Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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... cause naturelle à cette singulière lucidité : les grains noirs du chagrin étaient si soigneusement polis et si bien bru nis , les rayures capricieuses en étaient si propres et si nettes , que , pareilles à des facettes de grenat , les ...
... cause naturelle à cette singulière lucidité : les grains noirs du chagrin étaient si soigneusement polis et si bien bru nis , les rayures capricieuses en étaient si propres et si nettes , que , pareilles à des facettes de grenat , les ...
Page 25
... cause , appelle un homme , l'interroge , et s'ap- puie pour l'écouter sur chambranle de porte . Je re- marquai dans sa démarche un mouvement brisé si doux , une ondulation de robe si gracieu- se , elle excitait si puissamment le désir ...
... cause , appelle un homme , l'interroge , et s'ap- puie pour l'écouter sur chambranle de porte . Je re- marquai dans sa démarche un mouvement brisé si doux , une ondulation de robe si gracieu- se , elle excitait si puissamment le désir ...
Page 27
... cause de cette anomalie psy- chologique . Existe - t - il en vous , comme chez beaucoup de femines fieres d'elles - mêmes , amoureuses de leurs perfections , un sentiment d'égoïsme raffiné qui vous fasse prendre en horreur l'idée d ...
... cause de cette anomalie psy- chologique . Existe - t - il en vous , comme chez beaucoup de femines fieres d'elles - mêmes , amoureuses de leurs perfections , un sentiment d'égoïsme raffiné qui vous fasse prendre en horreur l'idée d ...
Page 34
... cause de ces lentes et vengeresses douleurs , souvenez - vous alors des malheurs que vous avez si largement jetés ... causées en ne devinant pas le compte de vos petits écus , j'apprécie l'étendue de vos sacrifices ; mais l'amour peut ...
... cause de ces lentes et vengeresses douleurs , souvenez - vous alors des malheurs que vous avez si largement jetés ... causées en ne devinant pas le compte de vos petits écus , j'apprécie l'étendue de vos sacrifices ; mais l'amour peut ...
Page 47
... causes génératrices de ces phénomènes , nous pouvons transporter les corps , leur transmettre • }. T'histoire ... cause . Il lui faut comme à nous l'espace , et qu'est - ce que l'espace ? Le mouvement seul nous le révèle ; sans le ...
... causes génératrices de ces phénomènes , nous pouvons transporter les corps , leur transmettre • }. T'histoire ... cause . Il lui faut comme à nous l'espace , et qu'est - ce que l'espace ? Le mouvement seul nous le révèle ; sans le ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.