Histoire du règne de Louis XIV: 1. ptie. La France, politique, religieuse, littéraire sous Mazarin. 1871Lecoffre fils et cie, 1871 |
Expressions et termes fréquents
alliés amis assez avaient Balzac Beaufort Broussel c'était cardinal Chapelain charité chose coadjuteur comédie comte congrégation conseil Corneille cour d'Autriche déclaration devant Dieu doctrine donner duc d'Enghien duc d'Orléans duchesse de Chevreuse ecclésiastiques ennemis Épernon Espagnols esprits États évêques femmes fille force française Fronde frondeurs Gaston Gaston d'Orléans général gens gloire Gondi gouvernement guerre Hollande hommes jansénisme jour justice l'autorité l'Église l'empereur l'Espagne laisser lettres livres Longueville LOUIS XIV lui-même Madame de Motteville magistrats maison Majesté Mazarin Mémoires de Richelieu ment ministre Monsieur le Prince mort n'avait n'était Omer Talon paix Parlement passé pensée personne peuple poëte politique Port-Royal pouvait premier président prince de Condé princesse protestants provinces réclamer réforme régente reine religieuses René Rapin rétablissement Richelieu rien Rochefoucauld rois royale royaume saint Saint-Cyran Scudéry sentiments serait service seul siècle sortir succès Suédois tion traité troupes trouver Turenne vante Vendôme Vincent de Paul volonté
Fréquemment cités
Page 208 - Ainsi la première victoire fut le gage de beaucoup d'autres. Le Prince fléchit le genou, et dans le champ de bataille il rend au Dieu des armées la gloire qu'il lui envoyait.
Page 143 - Et qu'est-ce que la saine antiquité a produit de vigoureux et de ferme dans le sexe faible, qui soit comparable à ces nouvelles héroïnes que vous avez mises au monde, à ces Romaines de votre façon?
Page 486 - C'est un tigre affamé de sang Que ce brave comte de Maure. Quand il combat au premier rang, C'est un tigre affamé de sang.
Page 328 - Il ya, sire, dix ans que la campagne est ruinée, les » paysans réduits à coucher sur la paille, leurs meubles vendus pour ' le payement des impositions auxquelles ils ne peuvent satisfaire; et » que pour entretenir le luxe de Paris, des millions d'âmes innocentes » sont obligées de vivre de pain de son et d'avoine, et n'espérer autre » protection que celle de leur impuissance. Ces malheureux ne possèdent » aucuns biens en propriété que leurs âmes, parce qu'elles n'ont pu
Page 85 - ... n'est plus que de la bourbe : le lit de cette belle rivière est encore le même, mais ce ne sont plus les mêmes eaux.
Page 231 - J'ai vu le temps de la bonne Régence, Temps où régnait une heureuse abondance, Temps où la ville aussi bien que la cour Ne respiraient que les jeux et l'amour.
Page 158 - Modeste en ma couleur, modeste en mon séjour. Franche d'ambition, je me cache sous l'herbe, Mais si sur votre front, je puis me voir un jour, La plus humble des fleurs sera la plus superbe.
Page 250 - Vous rendra sa douleur connue, Et raisonnablement il craint Que vous n'en soyez point émue. Vous verrez sa misère nue; II s'est lui-même ici dépeint : Accoutumez-vous à la vue D'un homme qui souffre et se plaint. Bien qu'il eût d'extrêmes souffrances , On vit aller des patiences Plus loin que la sienne n'alla. S'il souffrit des maux incroyables, II s'en plaignit , il en parla : J'en connais de plus misérables.
Page 133 - Et je n'ai jamais vu de cervelles bien faites Qui traitassent l'amour à la façon des poètes ; C'est tout un autre jeu. Le style d'un sonnet Est fort extravagant dedans un cabinet...
Page 88 - Cependant, quoique ce miracle soit plus grand et plus rare que celui de rendre la vue aux aveugles et la parole aux muets, notre siècle est si peu spirituel, que l'on a seulement considéré comme une chose extraordinaire ce qu'on devait révérer comme une chose sainte.