Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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... ment manifesté par l'étran- ger quand il reçut une fiche numérotée en échange de son chapeau , dont heureuse- ment les bords étaient légè 1 rement pelés , indiquait assez une âme encore innocente . COMEDIE HUMAINE W ...
... ment manifesté par l'étran- ger quand il reçut une fiche numérotée en échange de son chapeau , dont heureuse- ment les bords étaient légè 1 rement pelés , indiquait assez une âme encore innocente . COMEDIE HUMAINE W ...
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... ment , ses lèvres blanchirent ; mais il releva bientôt ses paupières , sa bouche reprit une rougeur de corail , il affecta l'air d'un Anglais pour qui la vie n'a plus de mystères , et disparut sans mendier une conso- lation par un de ...
... ment , ses lèvres blanchirent ; mais il releva bientôt ses paupières , sa bouche reprit une rougeur de corail , il affecta l'air d'un Anglais pour qui la vie n'a plus de mystères , et disparut sans mendier une conso- lation par un de ...
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... ment d'incendie , y réveille les époux et leur inspire une ardeur cuisante qui rajeunisse même les sep- tuagénaires ! Un éclat de rire , parti de la bouche du petit vieil- lard , retentit dans les oreil- les du jeune fou comme un ...
... ment d'incendie , y réveille les époux et leur inspire une ardeur cuisante qui rajeunisse même les sep- tuagénaires ! Un éclat de rire , parti de la bouche du petit vieil- lard , retentit dans les oreil- les du jeune fou comme un ...
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... ment opposés , en seras - tu plus instruit ? Si tu n'étais pas ivre , tu y verrais peut- être un traité de philoso- phie . Si tu n'avais pas les Il tenta d'entamer la peau avec le stylet ... PAGE 7 . ton ivresse et de ton bavar- dage ...
... ment opposés , en seras - tu plus instruit ? Si tu n'étais pas ivre , tu y verrais peut- être un traité de philoso- phie . Si tu n'avais pas les Il tenta d'entamer la peau avec le stylet ... PAGE 7 . ton ivresse et de ton bavar- dage ...
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... ment de ma bonne santé . D'ailleurs , le pauvre ne doit se coucher que pour mourir . Je me coupai les cheveux , jusqu'au moment où un ange d'amour ou de bonté ... mais je ne veux pas anticiper sur la situation à laquelle j'arrive ...
... ment de ma bonne santé . D'ailleurs , le pauvre ne doit se coucher que pour mourir . Je me coupai les cheveux , jusqu'au moment où un ange d'amour ou de bonté ... mais je ne veux pas anticiper sur la situation à laquelle j'arrive ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douce douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.