Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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... fleurs . Cuvier n'est - il pas le plus grand poëte de notre siècle ? Lord Byron a bien reproduit par des mots quelques agita- tions morales ; mais notre immortel naturaliste a recon- struit des mondes avec des os blanchis , a rebâti ...
... fleurs . Cuvier n'est - il pas le plus grand poëte de notre siècle ? Lord Byron a bien reproduit par des mots quelques agita- tions morales ; mais notre immortel naturaliste a recon- struit des mondes avec des os blanchis , a rebâti ...
Page 11
... fleurs qui embaumaient et verdissaient les escaliers . -J'aime les porches bien chauffés et garnis de riches tapis , ré- pondit Raphaël . Le luxe dès le péristyle est rare en France . Ici je me sens renaître . - Et là - haut nous allons ...
... fleurs qui embaumaient et verdissaient les escaliers . -J'aime les porches bien chauffés et garnis de riches tapis , ré- pondit Raphaël . Le luxe dès le péristyle est rare en France . Ici je me sens renaître . - Et là - haut nous allons ...
Page 15
... fleurs déjà tombées de la tête de ses compagnes , et d'une main dédaigneuse tendait aux deux amis un plateau d ... fleur d'une mar- guerite . Trompés d'abord par les célestes promesses écrites dans les suaves attraits de cette jeune ...
... fleurs déjà tombées de la tête de ses compagnes , et d'une main dédaigneuse tendait aux deux amis un plateau d ... fleur d'une mar- guerite . Trompés d'abord par les célestes promesses écrites dans les suaves attraits de cette jeune ...
Page 17
... fleurs , et qui doivent se briser comme elles par de légers frois- sements auxquels certains cœurs minéraux ne sont même pas sensibles . -Oh ! de grâce , épargue - moi ta préface , dit Emile d'un air moitié riant moitié piteux , en ...
... fleurs , et qui doivent se briser comme elles par de légers frois- sements auxquels certains cœurs minéraux ne sont même pas sensibles . -Oh ! de grâce , épargue - moi ta préface , dit Emile d'un air moitié riant moitié piteux , en ...
Page 21
... fleurs de quelque jardin aérien , j'entrevoyais le profil anguleux et cro- chu d'une vieille femme arrosant des capucines , ou dans le cadre d'une lucarne pourrie quelque jeune fille faisant sa toilette , se croyant seule , et dont je ...
... fleurs de quelque jardin aérien , j'entrevoyais le profil anguleux et cro- chu d'une vieille femme arrosant des capucines , ou dans le cadre d'une lucarne pourrie quelque jeune fille faisant sa toilette , se croyant seule , et dont je ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.