Esprit des lois |
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Dans les lois de Platon ( 1 ) , ceux qui négligent d'avertir les magistrats , ou de leur donner du secours , doivent être punis . Cela ne conviendroit point aujourd'hui . La partie publique veille pour les citoyens ; elle agit , et ils ...
Dans les lois de Platon ( 1 ) , ceux qui négligent d'avertir les magistrats , ou de leur donner du secours , doivent être punis . Cela ne conviendroit point aujourd'hui . La partie publique veille pour les citoyens ; elle agit , et ils ...
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Autres éditions - Tout afficher
De l'esprit des lois, Volume 1 Charles Louis de Secondat Montesquieu (Barón de) Affichage du livre entier - 1834 |
De l'esprit des lois, Volume 1 Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1803 |
Expressions et termes fréquents
affaires anciens appelle assez auroit avoient avoit besoin cause changer CHAPITRE choses citoyen civiles climat commerce conquête conserver corps crainte crimes demande despotique différentes dire doit doivent donner effet également enfants enfin esclaves esprit établi états étoient étoit famille femmes font force forme fortune général gens gouvernement grandeur Grecs guerre hommes j'ai jours juger l'autre l'esprit l'état l'honneur l'une laisse législative Lettres liberté libres lieu Livre lois lui-même luxe magistrats mains maître manière ment mieux modérés mœurs monarchie monde Montesquieu mort moyens n'en n'étoit nation nature naturelle nécessaire nobles nombre parler particuliers pays peine penser père personne petits peuple peuvent porte pouvoir premier presque prince propre publics puissance puisse punir qu'à qu'un raison rapport règle rend république reste rien rois Romains Rome s'il sénat sent sera seroit seul société soient sorte souvent sujet sûreté terre tion tiré traits tributs trouve vertu veut VIII voit Voyez
Fréquemment cités
Page lxxviii - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 243 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu'on ait cette liberté », il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen...
Page 35 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison, la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince, l'espérance de ses faiblesses, et, plus que tout cela, le ridicule perpétuel jeté sur la vertu, forment, je crois, le caractère du plus grand nombre des courtisans, marqué dans tous les lieux et dans tous les temps.
Page 241 - États modérés : elle n'y est que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir; mais c'est une expérience éternelle, que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. Qui le diroit! la vertu même a besoin de limites. . .Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir.
Page 247 - Il faut même que les juges soient de la condition de l'accusé, ou ses pairs, pour qu'il ne puisse pas se mettre dans l'esprit qu'il soit tombé entre les mains de gens portés à lui faire violence'.
Page lxxi - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étoient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes , les histoires de toutes les nations n'en être que les suites , et chaque loi particulière liée avec une autre loi , ou dépendre d'une autre plus générale.
Page lxxiii - Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve, je me croirais le plus heureux des mortels.
Page 203 - Je parle de la république fédérative. Cette forme de gouvernement est une convention par laquelle plusieurs corps politiques consentent à devenir citoyens d'un état plus grand qu'ils veulent former. C'est une société de sociétés , qui en font une nouvelle , qui peut s'agrandir par de nouveaux associés qui se sont unis.
Page lxxx - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux. Il faut donc avouer des rapports d'équité antérieurs à la loi positive qui les établit...
Page xi - Quand j'ai voyagé dans les pays étrangers, je m'y suis attaché comme au mien propre ; j'ai pris part à leur fortune, et j'aurois souhaité qu'ils fussent dans un état florissant.