Catalogue des manuscrits de la Bibliothèque du Séminaire d'AutunImprimerie Royale, 1846 - 32 pages |
Expressions et termes fréquents
æduense cum cantu Alchuini alleluia Andreæ super libro annum Antiphonarium æduense Antiphonarium cum cantu Antiphonarium et psalterium archidiaconi Augustini Autun Bartholomei de Saliceto BIBLIOTHÈQUE DU SÉMINAIRE Bononiensis canons caractères mérovingiens cardinal Rolin carré sur vélin commentaire contient d'abréviations dctos demi-onciale Desinit dom Martène ecclesiæ ecclésias Éduens ejusdem epistola evangelia évangéliaires évêque d'Autun expositio feuillets fragment glossis Gregorii papæ Guillaud Gundohinus Hieronimi hujus in-fol In-folio sur papier In-folio sur vélin Incipit incomplet au commencement infimæ ætatis IX-X IX-Xe SIÈCLE L'écriture L'orthographe latin Lectionarium Lectura Bartholomei lettres onciales liber liturgie manuscrit est incomplet Martène Mazzuchelli médaillons Millin miniatures minuscule caroline Missale æduense Novella Joh oblong sur vélin ordinis Prædicatorum palimpseste paraît Passio SS Petit in-folio Petri Lombardi sententiarum Psalterium æduense quinque religieux Bénédictins Saint-Nazaire Scriptores SÉMINAIRE D'AUTUN Thomæ tironiennes volume est cité volumes in-folio Voyage littéraire Walterius XIII-XIVe SIÈCLE XIIIE XIV-XVe SIÈCLE XIVe SIÈCLE XVe SIÈCLE XVIIIE
Fréquemment cités
Page 13 - Si quis vero canem custodem domus « sive curtis, qui die ligari solet ne damnum faciat, post « solis occasum solutum furatus fuerit vel occident
Page v - Jourdain, Recherches critiques sur l'âge et l'origine des traductions latines d'Aristote. — Paris, 1819; in-8°.
Page 9 - Le premier ouvrage est anonyme et incomplet; il y manque, presque en entier, les dix premiers chapitres du premier livre. On reconnaît cependant que ce traité, qui a été imprimé, est d'Isidore. Pour le prouver, il suffira de citer le passage suivant,
Page 20 - Jourdain dans ses Recherches critiques sur l'âge et l'origine des traductions latines d'Aristote
Page 10 - preuve à l'appui de la savante opinion des Bénédictins, qui ont établi par de nombreux arguments l'existence de l'écriture minuscule à une époque fort reculée. (Voyez le Nouveau Traité de Diplomatique,
Page 10 - p. 25 et suiv.) Les anciennes lignes sont beaucoup plus rapprochées que les lignes de l'écriture actuelle (voyez aussi le quatorzième cahier). Ce même seizième cahier porte à la marge
Page 2 - dans les livres saints, par des écrivains qui avaient cessé d'employer habituellement ces caractères. Pareille chose est arrivée pour l'écriture gothique : on trouve assez fréquemment des manuscrits de liturgie du
Page 9 - siècle. Ce manuscrit, en caractères mérovingiens, est écrit sur un parchemin assez épais. L'orthographe en est fort singulière : on y trouve souvent le 6 pour le p (par exemple
Page 6 - peint en pied, en or et en couleur sur un fond vert, encadré dans un rectangle pourpre avec une bordure en or. Le portrait est accompagné de ces
Page iii - frappante de l'état de barbarie dans lequel étaient tombés les arts en Occident avant l'avènement de Charlemagne. Le premier de ces deux évangéliaires