Oeuvres illustrées de Balzac, Volumes 5 à 6Maresoq et compagnie, 1852 |
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... tête méridio- nale respirait l'or et le feu . Sept ou huit spectateurs , debout , rangés de manière à former une galerie , attendaient les scènes que leur -- - préparaient les coups du sort , les figures des acteurs , le mouvement de l ...
... tête méridio- nale respirait l'or et le feu . Sept ou huit spectateurs , debout , rangés de manière à former une galerie , attendaient les scènes que leur -- - préparaient les coups du sort , les figures des acteurs , le mouvement de l ...
Page 6
... tête , vit un squelette à peine éclairé qui le montra du doigt , et pencha dubitativement le crâne de droite à gauche , comme pour lui dire : Les morts ne veu . lent pas encore de toi ! En passant la main sur son front pour en chas- ser ...
... tête , vit un squelette à peine éclairé qui le montra du doigt , et pencha dubitativement le crâne de droite à gauche , comme pour lui dire : Les morts ne veu . lent pas encore de toi ! En passant la main sur son front pour en chas- ser ...
Page 12
... tête sur ses épaules ? A quoi bon , monsieur ? les principes de l'ordre social ne valent- ils donc pas quelques sacrifices ? -Bixiou ! Hé ! Chose - le - républicain prétend que la tête de ce pro- priétaire serait un sacrifice , dit un ...
... tête sur ses épaules ? A quoi bon , monsieur ? les principes de l'ordre social ne valent- ils donc pas quelques sacrifices ? -Bixiou ! Hé ! Chose - le - républicain prétend que la tête de ce pro- priétaire serait un sacrifice , dit un ...
Page 28
... tête et sa virginale attitude ! La nuit et le silence prêtaient leur charme à cette laborieuse veillée , à ce paisible intérieur . Ces travaux continus et gaiement supportés attestaient une résignation religieuse pleine de sentiments ...
... tête et sa virginale attitude ! La nuit et le silence prêtaient leur charme à cette laborieuse veillée , à ce paisible intérieur . Ces travaux continus et gaiement supportés attestaient une résignation religieuse pleine de sentiments ...
Page 42
... tête brûlante , aux yeux cernés , la tête de Raphaël , triste et pensif . Fatale image de la richesse ! Il court à travers Paris comme une fusée , arrive au péristyle du théâtre Favart , le marchepied se déploie , ses deux valets le ...
... tête brûlante , aux yeux cernés , la tête de Raphaël , triste et pensif . Fatale image de la richesse ! Il court à travers Paris comme une fusée , arrive au péristyle du théâtre Favart , le marchepied se déploie , ses deux valets le ...
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Expressions et termes fréquents
aime amant âme amour ange assez avez baronne Béatrix beau Beauvouloir belle bonheur Calyste Camille chambre cher cheval chose ciel Claude Vignon cœur comte comtesse Croisic devant Dieu dit-elle don Juan douleur duchesse Emilio enfant êtes Etienne Félicité femme Fenice fleurs froid Gabrielle Gambara Gasselin gens Guénic Guérande heures heureux idées j'ai jamais jeta jeune fille jeune homme joie jolie jour Julie l'amour laisser Lambert larmes lord Grenville Louis Lambert lyste madame d'Aiglemont madame de Rochegude madame de Staël madame Schontz mademoiselle des Touches Mahomet main maison malheur marquise ment mère Merret mille monde monsieur mort musique n'avait paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin Pen-Hoël pendant pensée père peut-être plaisir poëte Raphaël regard répondit resta rien Rossini s'écria Sabine Saint-Nazaire sais salon secret semblait sentiment sera seul silence soir sorte souf sourire tête trouvait Vandenesse Vendramin vieillard vieille vieux visage voix yeux
Fréquemment cités
Page 12 - Son œuvre portait les marques de la lutte que se livraient dans cette belle âme ces deux grands principes, le Spiritualisme, le Matérialisme, autour desquels ont tourné tant de beaux génies, sans qu'aucun d'eux ait osé les fondre en un seul. D'abord spiritualiste pur, Louis avait été conduit invinciblement à reconnaître la matérialité de la pensée.
Page 24 - Elle parut s'amuser beaucoup en apprenant que la volonté humaine était une force matérielle semblable à la vapeur ; que, dans le monde moral, rien ne résistait à cette puissance quand un homme s'habituait à la concentrer, à en manier la somme, à diriger constamment sur les âmes la projection de cette masse fluide; que cet homme pouvait à son gré tout modifier relativement à l'humanité, même les lois absolues de la nature.
Page 21 - Là , s'arrête ma belle vie , ce sacrifice de tous les jours, ce travail de ver-à-soie inconnu au monde et dont la seule récompense est peut-être dans le travail même. Depuis l'âge de raison jusqu'au jour où j'eus terminé ma théorie, j'ai observé, appris, écrit, lu sans relâche, et ma vie fut comme un long pensum. Amant efféminé de la paresse orientale , amoureux de mes rêves, sensuel, j'ai toujours travaillé, me refusant à goûter les jouissances de la vie parisienne. Gourmand ,...
Page 23 - Hélas ! déjà ridé, déjà blanchi, enfin déjà plus de lumière dans ses yeux, devenus vitreux comme ceux d'un aveugle.