Annali dell'Instituto di corrispondenza archeologica: v. 1 -57; 1829- 85 Annales de l'Institut de correspondance archéologique. t. 1 -57; 1829- 85, Volume 19

Couverture
 

Pages sélectionnées

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 36 - ... le culte public ou le culte secret des divinités génératrices, soit dans les cérémonies funèbres et dans la composition des monuments funéraires. C'est l'ensemble de mes recherches sur ces divers points qu'aujourd'hui je soumets au jugement des lecteurs de nos Annales. Mon travail est divisé en deux mémoires : dans le premier, je considère le cyprès pyramidal comme symbole ou attribut des dieux en Orient et en Occident ; dans le second, je le considère comme emblème funéraire dans...
Page 72 - L'historien arménien Jean Catholicos, dans l'abrégé trèsrapide qu'il s'est contenté de nous donner du livre de Mar Ibas Cadina, n'a pas, à l'exemple de Moïse de Khoren, conservé le passage relatif au culte du cyprès et de l'air établi dans Armavir par Arménag; mais, du moins, il ne néglige ni de répéter que l'historien...
Page 37 - ... la puissance active et la puissance passive. On sait qu'en effet le cyprès , arbre de la famille des conifères, appartient à cette catégorie de végétaux que Linné range dans sa...
Page 95 - ... prier, d'invoquer les arbres, et les qualifie de purs et saints : « Approchezvous des arbres qui croissent, dit Ormuzd à Zoroastre dans ce livre 2. Prononcez bien ces paroles près des arbres qui croissent : je prie les arbres purs et saints qu'Ormuzd a donnés 3. L'abondance et le béhescht4 sont pour le juste qui est pur. Celui-là est pur qui est saint, qui fait des œuvres célestes et pures. Tirez de ces (arbres) le barsom long d'une fois la largeur (de l'arbre). Qu'il n'y ait que l'homme...
Page 38 - ... toute incrédulité sur ce point, de faire remarquer que les peuples chez qui le palmier croissait à côté du cyprès, n'avaient pu rester étrangers à la connaissance du sexe des plantes, puisqu'au temps de la floraison, ils fécondaient avec les fleurs du palmier mâle celles du palmier femelle. De temps immémorial, les Indiens ont célébré les noces des dieux sous l'emblème de deux palmiers, l'un mâle, l'autre femelle; ils les plantaient à côté l'un de l'autre, au sommet de quelque...
Page 36 - ... mes observations se sont multipliées ; j'ai pu consulter de nouveaux monuments écrits ou figurés : ils m'ont permis de remonter avec plus de certitude à l'origine du culte du cyprès chez plusieurs peuples civilisés de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe; à la signification symbolique qu'eut primitivement cet emblème ; et à l'emploi particulier qu'on en fit, soit dans le culte public ou le culte secret des divinités génératrices, soit dans les cérémonies funèbres et dans la composition...
Page 98 - Il y reçoit, de même que dans les poèmes kachemî riens, le nom de dêvadarottj l'arbre de Dieu !. De plus, il y est présenté comme l'objet d'un culte particulier auquel s'associe celui de plusieurs personnages mythologiques, très-analogues aux Faunes, aux Dryades et aux Hamadryades des écrivains occidentaux de l'antiquité; circonstance qui a conduit à remarquer que ces deux derniers noms nous offrent, dans leur composition, la syllabe dry'2, identique avec drou et darou, qui, en sanscrit,...
Page 266 - ... ne pas tomber vivant entre les mains de ses ennemis. Il fit élever , dans l'une des cours de son palais , un bûcher d'une hauteur considérable, y plaça son or, son argent, ses ornements royaux, ses femmes et ses eunuques; y mit luimême le feu , et périt ainsi avec tout ce qu'il avait de plus cher et de plus précieux. Cet évéuement est de l'an 817 avant Jésus-Christ; c'était la vingtième année de son règne.
Page 305 - ... perdu dans un marais, va reparaître, sous le nom de Nil, au-dessus de l'Ethiopie. Voilà ce que j'ai entendu dire de l'Asope. En tournant vers les montagnes, au sortir de l'Acrocorinthe, vous trouvez la porte Ténéatique et le temple d'Ilithye, et à soixante stades de là tout au plus, la ville de Ténée, dont les habitants se disent issus des captifs troïens que les Grecs emmenèrent de 141e de Ténédos ; Agamemnon leur donna ce canton.
Page 96 - Lorsque la lumière de la lune répand la chaleur , elle fait croître les arbres, elle multiplie la verdure sur la terre avec la nouvelle lune ; avec la pleine lune viennent toutes les productions.

Informations bibliographiques