Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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Page 19
... jour où mon père parut en quelque sorte m'avoir émancipé , je tombai sous le joug le plus odieux . Je dus combattre comme sur un champ de bataille , travailler nuit et jour , aller voir des hommes d'Etat , tâcher de surprendre leur ...
... jour où mon père parut en quelque sorte m'avoir émancipé , je tombai sous le joug le plus odieux . Je dus combattre comme sur un champ de bataille , travailler nuit et jour , aller voir des hommes d'Etat , tâcher de surprendre leur ...
Page 20
... jour . Toutes les femmes se résu- maient par une seule , et cette femme , je croyais la rencontrer dans la première qui s'offrait à mes regards . Mais , voyant une reine dans chacune d'elles , toutes devaient , comme les reines qui sont ...
... jour . Toutes les femmes se résu- maient par une seule , et cette femme , je croyais la rencontrer dans la première qui s'offrait à mes regards . Mais , voyant une reine dans chacune d'elles , toutes devaient , comme les reines qui sont ...
Page 21
... jour , les tristesses du brouillard , les soudains petillements du soleil , le silence et les magies de la nuit , les mystères de l'aurore , les fumées de cha- que cheminée , tous les accidents de cette singulière nature m'étaient ...
... jour , les tristesses du brouillard , les soudains petillements du soleil , le silence et les magies de la nuit , les mystères de l'aurore , les fumées de cha- que cheminée , tous les accidents de cette singulière nature m'étaient ...
Page 30
... jour , je rompis avec la vie monastique et studieuse que j'avais menée pendant trois ans . J'allai fort assidûment chez Fodora , où je tâchai de surpasser en apparence les impertinents ou les héros de coterie qui s'y trouvaient . En ...
... jour , je rompis avec la vie monastique et studieuse que j'avais menée pendant trois ans . J'allai fort assidûment chez Fodora , où je tâchai de surpasser en apparence les impertinents ou les héros de coterie qui s'y trouvaient . En ...
Page 36
... jour où je me trouvai sans argent , je me portais à merveille . Pour continuer de mourir , je si- gnai des lettres de change à courte échéance , et le jour du payement arriva . Cruelles émotions ! et comme elles font vivre de jeunes ...
... jour où je me trouvai sans argent , je me portais à merveille . Pour continuer de mourir , je si- gnai des lettres de change à courte échéance , et le jour du payement arriva . Cruelles émotions ! et comme elles font vivre de jeunes ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.