une guerre civile est, pour
eux, un jugement de Dieu qui décide, 447.- Leur empire
à peu près aussi faible à présent qu'était celui des Grecs,
185.- De quelle manière ils conquirent la Perse, 186.
Repoussés jusqu'à l'Euphrate par les empereurs grecs, ibid.
Comment ils faisaient la guerre aux Grecs, et par quels
motifs, 187.-Éteignent l'empire d'Orient, ibid.
TURENNE. Sa vie est un hymne à la louange de l'humanité,

624.

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Turquie. Sera conquise avant deux siècles, 14. On y lève
aujourd'hui les tributs comme on les a toujours levés, 94.
D'Europe. Est presque déserte, 76. - Ainsi que celle
d'Asie, ibid. Comment les successions y sont réglées :
inconvénients de cet ordre, 220 et suiv.- Comment le
prince s'y assure la couronne, 221. Le despotisme en a
banni les formalités de justice, 227.- La justice y est-elle
mieux rendue qu'ailleurs? ibid. — Droits qu'on y lève pour
les entrées des marchandises, 296. Les marchands n'y
peuvent pas faire de grosses avances, 297.
Tutelle. Quand a commencé, en France, à être distinguée de
la baillie ou garde, 335.-La jurisprudence romaine chan-
gea sur cette matière, à mesure que les mœurs changèrent,
344. Les mœurs de la nation doivent déterminer les lé-
gislateurs à préférer la mère au plus proche parent, ou le
plus proche parent à la mère, ibid.

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Tuteurs. Étaient les maîtres d'accepter ou de refuser le com-
bat judiciaire pour les affaires de leurs pupilles, 454.
Tyen (le). Les chinois croient que les âmes s'y anéantissent,

81.

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Tyr. Nature de son commerce, 350, 359.-Dut son commerce
à la violence et à la vexation, 351. Ses colonies, ses éta-
blissements sur les côtes de l'Océan, 359. - Était rivale de
toute nation commerçante, 364.
Tyrannie. Les Romains se sont défaits de leurs tyrans, sans
pouvoir secouer le joug de la tyrannie, 200.- Ce que l'au-
teur entend par ce mot: routes par lesquelles elle parvient
à ses fins, 306. — Combien il y en a de sortes, 337. - La
plus cruelle est celle qui s'exerce à l'ombre des lois, 159.
Tyrans (meurtre des). Passait pour une action vertueuse dans
les républiques de Grèce et d'Italie, 153.-Quel était leur
sort à Rome, 167. Comment s'élèvent sur les ruines
d'une république, 245. — Sévérité avec laquelle les Grecs
les punissaient, 288.

-

Tyriens. Avantages qu'ils tiraient, pour leur commerce, de
l'imperfection de la navigation des anciens, 359.- Nature
et étendue de leur commerce, ibid.

U

ULPIEN. En quoi faisait consister le crime de lèse-majesté,

285.

ULRIQUE-ÉLÉONORE, reine de Suède, met la couronne sur la
tête de son époux, 95.

Uniformité des lois. Saisit quelquefois les grands génies, et
frappe infailliblement les petits, 478.

Union. Nécessaire entre les familles nobles dans une aristo-
cratie, 277. D'un corps politique : en quoi elle consiste,

148.

Université. Querelle ridicule qu'elle soutient au sujet de la
lettre Q, 74.

Usages. Il y en a beaucoup dont l'origine vient du changement
des armes, 452.

