Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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Page 7
... resta comme en- gourdi sans oser répondre . Retournez - vous , dit le marchand en saisissant tout à coup fa lampe pour en diriger la lumière sur le mur qui faisait face au por- trait , et regardez cette PEAU DE CHAGBIN , ajouta - t - il ...
... resta comme en- gourdi sans oser répondre . Retournez - vous , dit le marchand en saisissant tout à coup fa lampe pour en diriger la lumière sur le mur qui faisait face au por- trait , et regardez cette PEAU DE CHAGBIN , ajouta - t - il ...
Page 13
... resta muet . - Ne serait - il pas plaisant , dit le jugeur à son voisin , de me battre pour un ouvrage que je n'ai jamais vu ni lu ? - - - Emile , prends garde à ton habit , ton voisin pâlit , dit Bixiou . Kant , monsieur . Encore un ...
... resta muet . - Ne serait - il pas plaisant , dit le jugeur à son voisin , de me battre pour un ouvrage que je n'ai jamais vu ni lu ? - - - Emile , prends garde à ton habit , ton voisin pâlit , dit Bixiou . Kant , monsieur . Encore un ...
Page 14
... resta pendant un moment , immobile et charmée , sur le seuil de la porte . Les jouissances excessives du festin pâlirent devant le chatouillant spectacle que l'amphitryon of- frait au plus voluptueux de leurs sens . Sous les ...
... resta pendant un moment , immobile et charmée , sur le seuil de la porte . Les jouissances excessives du festin pâlirent devant le chatouillant spectacle que l'amphitryon of- frait au plus voluptueux de leurs sens . Sous les ...
Page 24
... resta même un instant silencieuse quand je lui dis que nos idées étaient des êtres organisés , complets , qui vivaient dans un monde invisible , et influaient sur nos destinées , en lui citant pour preuves les pensées de Descartes , de ...
... resta même un instant silencieuse quand je lui dis que nos idées étaient des êtres organisés , complets , qui vivaient dans un monde invisible , et influaient sur nos destinées , en lui citant pour preuves les pensées de Descartes , de ...
Page 33
... resta sans mouvement . J'eus peur , mais bientôt j'entendis retentir la respiration égale et forte d'une personne endormie ; j'écartai la soie criarde des rideaux , quittai ma position et vins me placer au pied de son lit , en la ...
... resta sans mouvement . J'eus peur , mais bientôt j'entendis retentir la respiration égale et forte d'une personne endormie ; j'écartai la soie criarde des rideaux , quittai ma position et vins me placer au pied de son lit , en la ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.