Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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Page 8
... bonheur et ma longévité . Vouloir nous brûle et Pouvoir nous détruit ; mais SAVOIR laisse notre faible organisation dans un perpétuel état de calme , .LATILILLE Son regard attestait des efforts trahis , mille espérances trompées ...
... bonheur et ma longévité . Vouloir nous brûle et Pouvoir nous détruit ; mais SAVOIR laisse notre faible organisation dans un perpétuel état de calme , .LATILILLE Son regard attestait des efforts trahis , mille espérances trompées ...
Page 15
... bonheur les nuances délicates qui distinguaient ces beautés choisies . Réveillé par une pensée , due peut - être à quel- que émanation d'acide carbonique dégagé du vin de Champagne , un philosophe frissonna en songeant aux malheurs qui ...
... bonheur les nuances délicates qui distinguaient ces beautés choisies . Réveillé par une pensée , due peut - être à quel- que émanation d'acide carbonique dégagé du vin de Champagne , un philosophe frissonna en songeant aux malheurs qui ...
Page 18
... bonheur , bonheur d'autant plus profond peut - être qu'il était crimi- uel ; entre les deux joueurs et moi il se trouvait une haie d'hommes , épaisse de quatre ou cinq rangées de causeurs ; le bourdonnement des voix empêchait de ...
... bonheur , bonheur d'autant plus profond peut - être qu'il était crimi- uel ; entre les deux joueurs et moi il se trouvait une haie d'hommes , épaisse de quatre ou cinq rangées de causeurs ; le bourdonnement des voix empêchait de ...
Page 29
... bonheur , de ne pas rencontrer Finot le soir ? Je ne me sentis pas assez fort pour supporter tant de ' craintes au sein de ma joie . Malgré la certitude de ne rien trouver , j'entrepris une grande exploration à travers ma chambre , je ...
... bonheur , de ne pas rencontrer Finot le soir ? Je ne me sentis pas assez fort pour supporter tant de ' craintes au sein de ma joie . Malgré la certitude de ne rien trouver , j'entrepris une grande exploration à travers ma chambre , je ...
Page 30
... bonheur s'augmenta de tout l'argent que je perdais ! Il était minuit quand elle me renvoya . Néanmoins , le lendemain , mon héroïne me coûta bien des remords , je craignis d'avoir manqué l'affaire des mémoires , de- venue si capitale ...
... bonheur s'augmenta de tout l'argent que je perdais ! Il était minuit quand elle me renvoya . Néanmoins , le lendemain , mon héroïne me coûta bien des remords , je craignis d'avoir manqué l'affaire des mémoires , de- venue si capitale ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.