USBEK. Part de la Perse: route qu'il tient, 2, 4, 14, 16. - Ce
qu'on pense à Ispahan de son départ, 4. Sa douleur en
quittant la Perse: son inquiétude par rapport à ses femmes,

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4. Motifs de son voyage, 5, 6.
Parait à la cour des
sa plus tendre jeunesse : sa sincérité lui attire la jalousie des
ministres, ibid. — S'attache aux sciences: quitte la cour,
et voyage pour fuir la persécution, 6. — Tout bien examiné,
il donne la préférence à Zachi sur ses autres femmes, 3.
Est jaloux de Nadir, eunuque blanc, surpris avec sa femme
Zachi, 14, 15. — Croit Roxane vertueuse, 18 et suiv.
Tourmenté par sa jalousie, il renvoie un de ses eunuques
avec tous les noirs qui l'accompagnaient, pour augmenter
le nombre des gardiens de ses femmes, 16. Ses inquiétu-
des touchant la conduite de ses femmes, 19. - Nouvelles
accablantes qu'il reçoit du sérail, 43, 106. Ordres qu'il
envoie au premier eunuque, 106, 107. → Après sa mort, à
Narsit, son successeur, ibid. Donne la place de premier
eunuque à Solim, et lui remet le soin de sa vengeance, 108.
- Écrit une lettre foudroyante à ses femmes, ibid. — Cha-
grins qui le dévorent, ibid. — Lettres de reproches qu'il
reçoit de ses femmes, 109, 110.
Usure. Est comme naturalisée dans les Etats despotiques: pour-
quoi, 222. C'est dans l'Évangile, et non dans les rêveries
des scolastiques, qu'il en faut puiser les règles, 373.-Pour-
quoi le prix en diminua de moitié lors de la découverte de
l'Amérique, 379, 380. — Il ne faut pas la confondre avec
l'intérêt elle s'introduit nécessairement dans les pays où il
est défendu de prêter à intérêt, 389. — - Pourquoi l'usure
maritime est plus forte que l'autre, ibid. — Ce qui l'a intro-
duite et comme naturalisée à Rome, ibid. et suiv. - Son
taux dans les différents temps de la république romaine :
ravages qu'elle fit, ibid. Sur quelle maxime elle fut ré-
glée à Rome, après la destruction de la république, 392. —
Justification de l'auteur, par rapport à ses sentiments sur
cette matière, 542 et suiv. - Par rapport à l'érudition sur
cette matière, 544.-Usage des Romains sur cette matière,
545 et suiv.

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Vaisseau. Voyez Navire.
Vaisseaux. Rhodiens, autrefois les plus estimés, 130. — Au-
trefois ne faisaient que côtoyer les terres, 133.-Depuis l'in-
vention de la boussole, ils voguent en pleine mer, ibid.
VALENS (l'empereur) ouvre le Danube: suites de cet événe-
ment, 170. Reçoit les Goths dans l'empire, ibid. — Vic-
time de son imprudente facilité, 171.
VALENTINIEN. Fortifie les bords du Rhin, 170. Essuie une
guerre de la part des Allemands, ibid. — Appela les petits-
enfants à la succession de leur aïeul maternel, 438. — La
conduite d'Arbogaste envers cet empereur est un exemple
du génie de la nation française, par rapport aux maires du
palais, 508.

-

VALERIEN (l'empereur), pris par les Perses, 168.
VALETTE (le duc DE LA). Condamné par Louis XIII en personne,
229, 230.

Valeur réciproque de l'argent et des choses qu'il signifie, 37
et suiv.-L'argent en a deux ; l'une positive, et l'autre rela-
tive: manière de fixer la relative, 381 et suiv.-D'un homme
en Angleterre, 397.

VALOIS (DE). Erreur de cet auteur sur la noblesse des Francs,

503.

VAMBA. Son histoire prouve que la loi romaine avait plus d'au-
torité dans la Gaule méridionale que la loi gothe, 443.
Vandales. Étaient redoutables l'épée à la main, 176. — Passe-
rent en Afrique, où ils fondèrent un grand empire, 177.
Vanité. Augmente à proportion du nombre des hommes qui
vivent ensemble, 238.- Est très-utile dans une nation,
338, 339.-Les biens qu'elle fait comparés avec les maux
que cause l'orgueil, ibid.

Variété des plaisirs (de la), 589.

Variétés. Pensées rassemblées sous ce titre, 626 et suiv.
VARRON (TÉRENTIUS). Sa fuite honteuse, 134.

VARUS. Pourquoi son tribunal parut insupportable aux Ger-
mains, 337.

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