Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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... seul dans le cabinet . Vous êtes - vous jamais lancé dans l'immensité de l'espace et du temps , HB en lisant les œuvres géolo- giques de Cuvier ? Emporté par son génie , avez - vous plané sur l'abîme sans bor- nes du passé , comme ...
... seul dans le cabinet . Vous êtes - vous jamais lancé dans l'immensité de l'espace et du temps , HB en lisant les œuvres géolo- giques de Cuvier ? Emporté par son génie , avez - vous plané sur l'abîme sans bor- nes du passé , comme ...
Page 14
... seul a consacré le triomphe de l'esprit sur la matière , lui seul nous a poétiquement revélé le monde intermédiaire qui nous sépare de Dieu . - Tu crois ? reprit Raphaël en lui jetant un indéfinissable sourire d'ivresse . Eh bien ! pour ...
... seul a consacré le triomphe de l'esprit sur la matière , lui seul nous a poétiquement revélé le monde intermédiaire qui nous sépare de Dieu . - Tu crois ? reprit Raphaël en lui jetant un indéfinissable sourire d'ivresse . Eh bien ! pour ...
Page 19
... seul le convoi de mon premier ami , de mon père . Peu de jeunes gens se sont trouvés , seuls avec leurs pensées , derrière un corbillard , perdus dans Paris , sans avenir , sans fortune . Les orphe- lins recueillis par la charité ...
... seul le convoi de mon premier ami , de mon père . Peu de jeunes gens se sont trouvés , seuls avec leurs pensées , derrière un corbillard , perdus dans Paris , sans avenir , sans fortune . Les orphe- lins recueillis par la charité ...
Page 21
... seul et caressé par une brise tiède , donnerait aux ignorants une bien faible image du bon- heur que j'éprouvais ... seul , mon cher Emile , as calmé la plaie profonde que d'autres firent à non cœur ! Toi seul admiras ma Théorie de la ...
... seul et caressé par une brise tiède , donnerait aux ignorants une bien faible image du bon- heur que j'éprouvais ... seul , mon cher Emile , as calmé la plaie profonde que d'autres firent à non cœur ! Toi seul admiras ma Théorie de la ...
Page 32
... seul avec la comtesse , voulut partir . Eh quoi ! déjà ? lui dit- elle avec un son de voix plein de câlineries et qui me fit palpiter . Ne me donnerez - vous pas encore un moment ? N'avez - vous donc plus rien à me dire , et ne me ...
... seul avec la comtesse , voulut partir . Eh quoi ! déjà ? lui dit- elle avec un son de voix plein de câlineries et qui me fit palpiter . Ne me donnerez - vous pas encore un moment ? N'avez - vous donc plus rien à me dire , et ne me ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.