Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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... monde et les événements d'hier se mariaient avec une grotesque bonhomie . Un tournebroche était posé sur un osten- soir , un sabre républicain sur une hacquebute du moyen âge . Madame Dubarry , peinte au pastel par Latour , une étoile ...
... monde et les événements d'hier se mariaient avec une grotesque bonhomie . Un tournebroche était posé sur un osten- soir , un sabre républicain sur une hacquebute du moyen âge . Madame Dubarry , peinte au pastel par Latour , une étoile ...
Page 6
... monde entier se trouvaient accumulées dans ses magasins poudreux ; vous y auriez lu la tranquillité lucide d'un Dieu qui voit tout , ou la force orgueilleuse d'un homme qui a tout vu . Un peintre aurait , avec deux expressions ...
... monde entier se trouvaient accumulées dans ses magasins poudreux ; vous y auriez lu la tranquillité lucide d'un Dieu qui voit tout , ou la force orgueilleuse d'un homme qui a tout vu . Un peintre aurait , avec deux expressions ...
Page 7
... monde , ou bien êtes - vous déshonoré ? - - Si je voulais me déshonorer , je vivrais . Avez - vous été sifflé aux Funambules , ou vous trouvez - vous obligé de composer des flons flons pour payer le convoi de votre mai- tresse ? N ...
... monde , ou bien êtes - vous déshonoré ? - - Si je voulais me déshonorer , je vivrais . Avez - vous été sifflé aux Funambules , ou vous trouvez - vous obligé de composer des flons flons pour payer le convoi de votre mai- tresse ? N ...
Page 9
... monde où mon existence est désor- mais impossible . Voyons ! ajouta - t - il en serrant le talis- man d'une main convulsive et regardant le vieillard . Je veux un dîner royalement splendide , quelque baccha- nale digne du siècle où tout ...
... monde où mon existence est désor- mais impossible . Voyons ! ajouta - t - il en serrant le talis- man d'une main convulsive et regardant le vieillard . Je veux un dîner royalement splendide , quelque baccha- nale digne du siècle où tout ...
Page 12
... monde de plus élastique . Mais , monsieur , Louis XIV a fait périr plus d'hommes pour creuser les aqueducs de Maintenon que la Convention pour asseoir justement l'impôt , pour mettre de l'unité dans la loi , nationaliser la France et ...
... monde de plus élastique . Mais , monsieur , Louis XIV a fait périr plus d'hommes pour creuser les aqueducs de Maintenon que la Convention pour asseoir justement l'impôt , pour mettre de l'unité dans la loi , nationaliser la France et ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.