Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 18
Page 4
... Gasselin , lequel panse les chevaux . Au bout de ce jardin est une tonnelle sous laquelle est un banc . Au milieu s'élève un cadran solaire . Les allées sont sablées . Sur le jardin , la façade n'a pas de tourelle pour correspondre à ...
... Gasselin , lequel panse les chevaux . Au bout de ce jardin est une tonnelle sous laquelle est un banc . Au milieu s'élève un cadran solaire . Les allées sont sablées . Sur le jardin , la façade n'a pas de tourelle pour correspondre à ...
Page 5
... Gasselin , son seul vassal , qui dé- tala joyeusement . Les trois hommes de la famille furent absents pen- dant six mois , sans donner de leurs nouvelles à la baronne , qui ne lisait jamais la Quotidienne sans trembler de ligne en ligne ...
... Gasselin , son seul vassal , qui dé- tala joyeusement . Les trois hommes de la famille furent absents pen- dant six mois , sans donner de leurs nouvelles à la baronne , qui ne lisait jamais la Quotidienne sans trembler de ligne en ligne ...
Page 6
... Gasselin tournait encore dans les communs , il visitait les che vaux du baron et de Calyste , il voyait si tout allait bien dans l'écurie , il donnait aux deux beaux chiens de chasse leur pâtée du soir . Les aboiements joyeux des deux ...
... Gasselin tournait encore dans les communs , il visitait les che vaux du baron et de Calyste , il voyait si tout allait bien dans l'écurie , il donnait aux deux beaux chiens de chasse leur pâtée du soir . Les aboiements joyeux des deux ...
Page 7
... Gasselin entra dans la salle et demanda respectueusement à son maître si l'on avait besoin de lui . - Tu peux sortir ou t'aller coucher après la prière , dit le baron en se réveillant , à moins que madame ou sa sœur ... Les deux femmes ...
... Gasselin entra dans la salle et demanda respectueusement à son maître si l'on avait besoin de lui . - Tu peux sortir ou t'aller coucher après la prière , dit le baron en se réveillant , à moins que madame ou sa sœur ... Les deux femmes ...
Page 23
... Gasselin était sorti pour promener le cheval de Calyste , qui depuis deux mois ne le montait plus . Ces trois femmes , la mère , la tante et Mariotte s'entendaient avec la ruse naturelle aux femmes pour fêter Calyste quand il dinait au ...
... Gasselin était sorti pour promener le cheval de Calyste , qui depuis deux mois ne le montait plus . Ces trois femmes , la mère , la tante et Mariotte s'entendaient avec la ruse naturelle aux femmes pour fêter Calyste quand il dinait au ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douce douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.