Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 100
Page 3
... passe , dit officiellement le tailleur . Une espèce de råle sourd sortit de la poitrine de l'Italien lorsqu'il vit ... passer un fort de la halle , celui - ci ayant légèrement blanchi la manche de son habit , il se surprit à en secouer ...
... passe , dit officiellement le tailleur . Une espèce de råle sourd sortit de la poitrine de l'Italien lorsqu'il vit ... passer un fort de la halle , celui - ci ayant légèrement blanchi la manche de son habit , il se surprit à en secouer ...
Page 7
... passer deux ou trois bouffées d'air qui peignirent plus d'idées que n'en pouvaient exprimer les plus énergiques paroles . -Existe - t - il au monde un homme assez simple pour croire à cette chimère ? s'écria le jeune homme , piqué d ...
... passer deux ou trois bouffées d'air qui peignirent plus d'idées que n'en pouvaient exprimer les plus énergiques paroles . -Existe - t - il au monde un homme assez simple pour croire à cette chimère ? s'écria le jeune homme , piqué d ...
Page 10
... passer une joyeuse vie à la Pa- nurge , ou , more orientali , couché sur de moelleux coussins . Nous te destinions les rênes de cet empire macaronique et burlesque ; ainsi nous t'emmenons de ce pas au diner donné par le fondateur dudit ...
... passer une joyeuse vie à la Pa- nurge , ou , more orientali , couché sur de moelleux coussins . Nous te destinions les rênes de cet empire macaronique et burlesque ; ainsi nous t'emmenons de ce pas au diner donné par le fondateur dudit ...
Page 14
... passer dans le salon , le café les y al- tend , dit le maître d'hôtel . En ce moment , presque tous les convives se roulaient au sein de ces limbes délicieuses où les lumières de l'esprit s'éteignent , où le corps , délivré de son tyran ...
... passer dans le salon , le café les y al- tend , dit le maître d'hôtel . En ce moment , presque tous les convives se roulaient au sein de ces limbes délicieuses où les lumières de l'esprit s'éteignent , où le corps , délivré de son tyran ...
Page 37
... passer des tressaillements continuels d'une vie à tout moment risquée , et des exécrables raffinements de la richesse . Riche à mil- lions , j'aurais toujours joué , mangé , couru . Je ne voulais plus rester seul avec moi - même . J ...
... passer des tressaillements continuels d'une vie à tout moment risquée , et des exécrables raffinements de la richesse . Riche à mil- lions , j'aurais toujours joué , mangé , couru . Je ne voulais plus rester seul avec moi - même . J ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.