Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 92
Page 4
... duchesse qui a deux amants , et il entra chez le marchand de curiosités d'un air dégagé , laissant voir sur ses lèvres un sourire fixe comme celui d'un ivrogne . N'était - il pas ivre de la vie , ou peut - être de la mort . Il retomba ...
... duchesse qui a deux amants , et il entra chez le marchand de curiosités d'un air dégagé , laissant voir sur ses lèvres un sourire fixe comme celui d'un ivrogne . N'était - il pas ivre de la vie , ou peut - être de la mort . Il retomba ...
Page 23
... duchesse de Carigliano , la maré- chale la plus collet - monté de toute la coterie bonapartiste , va souvent passer avec elle la belle saison à sa terre . Beaucoup de jeunes fats , le fils d'un pair de France , lui ont offert un nom en ...
... duchesse de Carigliano , la maré- chale la plus collet - monté de toute la coterie bonapartiste , va souvent passer avec elle la belle saison à sa terre . Beaucoup de jeunes fats , le fils d'un pair de France , lui ont offert un nom en ...
Page 35
... duchesse ? repris - je , animé par une sorte de frénésie que son geste alluma dans mon cœur . Vous êtes folle de titres et d'honneurs ? Eh bien ! laissez - vous seulement aimer par moi , dites à ma plume de ne parler , à ma voix de ne ...
... duchesse ? repris - je , animé par une sorte de frénésie que son geste alluma dans mon cœur . Vous êtes folle de titres et d'honneurs ? Eh bien ! laissez - vous seulement aimer par moi , dites à ma plume de ne parler , à ma voix de ne ...
Page 43
... duchesse , il présentait le dos au coin de sa loge , et dérobait avec impertinence la moitié de la scène à l'inconnue , ayant l'air de la mépriser , d'ignorer même qu'une jolie femme se trouvât derrière lui . La voisine copiait avec ...
... duchesse , il présentait le dos au coin de sa loge , et dérobait avec impertinence la moitié de la scène à l'inconnue , ayant l'air de la mépriser , d'ignorer même qu'une jolie femme se trouvât derrière lui . La voisine copiait avec ...
Page 4
... duchesse présentée à la cour n'y fut aussi malicieusement critiquée que l'était le nouveau débarqué par tous les écoliers de sa division . Ordinairement , pendant la ré- création du soir , avant la prière , les flatteurs habitués à ...
... duchesse présentée à la cour n'y fut aussi malicieusement critiquée que l'était le nouveau débarqué par tous les écoliers de sa division . Ordinairement , pendant la ré- création du soir , avant la prière , les flatteurs habitués à ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.